Un gars, une fille

mur de pierre, plus celui-ci gigotait. Un grand gars près de moi me tapa affectueusement sur l'épaule et me dit : « Ils s'en prennent aux animaux maintenant, si ce n'est pas pitoyable...». Je hochai la tête déconcerté, anéanti par cette violence. Je me remis malgré moi à regarder la scène. Pourquoi toute cette mort autour de nous ? Je voyais toujours les sacs s’écraser sur le mur, jusqu'à ce que plus rien ne bouge. « Pauvres bêtes... » murmura le gars. Les hommes presque heureux, un sourire macabre

choisis ma tenue et l’enfilai rapidement. Je me maquillai légèrement et descendis à nouveau. Harry et Louis étaient en train de regarder les photos dans mon pc. Ils rigolaient bien. Sacha – C’est pas bien de fouiller dans les affaires d’une fille, vous savez ? Louis – Oui, mais c’était tentant, avoue ? Sacha – Haha, d’accord, j’avoue. De toute façon, je n’ai rien à cacher. Harry – Ces photos sont de quand ? Il me montrait les photos de Chase et moi à la plage. Je lui répondais avec

skizophréne G-NY tête de merde… On ce demande c’est qui son père Ta copine est tellement grosse pour grimper dessus faut faire d’l’escalade Gros prisonnier sortir de chez toi c’est pire qu’une escapade maintenant t'as une tête à claque.. mais gars t'as une geule à plaindre Dans l'rap , poto , t'es pire qu'une arraigné qui n'sais même pas tisser !!!! T'es comme un oiseau tombée de son nid Une simple proie a ma merci Dernier round: Contre toi clasher est tellement du gateau que j'en

paraît complètement idiot ce que je vous dis là ? — Non, non, pas du tout. Je commençais à me sentir un peu mal, moi… — Alors ?… Qu’en dites-vous ? Ici, là, ce soir, tout à l’heure, à neuf heures, à cet endroit exactement ? On se ressaisit ma fille, si tu dois dîner avec tous les hommes auxquels tu souris, tu n’es pas sortie de l’auberge6… — Donnez-moi une seule raison d’accepter votre invitation. — Une seule raison… mon Dieu… que c’est difficile… Je le regarde, amusée. Et puis sans prévenir

l’huile de bras. Tu te crois dans un institut de beauté ? Pierre sans répondre arrêta le jet et sortit d’un seau une éponge ruisselante. — Quand on s’est mis en équipe, j’ai bien compris que les poupées, porte-bonheur, décalques et tout ce que les gars accrochent à leur bahut, ça te plaisait pas, reprit Gaston. — Non, t’as raison, approuva Pierre. Je trouve que ça va pas avec le genre de beauté du véhicule. — C’est quoi, selon toi, ce genre de beauté ? — C’est une beauté utile, adaptée, fonctionnelle

prendrons-nous pour approvisionner la marmite ? (..) Voilà le carrefour de la vie, jeune homme, choisissez. Vous avez déjà choisi : vous êtes allé chez notre cousin de Beauséant, et vous y avez flairé le luxe. Vous êtes allé chez madame de Restaud, la fille du père Goriot, et vous y avez flairé la Parisienne. Ce jour-là vous êtes revenu avec un mot sur votre front, et que j’ai bien su lire : Parvenir ! parvenir à tout prix. Bravo ! ai-je dit, voilà un gaillard qui me va. Il vous a fallu de l’argent

c'était parce qu'il y avait une nouvelle élève ou parce que c'était habituelle mais je savais que je ne pourrais pas tenir longtemps. Je remarqua alors qu'il y avait un gars à côté de moi sur le banc. Je lui souris il ne me le rendit pas....je regardais les élèves qui nous observaient effrayé et qui soupiraient toutes les secondes. Le gars à côté de moi soutenait mon regard...il était grand et assez musclé avec des cheveux rouges. Mon poivron rouge était plutôt beau d'ailleurs.....bref il allait commencer

Un gars, aimé. Un cœur, brisé. Larmes, écoulées. Chansons, écoutées. Cigarette, consumée. Pantalon, déchiré. Portable, cassé. Cocaïne, snifée. Forfait, dépassé. SMS, envoyé. Talons hauts, usés. Sourire, élevé. Barbie, décapitée. Collants, effilés. Sourcils, épilés. Escargot, écrasé. Lil Wayne, défoncé. Doliprane, avalé. Bisous, effectués. Facebook, sur-utilisé. Magasins, dévalisés. Argent, claqué. Slim, délavé. Marilyn Monroe, décédée. Demande d'ajout, acceptée. Soirée, terminée. Petite fille, choquée

guerroyer avec les hommes que de lutter avec sa femme, voilà le carrefour de la vie, jeune homme, choisissez, vous avez déjà choisi : vous êtes allé chez notre cousine de Beauséant, et vous y avez flairé le luxe. Vous êtes allé chez madame de Restaud la fille du père Goriot, et vous v avez flairé la Parisienne. Ce jour-là vous êtes revenu avec un mot écrit sur votre front, et que j ai bien su lire : Parvenir ! Parvenir à tout prix. Bravo ! Ai-je dit, voilà un gaillard qui me va. Il vous a fallu de l'argent

gifle la jeune fille alors que celle-ci le met en garde du danger qu’il encoure. On apprend aussi qu’un jour où elle avait oublié de fermer la porte à clé de la salle de bains, il a sifflé en voyant que Roxanne est devenue une jeune demoiselle. Il manque clairement de finesse. Pourtant la campagne menée contre la drogue « La drogue c’est de la merde » le choque. Le père : Roxanne fait souvent allusion à lui. Le portrait qu’elle fait de lui est certainement idéalisé. La jeune fille le décrit comme