Tuyère

d’attention, de prévenance. Cuver : s’apaiser. Cercler : entourer un emballage d’un lien ou d’un feuillard sous tension dont on attache les 2 extrémité. Contrevent : volet extérieur en bois. Ou paroi du creuset d’un haut fourneau opposée à la tuyère. Provin : sarment ou cep de vigne couché en terre pour en obtenir une nouvelle souche. Bourrée : buisson d’épines que l’on place dans l’eau pour pêcher les écrevisses. Alchimie : art de purifier l’impur en imitant et en accélérant les poréations

|280 | | | |filtre d’air | | | | |vérin tuyère | | | | |distributeur | |

des sangles Sangle horizontale Sangle verticale Jupe ignifugée Câbles d’enveloppe Brûleur Arceau rigide Cadre de charge Arceau rigide NACELLE Corde de couronne dérive Empennage horizontal Pale de rotor principal Tuyère d’échappement des gaz Moyeu du rotor Plateau cyclique béquille Entrée d’air turbomoteur Rotor anticouple Poutre de queue Bielle de commande de pas Phare d’atterrissage Train à patin Charles PIGAILLEM CIRAS C. 4 – 04

parce qu’ils eurent des retombées pour le développement des freins carbone, il faut rappeler les travaux de recherche technologique entrepris par la SEP, à partir de 1969, sur les matériaux composites à matrice carbone destinés aux parties chaudes de tuyère de missiles. Ils firent l’objet d’une aide financière de le Délégué ministériel pour l'Armement. De même, pour tous les axes de recherches précédents, les travaux engagés par les industriels ont souvent bénéficié d’un soutien actif des Services de

l’aérodynamisme de son fuselage et de sa voilure • Poussée vectorielle : permet à l’appareil d’accomplir des manœuvres que les avions à propulsion conventionnelle ne peuvent réaliser En effet, cette caractéristique permet à l’appareil d’orienter ses tuyères pour bénéficier d’une poussée non parallèle à la direction de l’avion Canon : indique si l’avion est équipé d’une arme autre que le canon unique par défaut : 12 • Double canon : l’avion double sa cadence de tir. • Supercanon : l’avion bénéficie

une pression génératrice de 3 × 105 Pa à la température ambiante : 1 1 × 10 –2 S c = ----------- ----------------------- = 1,35 × 10 – 4 m 2 247 3 4.4.3 Distribution par venturi sonique Un venturi comporte, d’amont en aval : — un convergent appelé tuyère ; — un col : section minimale où doit être atteinte la vitesse du son ; — un divergent à faible conicité appelé diffuseur. Ce venturi permet, pour de faibles pertes de charge internes et un bon rendement de diffuseur de recompression, d’obtenir une

besoins spécifiques ; diaphragme, tuyère et venturi sont les principaux (figure 15.4). Chacun de ces organes possède ces qualités et limites résumées dans le tableau 15.1, mais dans 85 % des cas, c’est le diaphragme, ou plaque à orifice, qui est utilisé, certainement par sa simplicité de fabrication, son prix et son interchangeabilité. Prises de pression Brides FT Diaphragme Tuyère Diaphragme FT Entrée convergente Entrée cylindrique Col Sortie divergente Tuyère © Dunod – La photocopie non autorisée

moteurs à deux temps assurant poudrage et pulvérisation qui comportent pour les pulvérisateurs pneumatiques : - un réservoir en plastique pour la poudre ou le liquide, - un ventilateur entraîné par le moteur à une vitesse de 4 000 à 8 000 t/mn, - une tuyère canalisant un courant d’air à grande vitesse et qui pulvérise la poudre ou le liquide parvenus par un tuyau en plastique souple. – Appareils portés : Ces engins polyvalents (poudrage ou pulvérisation) à pression pneumatique (à jet porté) ou à pression

Représentation de l’évolution isochore réversible d’un gaz parfait dans des diagrammes (P, v) et (T, s). I Compression ou détente adiabatique réversible (isentropique) (évolutions 1-3 et 1-8) La détente ou la compression de gaz parfaits dans les tuyères, compresseurs axiaux ou centrifuges tournant à grande vitesse correspondent à des écoulements très rapides de sorte que l’on peut négliger les échanges de chaleur avec les parois du composant. Ces écoulements peuvent donc être considérés comme adiabatiques

la chaleur de formation du clinker à 1765 kJ/Kg. En réalité les besoins énergétiques sont de l'ordre de : •3200 kJ/Kg dans le cas d'une voie sèche •5400 kJ/Kg dans le cas d'une voie humide 39 Intérieur du four côté flamme : En haut, on voit la tuyère et le flux de combustible enflammé. A droite on devine la matière sur les parois du four. La flamme mesure environ 20 mètres de long et atteint 2000 °C à la pointe. 40 A la sortie du four, le clinker doit être refroidi brutalement : c’est la trempe