Turbidité

On envoie ensuite l’eau vers des filtres multimédias( sable rouge, sable blanc, charbon) après l’avoir soutiré à l’aide de 2 pompes, puis on l’envoie vers des filtres à cartouches(eau avec σ = 600μS/cm), et vers les analyseurs pour superviser la turbidité, le potentiel rédox et le pH. Enfin, on le soutire à l’aide d’une pompe et en l’envoie vers la membrane qui nous donne l’eau traitée (pérméat avec σ = 6μS/cm) qui sera employée dans le refroidissement des unités. 3.1- Généralités : - Définition:

dans le réseau. • Réservoirs intermédiaires. • Réseau de distribution. 3.4-Gestion des résultats des analyses : Les anomalies constatées sur la qualité de l’eau potable, notamment les taux de chlore résiduel libre, la turbidité, les non conformités bactériologiques…etc. sont communiquées régulièrement au service exploitation. Les rapports d’activités sont envoyés à la DEA. Les résultats des analyses sont consignés dans des registres et enregistrés sur des

normalement présents et utiles à faible dose dans l'eau et les sols, leur excès est (avec celui des teneurs en nitrates) une des causes majeures de l'eutrophisation voire de dystrophisation de l'environnement. Ils contribuent notamment aux problèmes de turbidité liés au verdissement des eaux (dont lors de blooms planctoniques) et aux phénomènes de zones marines mortes en aval des estuaires. Ils sont de plus aussi source de « métaux-lourds » (voir IIeme Partie : Engrais). Depuis le 1er juillet 2007, les

chaleur - la répartition verticale des foyers des séismes définit le plan de Bénioff qui matérialise le plongement de la plaque subduite dans le manteau - les sédiments qui recouvrent la plaque plongeante et ceux qui se déposent dans les fosses (turbidites) forment un prisme d’accrétion : les terrains sédimentaires arrachés forment des écailles qui donnent au prisme un aspect en éventail reconnaissable - des déformations tectoniques caractérisent les chaînes de montagnes et le prisme d’accrétion

définir avec soin les exigences de qualité pour les différentes applications de manière à traiter l’eau en conséquence. Tableau 6.11.1 Les caractéristiques requises de l’eau Bactéries coliformes (UFC*/100 ml) Bactéries gélatines/ml Sédiment (mg/l) Turbidité Odeur Goût Pouvoir colorant Matière sèche (mg/l) Titre manganimétrique (mg/l) Ammonium (mg/l) Calcium + magnésium (mg/l) Dureté totale en équivalents de CaCO3 (mg/l) Fer (mg/l) Manganèse (mg/l) Cuivre (mg/l) Aluminium (mg/l) Zinc (mg/l) Bicarbonate

présence de sédiments en quantités excessives dans les eaux côtières entrave la croissance des coraux, pouvant même à terme entrainer leur extinction, réduit l’habitat et la diversité de la faune marine et bouleverse les équilibres du milieu. La turbidité des eaux réduit également l’attrait touristique des plages. Réduction de la biodiversité On compte ici environ 10.000 espèces de plantes, dont certaines n’existent que dans le pays, et plus de 200 espèces d’oiseaux (ANDAH, 2005). Des dizaines

effet, pour une eau urbaine, le rapport DCO/DBO5 est relativement constant (1,5 à 2,5) ; il est de même en ce qui concerne l’eau épurée (4 à 6). 2.3.3 Mesure des Matières en suspension (MES et MVS) Les matières en suspension contribuent à la turbidité de l’eau. Elles peuvent être d’origine minérale ou organique. Les particules minérales sont généralement inertes du point de vue chimique, quant aux particules organiques, elles présentent une certaine DCO et souvent une DBO5. La mesure des MES

propriétés. Par la méthode utilisée, l’absorbance apparente de la radiation monochromatique est mesurée(équation 1). Elle est directement proportionnelle à : L : longueur du trajet lumineux. C : Concentration des particules en suspension. T : Turbidité. A=T*C*l La cristallisation est suivie d’une manière continue afin de diminuer les erreurs expérimentales, par réduction du nombre de poussières susceptibles de constituer des nucléo hétérogènes. Par ailleurs, une courbe turbidimétrique

Colorado par exemple. Courants de turbidité La majeure partie des matériaux est transportée par ce mécanisme. Les courants se déplace grande vitesse, plusieurs dizaine de km/h et parcourent plusieurs dizaines de km. Ils produisent une érosion par aspiration à l'avant puis un dépôt après leur passage. Les plus gros éléments sont déplacés sur le fond par traction, les autres particules restent en suspension. Les matériaux transportés par courant de turbidité s'accumulent en bas du talus pour former

Culture de bactéries E. coli Les bactéries se cultivent à 37°C, soit en suspension dans du milieu LB soit en boîte de Petri sur LB-agar, en présence des antibiotiques convenables. Culture liquide La concentration cellulaire est estimée par la turbidité de la solution à 600 nm. Attention, il faut que la mesure soit comprise entre 0,1 et 0,8 OD ! Milieu Luria-Bertani (LB) et LB-agar Tryptone 10 g/L Yeast extract 5 g/L NaCl 10 g/L Stériliser par autoclavage. Pour