Tsunami

Intro Le tsunami qui a frappé l’Asie du Sud en 2004 a provoqué une émotion à l’échelle planétaire. En règle générale, les catastrophes naturelles font naître en nous une très vive émotion par leur caractère imprévisible et l’étendue des désastres humains et matériels qu’elles provoquent. Ce type de catastrophes est souvent perçu comme une injustice surtout quand elles s’abattent sur des sociétés parfois vulnérables, comme ce fut le cas des crues meurtrières du Pakistan durant l’été 2010, ou encore

Limites de la puissance japonaise • La mégalopole est construite dans une zone particulièrement exposée aux risques naturels majeurs. L'archipel se trouve sur le trajet de typhons et de tsunamis, mais il est, surtout, situé sur une zone sismique très active. Les tremblements de terre de Tokyo en 1923 (140 000 victimes) et de Kobe en 1995 (6 000 victimes) en témoignent. Ces risques sont accentués par les formes qu'a pris l'urbanisation : habitat en hauteur, terre-pleins peu stables, proximité de

sont fréquents ex : pour la France en 1960 et 1970 ont eu lieu plusieurs séismes qui ont été attribués a des remplissages de lacs-réservoirs, à l’exploitation de gisements pétrolières ou aux mines. Les tremblements de terres engendrent parfois des tsunamis dont la puissance destructrice menace une part croissante de l’humanité installée en bordure de mer, ils peuvent aussi menacer les installations pétrolières et gazières offshore et disperser les décharges sous-marines contenant des déchets toxiques

avait englouti des villes. Les autorités craignaient qu'il y aurait environ 10.000 morts sur Leyte et 300 morts sur l'île Samar où 2000 personnes étaient portées disparues. La catastrophe naturelle la précédente datait de 1976, lorsqu'un séisme et un tsunami avaient causé la mort d'environ 8000 personnes sur Mindanao, une île du Sud. Haiyan aura donc été la catastrophe naturelle la plus importante des Philippines. Appels aux dons Les ONG Action contre la faim (ACF) et Secours populaire français

Maroc est soumis à l’influence de l’activité de la zone transformante dextre des AçoresGibraltar (source du grand tremblement de terre du 1er Novembre 1755, de magnitude 9 qui est responsable d’importants dégâts sur le territoire marocain et d’un tsunami destructeur sur la côte atlantique). A l’Est du détroit de Gibraltar, le Maroc est cette fois-ci soumis à l’influence des failles d’échelle crustale de la mer d’Alboran (source du séisme du 22 Septembre 1522 qui a été destructeur dans le Nord du

DEFINITIONS : Plaque lithosphérique : Partie superficielle de l’enveloppe terrestre. Épicentre : Point à la surface de la terre où un séisme est le plus intense. Séisme : ou tremblement de terre se traduit en surface par des vibrations du sol. Tsunami : Raz de marée généralement engendré par un mouvement brutal du fond de la mer au cours d'un séisme. Cyclone : Tourbillon d’air, chaud et humide, se déplaçant très rapidement en tournoyant sur lui-même. Inondation : Débordement des eaux recouvrant

nouveaux paysages  altération due à la fréquentation : la pollution maritime d’origine maritime et humaine part les port de plaisance ; les ostréiculteurs s’en plaignent  les risques qui menace les littoraux maritimes comme les typhons, les tsunamis Ex : le tsunami de décembre 2004 envahit les plages de Phuket en Thaïlande (érosion dunaire) Un environnement fragile qu’on cherche à préserver :  surveiller la qualité des eaux  maîtriser l’urbanisation : Loi Littoral 86 ; Conservatoire du littoral

interprètent clairement les risques afin de prendre des mesures adaptées. Toutefois il convient de noter que très souvent ces mesures de prévention bien qu'existantes ne sont pas parfaitement utilises. Aurait il par exemple été possible de prévenir le tsunami qui du 26 décembre 2004 ? Prévenir probablement pas, mais réduire considérablement le nombre de victimes était possible si les populations avaient été prévenues ne fusse qu'un heure à l'avance. Il est évident que le nombre de victimes auraient été

peut le maîtriser. On trouve déjà ici le premier point commun entre l´homme et la mer. C´est que la mer est aussi libre. La mer fait ce qu´elle veut et l´homme ne peut pas la dominer. On ne peut pas la calculer ce qu´on voit par la catastrophe du tsunami, il y quelques mois. Baudelaire tutoie l´homme. Il dit « tu » en parlant à l´homme ce qui montre sa relation intime avec ce-lui. Peut-être qu´il est lui-même l´homme dont il parle. L´homme chérira la mer. Le verbe « chèriras » exprime l´amour entre

Japon, les conséquences politiques sont immenses. La catastrophe a provoqué le déplacement d'un demi-million de personnes (voir ce rapport du chercheur français spécialiste du Japon Guibourg Delamotte), les dommages représentent (avec les dégats du Tsunami bien entendu) 3.5 à 5 % du PIB, l'agriculture et la pêche sont ébranlées (zone d'exclusion de 30 km autour de la centrale et zone d'exclusion marine incertaine), le Japon importe par conséquent beaucoup plus de nourritures qu'auparavant. Des pays