Trouvère

étaient écrits en langue romane, et non en latin. À son origine, le roman est donc un récit littéraire, généralement écrit en vers, rédigé en « roman », c'est-à-dire en langue « vulgaire ». C'est cette forme du « roman » que les troubadours et trouvères utilisent pendant tout le Moyen Âge, afin de raconter les exploits des chevaliers. Il ne faut pas oublier qu'à cette époque, le récit écrit n'est qu'un support pour la mémoire, puisque la littérature est profondément orale : ses destinataires sont

parce que les choses,les notions qu’ ils expriment, n’existent plus. Ces mots vieillis sont des historismes ou des mots historiques. C’est, par exemple, toute une partie de la terminologie du Moyen Age ,plusieurs mots relatifs à l’ habillement (trouvère,escarcelle,palefrenier,pourpoint,crinoline,smoking). Mais il arrive aussi que la notion,l’idée,demeurent alors que les mots qui les désignent s’éliminent faisant place à d’autres mots. Par exemple, goupil est remplacé par renard, gré-par volonté

Rome) par Virgile - L’Odyssée (( Odysseus = Ulysse et Pénélope) 2. Épopée française : - La chanson de Roland (FICTIVE), neveu de Charlemagne (HISTORIQUE) Cette chanson sera jouée par les troubadours[3] et les trouvères[4]. Les deux sont des chanteurs, jongleurs et poètes du Moyen-âge. 1. La chanson de geste - Elle a une origine ecclésiastique. Le souvenir des exploits de Charlemagne et de ses barons a été conservé dans des sanctuaires célèbres[5] situé le

: Arts du langage : (romans de chevalerie) « Le roman de Renart » *(Librio n°576, mars 2003, 2€), « La chanson de Roland »* (poésie) http://poesie.webnet.fr François Villon (« La ballade des pendus »)* Arts du son : (troubadours et trouvères) (chants grégoriens) ‘Carole’* ‘J’ai fait nouveletement’* ‘Douce dame’* ‘Or est Bayard’* ‘Cantiga 79’* Guillaume de machaut (1300-1377) « la messe de Notre Dame » * Schola Cantorum of Amsterdam Students* « Répons et monodiies Gallicanes

Bretagne. Il s'agit de trois lieux nobles ayant possédé une motte féodale : le Brécilien de Paule, dans les Montagnes NoiresNote 1, le Brecilien qui donne son nom à une forêt près de Paimpont et Montfort, et le Bressilien de Priziac3. Chez les trouvères, « Bresilianda » désignait la Bretagne armoricaine en entier4. La forme Brocéliande, plus tardive, pourrait être basée sur bro (signifiant pays en breton), mais semble être une invention de Chrétien de Troyes. Dans les romans arthuriens médiévaux[modifier

menu peuple, prendront dans le spectacle une place de plus en plus importante. L’apparition d’écrivains professionnels, même s’ils remplissent, comme Rutebeuf, des fonctions cléricales, accentue le processus de laïcisation. C’est le cas de deux trouvères arrageois, Jean Bodel (1210) et Adam le Bossu (1290): de l’un, le Jeu de saint Nicolas   traite la donnée hagiographique en roman d’aventures corsé de scènes de taverne; du second, le Jeu de la feuillée , sorte de revue d’intérêt local, et le Jeu

pas de véritable barbarie. La femme aimée est souvent mariée et cet amour demeure platonique. Cette idéologie annonce déjà le romantisme (XIXe siècle). Poésie Elle est souvent associée à la musique (ballade et chanson) et donc à l'époque des trouvères et des troubadours. Les productions littéraires et orales sont peu écrites. Théâtre Ce sont les thèmes religieux qui sont repris. (Mystère?) Il peut y avoir des thèmes profanes qui perpétuent la tradition. Roman de Renard C'est une fable, son

l’égale de l’homme (voir la reine Medb qui déclenche la Razzia des vaches de Cooley, pour égaler en patrimoine son époux, le roi Ailill). Elle est l’initiatrice de la fuite avec son amant, affirmant son indépendance, ce qui était inconcevable pour les trouvères normands. La restitution de René Louis est aussi très intéressante dans la mesure où l'auteur a adopté un point de vue plus archaïque, moins courtois, moins chrétien aussi, en un mot plus celtique que celui de Joseph Bédier. Ceci apparait particulièrement

des combats donnés en spectacle aux amis et aux parents. Les banquets Pour tromper leur ennui, les seigneurs donnaient des banquets auxquels ils invitaient de nombreux convives. Ces banquets étaient coupés de divertissements : des poètes (trouvères ou troubadours)récitaient des histoires qui racontaient les beaux coups de lance ou d'épée donnés dans les batailles (chansons de geste) en s'accompagnant d’un instrument du musique :la vielle. A la fin de la soirée, le seigneur et ceux qui l’entouraient

Tristan et Iseut. La Littérature satirique qui, au nom de la morale ou de la religion, dénonce le mauvais chevalier. Ex. : Le Roman de Renart. Les auteurs, souvent anonymes sont divers : Des jongleurs, troubadours dans le sud de la France ou trouvères au Nord qui se produisent lors de fêtes villageoises ou seigneuriales. Des copistes, souvent moines, réécrivent des textes en y ajoutant leur touche personnelle car la propriété littéraire (la notion d’auteur) n’existe pas. Des clercs, hommes