Troisième Proposition Kant

expliqué le propos général du texte et indiqué la forme de son développement, il faut rentrer dans l’analyse de détail « l’explication linéaire ». C’est un travail de commentateur. A la limite, ce travail consisterait à recopier chaque phrase, chaque proposition du texte, et à la faire suivre de son explication. Sans aller jusqu’à dire qu’il faut recopier tout le texte petit bout par petit bout, il faut du moins recopier les mots, les passages, les phrases qui vous paraissent les plus importants, et en

| | | |Emmanuel KANT (1785) | |

Kant : Idée d’une histoire universelle du point de vue cosmopolite Introduction : * De « quel que soit le concept » «  Des dispositions (..) » L’Homme = être raisonnable ayant « une volonté libre » cad comportement déterminés comme n’importe quel autre phénomène de la nature ( passionnelle + raisonnable ) * De « Ainsi, par exemple » « assez peu » : Un ordre et une régularité d’ensemble dans le déroulement des actions humaines qui leur échappent. * De «  étant donné que les Hommes

avant tout une logique des propositions, c’est-à-dire des assertions susceptibles d’être vraies ou fausses. Tout jugement, selon Aristote, peut ainsi s’analyser comme l’attribution d’un prédicat à un sujet. Une proposition se compose d’un prédicat (qui est affirmé ou nié), d’un sujet, et d’une copule qui relie les deux. Exemple : Socrate (sujet) est (copule) mortel (prédicat). Une proposition peut être une affirmation ou une négation (c’est la qualité de la proposition). L’opposition entre une

(philosophie de l'histoire) : | | |II- N'est-ce pas pour nous que l'histoire a un sens ? | | |A- Kant : Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique : le sens de | | |l'histoire est seulement un besoin de la réflexion. |

tribunal« dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité » - l’adverbe « toujours » sous entend un caractère inconditionnel, une absence de relativité - vérité ( de l’ordre du discours, adéquation entre la réalité et le discours humain, proposition en accord avec son objet. Vérité ne qualifie pas une chose ou une action mais la valeur d’une assertion. De l’ordre de la valeur pour l’homme : exigence d’honnêteté, garante des relations de confiance (dimension humaine de la vérité comme traditionnellement

la ligne 50 : La conversion spirituelle : Début de libération qui se fait par la force. Eduquer. L’éducateur des pédagogues. Il ne va plus confondre les causes et conséquences. Etre dans l’Aporie c’est d’être dans une impasse (intellectuelle). Troisième partie : Jusqu’à la ligne 90 : Accès à la vérité, au monde intelligible, au monde supérieur. Quatrième partie : Jusqu’à la ligne 103 : la nécessité de redescendre dans la caverne. (Cité) « Connais-toi toi-même » Delphes (Pythie) : L’essence de

Troisième séquence - L’argumentation. Kant, Réflexions sur l’éducation, Ed. Vrin (1984). 1) La thèse défendue par l’auteur est à la ligne 1 avec « L’homme a besoin de soins et de culture ». Elle a valeur d’affirmation forte car elle est située au début du texte. 2) L’argumentation est présente ici avec tout d’abord un raisonnement déductif grâce à la thèse situé à la ligne 1et la suite qui sont des arguments et exemples. De plus, il y a des connecteurs logiques comme « car » qui est une

encore, lorsque je discerne leur vérité, je n’acquérais pas moi-même ce discernement, je ne me persuadais pas moi-même de ces vérités ! – comme si, une fois que je connais bien le théorème de Pythagore et sa preuve, je ne savais pas moi-même cette proposition et ne prouvais pas moi-même sa vérité ! Autant l’étude philosophique est en et pour soi une activité personnelle, tout autant est-elle un apprentissage – l’apprentissage d’une science déjà existante, formée. [...] La représentation originelle, propre

citoyenneté, la liberté.... Ainsi le bonheur est-il bien la seule fin de notre existence, au détriment de toutes les autres, où notre humanité se joue aussi? Plusieurs plans étaient bien entendu possibles pour traiter ce sujet, voici donc une proposition à partir de quelques pistes.   Première partie. Le bonheur est une fin universelle.  On pouvait développer dans un premier temps l'idée que nous vivons bien pour être heureux et que cette affirmation a une portée universelle. Cela tient en effet