Tristane Banon

aussi bonne guérisseuse qu'experte en tous charmes diaboliques et envoûtements, lui proposa de la soigner. D'abord hésitante, Fénice finit par se confier à sa nourrice: Promise à Alis et aimant désespérément Cligès. Refusant de subir le même sort que Tristan et Iseut, sa nourrice lui proposa un philtre qui donnera à Alis l'illusion de l'amour. Car elle voulait préserver l'héritage de Cligès en ayant point d'enfant avec Alis. Les noces d'Alis et de Fénice sont célébrées, le philtre est ingénieusement proposé

sources documentaires et littéraires, à commencer par un ouvrage très curieux, succès de librairie dans les années 50 : Les Grands Bouleversements Terrestres d'Immanuel Velikovsky, pour la partie expliquant le basculement de la Terre ; la légende de Tristan et Iseut, ceux que la mort même ne peut séparer, ou encore dans le thème récurrent de La Belle au bois dormant. Le nom de la civilisation Gondawa, lui, évoque le volcan Gondwana, bien connu des géographes. Mais il reprend aussi, en les modernisant

récompensés lorsque celui-ci revient de son absence, et que l’amour courtois prend place au sein de sa relation, maintenant parfaite, avec Laudine. Il est intéressant de noter ici une contradiction parfaite avec ce que nous avait démontré la légende de Tristan et Yseult, c’est-à-dire l’incompatibilité entre les deux passions qui caractérisent le roman de chevalerie.

« A une passante » Baudelaire Petite biographie : Baudelaire - Ce fut un grand voyageur ce qui a éveillé son gout pour l’exotisme - Il sort le recueil les Fleurs du mal en 1857 - Meurt de la syphilis en 1864 - Influencé par le mouvement romantique (recherche des émotions de la beauté idéal), il s’opposera au mouvement réalisme et naturalisme, il deviendra le précurseur du symbolisme - Son œuvre poétique est moderne car on a l’inclusion du quotidien donc l’éphémère c’est également son but

LE CRAPAUD DE TRISTAN CORBIERE Édouard-Joachim Corbière, dit Tristan Corbière, né le 18 juillet 1845 à Morlaix et mort le 1er mars 1875 à Morlaix de la tuberculose, est un poète français. Il vient d’une famille aisée Poésie à ne pas prendre au sérieux Langage proche du langage parlé Variété des rimes dans ses poèmes, il ne respecte pas les règles Ponctuation très présente qui rend le texte plus rapide Le titre même de son recueil, Les Amours jaunes, est ironique (le

s’affirme dès 1918. Il se caractérise par une désagrégation complète du langage et de la vie de l’esprit, une tendance à l’absurdité, à un renversement ou à une suppression de toutes les valeurs dans une anarchie complète. Le principal représentant est Tristan TZARA (1896 – 1963) qui en 1918 a publié le Manifeste Dada. Il a dit : “Mettez tous les mots dans un chapeau, tirez au sort, voilà le poème dada !“ D’après lui un poème peut se composer de sons (voyelles et consonnes ou consonnes et voyelles) ou

qui prenait part un peu partout dans le monde, n’a été réellement implanté que lors de la création du mouvement Dada. C’est en Février de cette année que se rencontrent dans le Cabaret Voltaire à Zurich, en Suisse, de nombreux artistes tels que Tristan Tzara, Hugo Ball ou encore Jean Arp, qui décident de s’unir pour créer un groupe intellectuel où ils pourraient alors exprimer leurs idées et créer un art nouveau, un art qui délivre la plus grande liberté de créativité. Ils font de leur nom leur

Naissance La légende raconte que le nom du mouvement « dada » a été trouvé au hasard des pages du dictionnaire. Dada nait en 1916 à Zurich. La ville accueille alors de nombreux artistes qui fuient les atrocités de la première guerre mondiale. Parmi eux, Tristan Tzara, Marcel Janco, Hans Arp, réunis autour d’Hugo Ball au Cabaret Voltaire partagent la même aversion pour cette société dont la guerre mondiale qui participe selon eux à la faillite. Les soirées du Cabaret Voltaire sont mémorables : récitals poétiques

----------------------- TRISTAN & ISEULT : LE MYTHE DE L’OCCIDENT CHRÉTIEN Dr Françoise Saint-Onge Docteur en études germaniques Eduard-Pfeiffer-Str.10 D – 70192 Stuttgart RÉSUMÉ: Il s’agit ici, comme le titre l’indique, du mythe de Tristan et d’Iseult*. Deux ouvrages surtout ont inspiré ces lignes : L’amour et l’Occident de Denis de Rougemont, qui traite des origines culturelles et historiques du mythe dans ses rapports avec l’ « hérésie » cathare et l’amour courtois au XIIè siècle

parcourir des poèmes parce qu’on les trouve beaux, parce qu’ils nous émeuvent, sans pour autant méditer longuement sur chaque vers afin d’en découvrir toutes les possibles significations. Par exemple, nous aimons lire de temps en temps un poème de Tristan Corbière du recueil Les Amours jaunes, car nous apprécions leur sonorité et ce qui se dégage de cette œuvre, mais nous n’essayons pas à chaque fois d’interpréter longuement les mots ; la saveur qu’ils laissent en nous après la lecture nous suffit