Tripolitaine

tribus nomades du Nord-Ouest; – dialectes soudanais et tchadiens; – dialectes libyens avec des sous-groupes pour la Tripolitaine, la Cyrénaïque et le Fezzan; – dialectes tunisiens avec les parlers des villes (Tunis, Kairouan, Sousse, Sfax), du Sahel, des bédouins du Nord-Est (proches de ceux des bédouins de l’Est algérien), des bédouins du Sud (proches de ceux des nomades de Tripolitaine); – dialectes algériens avec les parlers des villes orientales (Constantine et autres), centrales (Alger, Blida

noirs) qui au fil des siècles ont réussi à intégrer leurs croyances et leurs rites à l’idéologie dominante. Ces peuples se réunissent en différentes confréries selon l’endroit où ils s’établissent (par exemple les Zawya en Oranie, ou les Sambani en Tripolitaine…) mais celle à laquelle nous nous intéresserons plus particulièrement est celle des Gnâwa du Maroc. Nous commencerons par une approche historique avant de nous pencher sur les différents aspects de leur culture et leur religion en s’arrêtant sur

commencent à intéresser les aviateurs. B) De 1906 à 1914 : Les militaires commencent alors à s'intéresser à l'aviation et organisent les premières manœuvres avec des avions avant de les employer en opérations en 1911 (guerre italo-turque en Tripolitaine). L'année 1910 voit encore de nombreuses innovations : le premier hydravion du Français Fabre, le premier « avion à réaction» du Roumain Coanda, le premier décollage du pont d'un navire par l'américain Ely, la première liaison radio air-sol, les

l’expansion coloniale se développe, ainsi que l’anticolonialisme. Dès lors deux camps s’opposent. Le colonialisme fait moins peur à l’opinion après les nombreux accords passés à ce sujet. La France signe en 1900 des accords avec l’Italie sur la Tripolitaine et le Marc, un accord en 1904 avec l’Angleterre et le plus important pour l’opinion un accord avec l’Allemagne le 4 novembre 1911 au sujet du Maroc, du Congo et du Cameroun. L’idée coloniale est soutenue par les élites de la population. Les deux

est considéré comme un Apollon : il était représenté par une image de taureau qu’on portait à la guerre (Johannide, IV, 666-673 ; V, 22-29). Le culte de cette divinité se maintint longtemps, car au XIe siècle de notre ère, El Bekri mentionne en Tripolitaine une idole en pierre, élevée sur une colline et nommée Gorza, à laquelle les tribus des environs, entre autres les Hoouaras, offraient des sacrifices et adressaient des prières pour obtenir la guérison de leurs troupeaux(3). El Bekri(4) ne nous donne

ou sept cohortes faisaient un total d’environ 10000 hommes dont quelque 5000 fantassins lourds. Le quartier général se trouvait à Lambèse, et les unités étaient dispersées sur un vaste territoire allant de l’Aurès jusqu’à la limite entre la Tripolitaine et la Cyrénaïque. Les camps étaient disposés de façon à former des « systèmes défensifs ». Pour cette période, nous distinguerons les systèmes de l’Aurès (qui encerclait cette montagne) et du Sahara de Numidie (entre l’Afrique utile et le

contrairement aux autres pays du Maghreb, il n'y a pas de chaîne montagneuse à proximité des côtes; la plate-forme saharienne va jusqu'à la mer, recouverte de formations sédimentaires calcaires légèrement relevées près des côtes (Jbel Nafusah, 981m en Tripolitaine; Jbel Al-Akhdar, 882m en Cyrénaïque). - La côte est peu favorable aux établissements portuaires, souvent basse et bordée d'un cordon dunaire qui isole les sebkhas. Seuls Tripoli et Toubrouk disposent de bonnes rades. - Les vents humides d'ouest

avec l’Allemagne par une entente avec la Grande Bretagne sur les questions méditerranéennes. Ainsi, l’Italie s’engage à soutenir l’action de la Grande-Bretagne en Egypte. L’Angleterre de son côté, aidera l’Italie à s’opposer à l’occupation de la Tripolitaine par la France. Les deux puissances affirment donc leur volonté de maintenir un statu quo en Méditerranée. L’entente des Trois Empereurs vient à expiation en juin 1887 et le Tsar manifeste son intention de ne pas renouveler le traité le liant à

balkaniques (1912-1913) Situation de l’Empire Turc ranime les tensions dans les Balkans : sa faiblesse (aggravée par l’échec des Jeunes-Turques) attire les convoitises des Etats balkaniques, des Italiens et des russes. 1911 : Italie s’empare de la Tripolitaine. La défaite turque entraîne formation d’une Ligue balkanique avec Serbie + Bulgarie + Grèce + Monténégro. ⇨ Aussitôt, grandes puissances organisent conférence internationale : le traité de Londres 1912 consacre l’élimination des Turcs qui

la Catalogne. L’intérêt pratique pour la Méditerranée devint très présent dans la vie publique catalane à partir de 1911, avec la récupération politique de la Lliga et la réactivation des velléités coloniales italiennes après la conquête de la Tripolitaine. Le plus illustre Mais l’idéal immédiat de d’Ors était un empire moral et non matériel, qui revenait à diffuser un art humaniste et cosmopolite, à aimer la science, à normaliser une lingua franca pour la région, à participer à des congrès et