Tribun de la plèbe

souhaita le retour à la terre d’une partie de la plèbe urbain et c’est aussi lui qui instaura la loi agraire quand il était tribun de la plèbe en -133. L’idée était de conserver et de protéger la classe de propriétaire. Afin de mener à bien ce projet il mit en place une commission des triumvirs qui rencontra une forte opposition. Il se fit assassiner suite à aux révoltes de cette loi. Son frère Caius Gracchus, prit la relève et fut élu tribun en -124 et réélu l’année suivante. Il fit voter de nombreuses

centuriates ou tributes. Acception la plus large car ici voté aussi bien par les plébéiens que les patriciens et applicable aux deux. Si on réduit l’entonnoir : « le plébiscite est ce que la plèbe ordonne et établit. », les plébiscites constitue en une décision prise par la plèbe, sur proposition d’un tribun de la plèbe, dans des concilia plébis. Elles ont cela de particulier qu’a l’origine elles n’avaient pas valeur de loi et ne concernées que les plébéiens et non les patriciens comme le précise l’auteur

Caius Marius (157-86 aCn) Dans le parti des Populares , d’origine plébéienne. Parcoure politique : Questeur (120 aCn) ; Tribun de la Plèbe (119aCn) ; Préteur (115aCn) ; Consul (104-100 aCn). A perdu en 88 aCn contre Sylla (Optimates) durant la première guerre civile. Lucius Cornelius Sylla (138-78 aCn) Dans le parti des Optimates, issu d’une famille patricienne mais sans éclats et pauvre. Parcoure politique : Questeur de Marius (107 aCn). Sors vainqueur en 88aCn de la guerre civile contre

toge prétexte Dans l'ancienne Rome, la toge prétexte (en latin : Toga praetexta) ou la prétexte est une toge blanche bordée d'une bande de pourpre utilisée par les magistrats dits curules (tous sauf les questeurs, les édiles plébéiens et les tribuns de la Plèbe), et par les garçons de moins de 16 ans. Ces derniers revêtent ensuite la toge virile des adultes, entièrement blanche, lors des Liberalies.

(= gouvernement de quelques uns). Réaction du peuple : 493 av. JC : des citoyens réalisent la confiscation du pouvoir par les patriciens, et s'opposent à ceux-ci en refusant de participer à l'effort de guerre (= plèbe). ==> nécessité politique de prendre en considération la plèbe => évolution des règles de droit. Conséquences pour les institutions et le droit : - Recherche d'un équilibre dans la mise en place des institutions (A) - Naissance de la loi et du droit romain classique (B) -

rapport au ius oral pratiqué auparavant, ainsi qu'un conflit entre la plèbe et les patriciens. Historique[modifier]Articles connexes détaillés : Lex Terentilia et Decemvir Au début du ve siècle av. J.‑C., le droit romain (ius) est oral, et appliqué de façon presque religieuse par les pontifes, issus des familles patriciennes. En 462 av. J.-C., pour mettre fin à ce qu’il considère comme un arbitraire dont pâtit la plèbe, le tribun Gaius Terentilius Harsa émet un projet de loi, la Lex Terentilia, pour

car elles n’émanent pas des mêmes personnes. D’un cote du peuple, de l’autre de la plèbe. Mais pourquoi « La plèbe diffère du peuple » ? Cela s’explique par le fait que toute la population romaine n’est pas sous le joug de la même loi. La loi s’applique à tous les citoyens tandis que les plébiscites s’applique aux non- patriciens. En effet, les plébiscites sont des décisions proposées par les tribuns de la plèbe et votées par les concilia plebis. Dans tout ce processus les patriciens n’interviennent

César imposa la publication des comptes rendus de séances su Sénat et des Comices. Récompenser les amis Distribution de toutes sortes de gratification à ceux qui l'avaient soutenu, des Populares à Pompée et à des chevaliers. Le cadeau pour la plèbe fut une loi agraire sur la distribution de petits domaines à 20000 plébéiens ( Lex Iulia agraria ). Pompée obtint la ratification de tous ses actes en Orient, et à la fin du mois d'Avril, il devint le gendre de César en épousant Julie. Les chevaliers

conduite de cette guerre. 1 César, de sa naissance en 100 au proconsulat en 59 César est né le 12 Juillet de l’année 100 av. J-C.[1]. Son père, Caius Julius Caesar est issu du patriciat, la plus haute noblesse de Rome ; sa mère, Aurélia, de la plèbe, une noblesse plus modeste. Il est donc né dans des conditions très favorables puisque ce sont les gens de la noblesse qui à cette époque ont accès au pouvoir et à des fonctions politiques de premier plan (même si la famille de César était bien loin

caractères de la monarchie étaient contenus par les consuls, ceux de l’aristocratie donnés par le Sénat où siégeait les meilleurs de la ville, et enfin la nature démocratique était donnée par les comices, les assemblées populaires et par les tribuns de la Plèbe ». La République romaine est dotée d’un régime mixte, et entre ces éléments « Une parfaite harmonie s’établit puisque chacun est tenu de collaborer avec les autres ». Il donnera alors un exemple de meilleure collaboration : l’exemple de la guerre