Transylvanie

s’établirent près de la mer Noire là où se trouve aujourd’hui l’Ukraine. Les Thervingues ou « Goths de l’Ouest » se dirigèrent d’abord vers la péninsule des Balkans pour s'établir dans un territoire au nord du Danube connu de nos jours comme la Transylvanie. Les Thervingues vinrent ainsi en contact direct avec Rome ce qui entraîna des conflits militaires qui ne furent cependant pas décisifs. En 332, les Goths vivant près du Danube obtinrent le statut de foederati ce qui les obligeait par traité à

1940, Hitler satellise les pays d’Europe centrale : Slovaquie, Hongrie, Roumanie, Bulgarie. Hitler obtient l’adhésion de la Hongrie et de la Bulgarie, anciens vaincus de la Première Guerre mondiale, en leur offrant respectivement la moitié de la Transylvanie et la Dobroudja, cédées par la Roumanie, où le général pro-hitlérien Ion Antonescu prend le pouvoir en septembre 1940. À partir de juin 1941, Hitler entraîne la Slovaquie, la Hongrie, et la Roumanie dans la guerre contre l’URSS, ainsi que la Finlande

(1896-1958)[67]. Gerö fut remplacé par Kadar à la tête du Parti. Mais en quelques jours l'insurrection s'étendit à tout le pays, où les communistes étaient haïs (entre autres raisons parce qu'ils avaient laissé mutiler à nouveau la Hongrie en 1945: la Transylvanie peuplée en bonne partie de Hongrois était revenue à la Roumanie). Nagy, qui n'était pas un aigle, se laissa dépasser par les événements: sans mesurer la portée de ses actes, il exigea le départ des troupes soviétiques (elles firent mine de partir

rapprochement
avec
les
alliés
et
notamment
avec
la
Russie.
Sous
condition
de
cesser
la
 collaboration
avec
le
Reich,
la
Russie
accepta
que
les
forces
roumaines,
lassées
par
la
 guerre,
se
trouvent
à
leurs
côtés,
moyennant
la
promesse
de
récupérer
la
Transylvanie
 en
fin
de
conflit.
Un
front
patriotique
s’organisa,
sous
la
direction
principalement
du
 parti
communiste,
rompu
à
plusieurs
décennies
de
clandestinité.
L’avocat
Ion
Maurer,
 qui
fut
premier
ministre
de
1961
à
1974,
fut
un
des
contacts
secrets
des
Russes

préserver ses colonies, convoitées par l’Allemagne. La Roumanie déclare la guerre à l’Allemagne en août 1916, après la contre-offensive russe victorieuse sur le front oriental laissant espérer une défaite de l’Autriche-Hongrie. Elle revendique la Transylvanie hongroise. En 1914, la Grèce reste neutre, puis elle rejoint l’Entente en déclarant la guerre à la Bulgarie en novembre 1916, puis à l’Allemagne en juin 1917 après l’abdication et l’exil du roi Constantin. Fortement marqués par le torpillage du

préserver ses colonies, convoitées par l’Allemagne. La Roumanie déclare la guerre à l’Allemagne en août 1916, après la contre-offensive russe victorieuse sur le front oriental laissant espérer une défaite de l’Autriche-Hongrie. Elle revendique la Transylvanie hongroise. En 1914, la Grèce reste neutre, puis elle rejoint l’Entente en déclarant la guerre à la Bulgarie en novembre 1916, puis à l’Allemagne en juin 1917 après l’abdication et l’exil du roi Constantin. Fortement marqués par le torpillage du

la mer Baltique. Elle va être constitué sous forme de ville libre administrée par la société des nations. La Hongrie est détachée de l’Autriche. Elle perd la Slovaquie et aussi la Slovénie. La Bulgarie perd la Macédoine. La Roumanie récupère la Transylvanie, mais peuplée de hongrois. Il est constitué 4 Etats baltes au Nord de l’Europe : la Lettonie, la Lituanie, l’Estonie et la Finlande. En conclusion, la carte de l’Europe est devenue une véritable mosaïque d’états aux frontières incertaines et

1940, Hitler satellise les pays d’Europe centrale : Slovaquie, Hongrie, Roumanie, Bulgarie. Hitler obtient l’adhésion de la Hongrie et de la Bulgarie, anciens vaincus de la Première Guerre mondiale, en leur offrant respectivement la moitié de la Transylvanie et la Dobroudja, cédées par la Roumanie, où le général pro-hitlérien Ion Antonescu prend le pouvoir en septembre 1940. À partir de juin 1941, Hitler entraîne la Slovaquie, la Hongrie, et la Roumanie dans la guerre contre l’URSS, ainsi que la Finlande

féminin) ; à : à Paris (à + ville), au Canada (au + pays au masculin), aux Etats-Unis (aux + pays au pluriel) ; dans : dans le Val d’Aoste (dans + région/province au masculin). • Pour indiquer le lieu d’où on vient, on utilise : de : de Roumanie, de Transylvanie ( de + pays ou région/province au féminin) ; de Tokyo (de + ville) ; du : du Japon (du + pays au masculin) ; d’ : d’Espagne, d’Inde (d’ + voyelle ou h muet) ; des : des Pays-Bas (des + nom au pluriel). ! Les pays qui se termine par « e » sont féminins

l’époque —, elle à vrai dire ne vivait pas d’une promesse, mais de la situation et d’elle seule. Je lui posais des questions sur son passé et, pour me répondre, on aurait dit qu’elle fouillait dans un coffre plein de poussière. Elle avait grandi en Transylvanie, était arrivée à Berlin à dix-sept ans, entrée comme ouvrière chez Siemens, et s’était retrouvée dans l’armée à vingt et un ans. Après la fin de la guerre, elle s’en était sortie en faisant toutes sortes de jobs. Dans son métier de receveuse de