Tramway

veille technique, notre instinct nous a pousser à analyser les modes de fabrication de véhicules, de type voitures et tramways. Nous en avons vite conclu que des contraintes telles que les matériaux et les outils de productions étaient inhérents à ce type de production en série. Pour aller un peu plus loin dans cette direction, nous nous sommes intéressés a un cas précis : Les tramways de la compagnie SEMITAN, implantés dans la métropole Nantaise. Les caractéristiques de ces transports (performances

moins polluants, moins dangereux et à moindre impact en termes de contribution aux émissions de gaz à effet de serre . Ces expressions recouvrent des regroupements pouvant associer des transports motorisés,les transports en commun (bus éléctrique ,tramway,train,métro) , le covoiturage ou les vehicules assistés (ex: vélo à assistance électrique). On retrouve notamment, dans l'ordre: la marche à pied, les vélos et véhicules dérivés du vélo ( velo en libre-service, vélos partagés). Utiliser une voiture

réduire d’environ 15 % la pollution urbaine. Mais le bus n’est pas le seul transport en commun présent en milieu urbain. b. Le tramway C’est un mode de transport en commun urbain circulant sur voies ferrées. Les rails de cette voie ferrée sont encastrés dans la voie routière de manières à ne pas faire obstacle aux circulations auxiliaires. La plupart des tramways de notre époque sont équipés pour la traction électrique. Ils comportent de nombreux avantages :  Ils possèdent leurs propres

références marines : champs lexical : poisson, coquillage, iode,… les bateaux : mats, marins,… ainsi que les figures de style : "tramways avec leurs pattes de crustacés" qui est une métaphore ou les "chaises frétillantes" qui est une personnification. Il y a contamination de la ville par la mer. Mais il y a aussi des références urbaines : champs lexical : villes, tramways,… Le choix des lieux représente la socialisation très liée aux humains. Le bruit et l’agitation sont aussi présents. Champs lexical

économiques Hassa II (route d’El jadida) doit passer plus d’une heure pour effectuer le trajet reliant sa résidence avec la dite faculté. Si le cours commence à 8 h, celui-ci doit se pointer au minimum à 6h 45 devant la station de bus ou de tramway la plus proche pour arriver à l’heure. Parfois, l’étudiant prend deux grands taxis ou deux bus pour se rendre à sa faculté. L’insatisfaction des étudiants en rapport avec les modes de transport actuels n’est plus à démontrer aujourd’hui

rejet de particules et silencieux... Le véhicule électrique peut être vu comme une réponse efficace et concrète pour diminuer l’empreinte environnementale des transports. Il constitue un maillon manquant du panorama de la mobilité urbaine durable (tramway, bus, vélo) et répond aux modes de déplacement des conducteurs qui parcourent quotidiennement moins de 20 km, principalement dans le périmètre urbain. De plus les politiciens encouragent les citadins à changer de mode de transports en achetant des

opération exemplaire sur les plans de l’environnement, de la maîtrise de l’énergie et des espaces publics. Grenoble a été la première ville à réintroduire le tramway. Les urbanistes ont prévu des voies séparées avec une circulation en site propre en faveur du tramway. Des politiques de transport en commun ont été développés comme les bus et le tramway pour les déplacements de courtes distances afin de réduire les pollutions et de décongestionner les axes routiers. Cependant ces aménagements posent d’importants

secteur privé la réalisation, le financement et/ou la gestion, pour un terme fixé des services d’intérêt public. La concession peut porter sur des services variés : éclairage public, distribution d’eau ou d’énergie, transports publics par chemins de fer, tramways ou bateau, routes à péage, évacuation et traitement de déchets. Le concessionnaire assurera le service moyennant redevance perçue auprès des usagers-clients. [...] [...] Les raisons pour lesquelles le développement des infrastructures et des équipements

Marseille (Jules Supervielle) Texte : Marseille Marseille sortie de la mer, avec ses poissons de roche, ses coquillages et l’iode, Et ses mâts en pleine ville qui disputent les passants, Ses tramways avec leurs pattes de crustacés sont luisants d’eau marine, Le beau rendez-vous de vivants qui lèvent le bras comme pour se partager le ciel, Et les cafés enfantent sur le trottoir hommes et femmes de maintenant avec leurs yeux de phosphore, Leurs verres, leurs tasses, leurs seaux à glace

Effectivement, l’un des objectifs des architectes, des maires et des habitants est de construire, créer et rénover nos villes de manière durable et écologique tout en conjuguant croissance économique et démarche écologique. Du recyclage des déchets au tramway électrique, des terrasses végétalisées aux panneaux solaires, tout est pensé afin de réduire les émissions de CO2, la consommation d’eau, la consommation d’électricité,… Un exemple très significatif de ce passage au vert dans l’architecture urbaine