Trafic de cannabis

permis l'émergence de nouveaux ports dans les grandes métropoles. Sur la côte est, on trouve ainsi Calcutta et Paradip sur le Golfe du Bengale, Chennai sur la côte sud et les ports de Bombay dont le nouveau Port Jawaharlal Nehru, spécialisé dans le trafic de conteneurs, New Mangalore et Mormugão sur la côte ouest. Presque 90% du commerce extérieur de l'Inde est fait par la route maritime avec l'appui de plusieurs de ces voisins. * Les routes L'Inde dispose de 3,3 millions de kilomètres de routes

interdit. Ce serait même une absence de curiosité qui pourrait être inquiétante. Un peu comme la première cigarette que nous sommes nombreux à avoir fumée en cachette quand nous étions petits, il est fort probable que nos enfants essaient un jour le cannabis, juste pour voir, pour savoir. Si nous avons su créer les conditions d’une ambiance de confiance et de dialogue dans la famille, ils oseront nous en parler et nous pourrons facilement les mettre en garde contre les deux dangers essentiels du haschich

Fonctionnement 4 B. La surpopulation 4 1. Etat actuel 4 2. Evolutions à venir 5 II. LA VIE EN PRISON 7 A. Le désordre externe : les liens familiaux 7 B. Le désordre interne 8 1. Des conditions de vie précaires 8 2. Trafics et Violence 9 3. Suicides et « morts suspectes » 10 C. Les occupations des détenus 11 1. Le travail 11 2. Les activités proposées 13 CONCLUSION 15 BIBLIOGRAPHIE 16 INTRODUCTION La prison… Voilà bien un terme trop souvent

quêtes initiatiques, dont beaucoup s'arrêtent à Katmandou, ou même déjà à Istanbul, sur la case drogue. Une large majorité des consommateurs lui préfèrent cependant le haschisch, une autre mode arrivée d'outre-Atlantique. En 1951, la loi met cannabis et héroïne sur le même plan, aux côtés de la cocaïne, une assimilation qui ne tarde pas à susciter un abondant débat politique et scientifique. Les partisans de cette assimilation voient dans le chanvre une drogue palier dont la consommation conduit

parfois intégrés à de plus vastes ensembles mafieux, pour lesquels l’activité contrefactrice est une source de revenus peu risquée qui côtoie d’autres activités criminelles aux dimensions internationales comme la prostitution, le terrorisme ou les trafics en tout genre, drogues ou armes. Lors du Congrès mondial sur la lutte contre la contrefaçon et le piratage qui s’est tenu à Lyon les 14 et 2 15 novembre 2005, le secrétaire général d’Interpol , Ronald K. Noble, a déclaré : « Nul pays ne peut à lui

lien avec la logique internationale dirigée par la politique américaine d'une pénalisation du trafic et de l'échange avec la loi de 1970. La loi du 31 décembre 1970 constitue le point d'ancrage de la politique française de lutte contre les drogues. Cette loi aborde deux objectifs, tiraillée entre une logique répressive et une logique sanitaire. Ainsi, nous retrouvons la répression de l’usage et du trafic de drogues et un accès aux soins, qui sera réellement pris en compte avec l'apparition du VIH

inspire. On parle de “dreu”, “shnouff”, “citizen”. Les dealers la nomment également en fonction du pays d’origine supposé l’afghane, la pakistanaise, l’ukrainienne, la bulgare, la birmane, l’indienne… Ce procédé de nomination est similaire à celui du cannabis, ce qui banalise le produit nommé, insistant sur son identité culturelle d’origine plutôt que sur l’effet supposé (donc dangereux ou du moins impressionnant). » Marseille : « L’usage d’héroïne en milieu festif reste encore un sujet tabou. Les dealers

répression routière ? Depuis 1972, date de naissance de la politique publique de lutte contre l'insécurité routière, des progrès spectaculaires ont été enregistrés puisque le nombre de tués (à 6 jours) est passé de 16628 à 5154 (voir annexe), alors que le trafic automobile a augmenté de manière très importante sur la même période. L'indice d'insécurité, c'est à dire le nombre de tués par kilomètre parcouru a été divisé par un facteur de l'ordre de 4 mais cet indice est stagnant. L'accident est toujours la

de réelle législation concernant le cannabis puisque cette drogue est tout simplement totalement interdite. Les projets de loi concernant un usage médical et/ou récréatif de cette plante ainsi que l’absence de cadre dans ce domaine a engendré la création d’un immense réseau de trafiquants créant de l’insécurité et donc une liberté de mouvement réduite pour les citoyens dans les fiefs de ces trafiquants. En effet tous se battent pour avoir le monopole du trafic et les règlements de compte avec arme

envers les personnels pénitenciers. On constate aussi que pour le début de l’année 2005, il y a eu 457 agressions contre les personnels et ceci ne cesse d’empirer. Il existe également des trafics au sein des prisons, mais qui ne sont pas très nombreux. Ils ont essentiellement pour objet la drogue comme le cannabis et le haschich. Celles-ci permettent aux détenus de « s’évader » quelques heures psychologiquement et permettent paradoxalement de baisser la violence mais aussi de l’augmenter car certains