Tp Biodiversité

passant par les innombrables chutes et rivières de la Basse-Terre, les îlets de palétuviers du Grand Cul-de-Sac Marin et les vallées verdoyantes de la Côte sous le vent, l’île est un haut lieu ou « hot spots » de la biodiversité, à l’image d’un joyau éclatant mais fragile. La biodiversité des territoires aujourd’hui classés en Parc national est le résultat d’une évolution longue et constante, liée au passé géologique, climatique et à l’action de l’homme, grands déterminants de la répartition des espèces

la biodiversité en danger introduction rapide pour présenter la biodiversité : La vie existe maintenant depuis 4 milliard d'année sur la Terre , pour la première fois apparut dans l'eau . Peu a peu elle est sorti de l'eau pour devenir des êtres vivants microscopique puis ensuite pour arriver a des êtres vivants de plus en plus complexes et diversifiés . la biodiversité ce caractérise par l'ensemble des différentes formes de vies existante que ce soit végétales , animales ,bactériens ou autres

dans l’originalité et la pluralité des identités qui caractérisent les groupes et les sociétés composant l’humanité. Source d’échanges, d’innovation et de créativité, la diversité culturelle est, pour le genre humain, aussi nécessaire qu’est la biodiversité dans l’ordre du vivant. En ce sens, elle constitue le patrimoine commun de l’humanité et elle doit être reconnue et affirmée au bénéfice des générations présentes et des générations futures. » Cette article présente parfaitement le rôle de la diversité

Convention sur la diversité Biologique: La lutte contre la perte de biodiversité SOMMAIRE INTRODUCTION 3 1. LA POBLEMATIQUE DE LA PERTE DE DIVERSITE BIOLOGIQUE DANS LE MONDE 4 2. LA CONSERVATION DE LA BIODIVERSITE 5 2.1. La Convention sur la diversité Biologique (CDB) 5 3. ANALYSE GENERAL DES PRINCIPAUX OBJECTIFS DE LA CONVENTION DE LA DIVERSITE BIOLOGIQUE 5 3.1. La conservation de la diversité biologique 6 3.2. L'utilisation durable des éléments de la diversité biologique

Parc national de la Guadeloupe Le parc national de la Guadeloupe est un parc national situé dans le département de la Guadeloupe (971). La forêt tropicale et le massif montagneux de la Basse-Terre constituent une zone de biodiversité exceptionnelle en France, et dès 1970 a été créée par le Conseil général de la Guadeloupe du Parc Naturel de Guadeloupe, géré par l'ONF. En 1977 a été émise l'idée de le transformer en Parc national afin de mieux gérer et contrôler sa superficie et c'est le 20 février 1989

suisses, servent bien plus à permettre aux personnes intéressées de se défendre, notamment sur le plan civil dans les ordres juridiques nationaux, en particulier ceux sur lesquels les ressources génétiques ont été récoltées. En cette année de la biodiversité, les parties contractantes s’attellent à trouver une solution internationale à ces problématiques, dans le cadre de la négociation d’un «Protocole sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de

plus fort taux de développement dans le monde, à l'inverse du tourisme de masse qui dégrade les milieux naturels, en intégrant une dimension éthique et écocitoyenne. Des guides de bonnes pratiques apparaissent, dont pour la prise en compte de la biodiversité dans les hôtels1De même, de nouveaux médias faisant la promotion de ces bonnes pratiques auprès des professionnels apparaissent. En France, un quotidien en ligne existe depuis avril 2010. Celui-ci s'intitule Le Journal de l'EcoTourisme 2. Celui-ci

est provoquée par la pollution, le réchauffement et l’exploitation intensive des nappes phréatiques par l’agriculture industrielle, ce qui nous pousse a faire encore plus attention en nos dépenses d’eau en trop[8]. 3. Les conséquences pour la biodiversité[9] et la biomasse[10] Il y a la disparition des forêts qui est du a l’exploitation forestière, agricole ou minière. Les activités humaines ont pour conséquence une augmentation du taux de CO2 et donc nous détruisons les forêts qui contribuent

sont autant d’habitats et d’axes de circulations essentiels pour animaux, insectes et végétaux. Les écologistes s’accordent aujourd’hui à dire que ces espèces jusqu’alors sous estimées (difficilement perceptible), regroupées sous l’appellation « Biodiversité », sont à la base de notre écosystème actuellement fragile. Le lien « au sol » s’exprime ici à travers cette responsabilité de rapprochement à la faune et la flore. C’est un terrain sur lequel l’« architecture naturelle » doit œuvrer. La particularité

la biodiversité. Les seuls espaces hyper-productifs possibles qui existent sur la planète sont les zones tropicales humides où existe la plus riche biodiversité. Il faudra donc faire des choix. Ou bien on laissera faire le marché et les intérêts des plus nantis s’imposeront aux dépens des paysans et des écosystèmes. Ou alors les sociétés organiseront et contrôleront socialement et politiquement ces choix à travers un aménagement de l’espace, du paysage, incluant des zones pour la biodiversité dans