Tout ce qui brille

deux cochons autour du projet de construction d'un moulin : Boule-de-neige est expulsé par les chiens de Napoléon qui établit une véritable dictature. Napoléon instaure un culte de sa personnalité, use de propagande grâce à un cochon manipulateur, Brille-Babil, qui justifie ses actes, de censure et de violence à l'exemple de l'exil de Malabar. Le roman se termine par la réconciliation des cochons avec les propriétaires humains des fermes avoisinantes les cochons ont appris à marcher sur deux pattes

animaux meurent de faim et par conséquent se révoltent sans comprendre qu'ils mettent fin à la tyrannie des hommes. Les animaux instaurent des commandements auxquels les animaux de la ferme doivent désormais obéir : 1.Tout deux pattes est un ennemi 2.Tout quatre pattes ou tout volatile, un ami 3.Nul animal ne portera de vêtements 4.Nul animal ne dormira dans un lit 5.Nul animal ne boira d'alcool 6.Nul animal ne tuera un autre animal 7.Tous les animaux sont égaux Chapitre III Les cochons

Poèmes saturniens. Par l'invention d'un bourgeois caricaturé sous les traits d'un personnage de Molière, Verlaine avec sa lyre mélancolique nous décrit la condition sociale douloureuse du poète. La poésie est un genre riche de possibilités, pouvant tout aussi bien magnifier la beauté ou des sentiments profonds qu'être comme dans ce poème un chant social opposant les poètes assimilés à des êtres barbus, en marge de la société, aux bourgeois profondément matérialistes et plus préoccupés par leur réussite

chassé de la ferme par napoléon. Il est considéré comme un traitre. Tous les malheurs qui frapperont la ferme seront de se faute. Il symbolise Trotsky. Brille-Babil : C’est un Porcelet. Il justifie toutes les actions de Napoléon. Il symbolise la propagande. Malabar : C’est un cheval. C’est un grand travailleur. Il symbolise le stakhanovisme (Il fait tout pour ce qu’il peut pour impliquer le travailleur et l’incité à adhérer aux objectifs de performances de son entreprise). Moise : C’est un corbeau. Il

d'appareils électriques défectueux envoyés par les pays européens tel que l'Italie, l'Allemagne et d'autres encore. Certaines personnes récupèrent ces apareils, comme par exemple un ordinateur, encore utilisable pour les réparer. Certaines fois, il faut tout simplement changer une pièce : c'est ce qu'on appelle l'obsolescence programmée. Les producteurs des ces appareils disent aux clients rapportant un appareil défectueux qu'il ne fonctionnera plus jamais ou que les réparations coutêraient plus cher

par la lettre, respect d’Usbek vis à vis de Hassein. Présence d’une double énonciation, « Ô toi, sage Dervis » (L.1). Utilisation de la flatterie par Usbek : Hassein est décrit comme ayant toutes les qualités du philosophe. « esprit curieux » (L.1) ; « brille de tant de connaissances » (L.1/2). Le mot « brille » fait référence aux Lumières. c)Ironie et critique de la croyance. Derrière cette flatterie apparente se cache une critique de la religion. Religion = croyance sans réflexion « tu renonces

proximité avec les autres animaux en les appelants “camarades”. Ce terme revient plusieurs fois et cela permet l’instauration d’un cadre intimiste et de confiance. Il raconte ensuite sa misérable situation, et voit en l’homme le principal problème. Durant tout son récit il accentu ses propos en utilisant des figures de style de l'exagération comme celle de l'hyperbole : “Qu’on le (l’homme) supprime, et voici extirpé la racine du mal” ; ou l’énumération : “Il ne donne pas de lait, il ne pond pas d’oeufs [

( La Religion est mise en cause par le regard naïf du Huron . Cette naïveté se manifeste par : - le fait qu’il croit que l’histoire qu’il lit se passe en basse Bretagne ( paragraphe 2 ) : lecture passionnée, immédiate. - Il ignore que tout s’est passé avant 1690 - Il passe d’une lecture informative à une lecture critique • Le regard de l’Ingénu est le moteur de l’action • L’un des moteurs comiques de la scène est le fait que l’Ingénu fasse une lecture au pied de la

de la tristesse. Verlaine provoque le lecteur en bouleversant le code généralement admis. B) Les champs lexicaux Le champ lexical de l'enthousiasme : -gai (l 1) -la pioche qui brille (l 2) -le prêtre qui prie allégrement (l 3) -bien chaud, douillettement (l 6) -heureux drille (l 8) -charmant (l 9) -tout rondelets (l 10) -resplendissants (l14) Le champ lexical de la musique : Il faut souligner ici l'aspect théâtralisé de la scène. Nous avons l'impression de voir se dérouler une comédie

L'observateur décèle une nuance suppliante dans le regard de quiconque a terminé une entreprise ou une oeuvre ou se livre tout simplement à quelque genre d'activité que ce soit. (…) De même que, pour se faire un nom, chacun s'emploie à devancer les autres, de même, dans ses commencements, l'homme dut connaître l'envie confuse d'éclipser les bêtes, de s'affirmer à leurs dépens, de briller coûte que coûte. (…) Se faire valoir, tel était, tel demeure son rêve. Il est difficile de croire qu'il ait sacrifié