Tous les mêmes

une conscience, c'est le jugement. Penser, c'est donc juger. » Bref la pensée est le summum de la subjectivité, or la science se veut être objective et valable en toutes circonstances, on peut citer le principe de causalité : les mêmes causes entraînent toujours les mêmes conséquences, par conséquent, la science rejette et cherche à se détacher de toute forme de subjectivité. Ainsi, en rejetant la philosophie, la science ne peut d’aucune manière résoudre des problèmes philosophiques comme

L’école est-elle un facteur d’intégration sociale ? Intro : (W) Le thème de notre exposé est : l’école… sociale ? Ce sujet est important puisqu’il nous concerne tous. Pour cela Roland vous expliquera en quoi l’école est un facteur d’intégration sociale et par la suite je vous montrerez que dans certains domaines l’école peut aussi être un facteur d’exclusion. R : Avant tout qu’est-ce que l’intégration ? L’intégration, en sociologie, est le processus de rapprochement entre une personne et

lesquels ses coûts sont les plus faibles, c’est-à-dire ceux pour lesquels il est le plus favorisé ou le moins défavorisé, l’échange de ces biens, à un taux compris entre les coûts comparés, procure un gain certain à tous les pays, et même un pays défavorisé dans l’absolu pour tous les biens gagne à l’échange international par rapport à la situation d’autarcie. Ricardo fournit la démonstration du gain de l’échange dans le cadre de deux pays (Angleterre et Portugal), deux biens (drap et vin) et

libres penseurs, même parmi les tuteurs officiels de la foule, qui, après avoir secoué eux-mêmes le joug de la minorité, répan­dront autour d'eux cet esprit qui fait estimer au poids de la raison la vocation de chaque homme à penser par lui-même et la valeur personnelle qu'il en retire. Mais il est curieux de voir le public, auquel ses tuteurs avaient d'abord imposé un tel joug, les contraindre ensuite eux-mêmes de continuer à le subir, quand il y est poussé par ceux d'entre eux qui sont incapables

d’en tirer la conclusion que le mariage gay et l’adoption d’enfants par des parents de même sexe est à exclure impérativement. Autrement dit, ce n’est pas parce que la plupart des couples sont des couples de sexe opposé que nécessairement il faut que tous le soient. Exemple: personne ne dirait que parce que la plupart des gens sont racistes, chauvins, sexistes, il faut que tout le monde le soit. 2) Devoir implique pouvoir Autrement dit “à l’impossible nul n’est tenu”,nul ne doit faire quelque

jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi. Article 5 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas. Article 6 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle

d’être car c’est uniquement lui qui décide pour lui-même. Donc, tel un artiste, l’homme doit affirmer ses choix et prôner sa liberté. Gabriel Marcel dit que nous hommes, « On n’est pas spectateurs de nous-mêmes ». En effet, si l’on décide de se prendre en main et de contrôler nos actes par nous-mêmes et façonner notre existence comme on l’entend, alors on est pleinement acteurs de notre vie, et loin d’être de simples spectateurs qui comme allant au théâtre, voient sous leurs yeux se dérouler une succession

cherchant à ressembler aux autres, à exprimer par des moyens éphémères la permanence de sa personnalité. » M. Ferrasson Nous vivons dans une société de pure consommation où la mode prend une place importante. Nous sommes constamment assaillis par tous les médias des nouveautés du moment et si nous refusons de nous y soumettre, nous sommes dits « démodés », « hors norme ». Les médias de la mode ont donc une grande influence sur nous, car nous sommes quasiment obligés de nous y soumettre, sinon nous

  la   foule   ose   souvent   cri3quer   les   décisions   de   ses   chefs   ;   mais,   lorsqu'ils  voient  le  châ3ment  en  face,  se  défiant  les  uns  des  autres,   tous   s'empressent   d'obéir.   Ainsi   voit-­‐on   avec   cer3tude   que,   quant   à   ce   que   dit   un   peuple   de   ses   bonnes   ou   mauvaises   disposi3ons,   il   n'en  faut

aux « hommes qui habitent dans des pays démocratiques n’ayant ni supérieurs, ni inférieurs, ni associés habituels et nécessaire, se replient volontiers sur eux-mêmes et se considèrent isolément. », par conséquent les amènent à se considérer indépendamment et de façon isolée. L’égalité pousse alors les hommes à ne s’occuper que d’eux-mêmes et de « leurs affaire particulières » ce qui permet l’émergence d’une entité devant s’occuper à présent des « affaires communes ». Cette entité devient alors le