Tous les mêmes

org/pages/articles-lettres/pourquoi-les-tests-sur-animaux-sont-ils-absurdes-et-inutiles.html#ATcpxKG4DIehOfws.99 L’humain affirme la supériorité de son espèce depuis des siècles pour soumettre les autres animaux. D’ailleurs les scientifiques utilisent ce même principe pour utiliser librement tous les autres animaux en vue de tests soit disant scientifiques. Mais alors si l’humain est ainsi radicalement différent des autres animaux, pourquoi pense-t-il que les résultats de tests sur ces animaux sont transposables à son espèce ? L'animal n'est

ayons observé un premier, puis un second, puis un n-ième orage et que nous disposions d'un nom commun pour les désigner tous simultanément ; or, au nom de quoi rapprochons-nous l'orage n°1 de l'orage n°2 ? tout simplement en raison du fait qu'à nos yeux, ils se ressemblent. Nous tirons de cette ressemblance superficielle le sentiment qu'ils doivent, par conséquent, obéir aux mêmes lois. Ce type de raisonnement s'appelle une analogie : voilà qui commence mal puisque la logique le condamnait déjà. (Notons

social. On voit seulement qu’ils portent les mêmes habits : chemise bleue sous une veste en jean. Les mains et les menottes : les mains sont identiques, leur couleur exceptée : à demie repliées, le pouce en avant. Elles sont tenues ensemble par des menottes, mais aucun texte ne vient expliquer pourquoi : cet objet connote l’arrestation, l’emprisonnement, donc la vraie ou supposée culpabilité. Mais culpabilité de qui ? des deux ? [nous sommes en effet tous égaux devant la loi, il n’existe aucune discrimination

 S.V.T contrôle commun : Caractères : Spécifiques: commun à tous les Hommes ( yeux, bouche, nez, doigts... ) Individuels: commun à personne (couleur: yeux, cheveux, peau, la taille... ) Héréditaire: qui descendent des ancêtres (type de peau, couleur de cheveux... ) et peuvent être modifiés mais ça ne sera pas transmis aux enfants. Le sexe est déterminé : au moment de la fécondation. L'information génétique : Portée sur l'ADN donc

citations qui sont intégrées de façon trop abrupte. Il faut qu’on reconnaisse l’idée du A après l’idée du I. Assurer une progression le long du devoir Expression doit être précise I- Un temps cyclique A- Une journée type - N’avance pas - Comédie tous les jours - Confusion lever/ coucher entre Hamm et clov - La journée d’une famille( lever, conversations de la journée : une puce à tuer, faire pipi, , calmant avant la nuit B- Pas de repère temporels - Climatique : pas de soleil, pas d’heure,

je tenterai de vous illustrer mon point de vue à travers ce texte. Tout d’abord, l’on peut dire que tout le monde est différent, et de plusieurs manières. Il y a beaucoup de sortes de différences, comme les personnes qui n’ont pas les mêmes opinions, les mêmes pensées, la même idéologie, ainsi que les différences des traits physiques, par exemple deux personnes qui n’ont pas la même couleur des yeux, qui n’ont pas la même coupe de cheveux ne sont pas semblables. Vue de cette perspective, la citation

raison que je consulte n'était pas la même qsui répond auxc chinois, il est évident que je ne pourrais pas être aussi assuré que je le suisd, que les chinois voient les mêmes vérités que je vois. Ainsi, la raison que nous consultons qua nd nous rentrons dans nous-mêmes, est une raison universellle. Je dis quand nousd rentros dans nous-mêmes, car je ne parle pas d'ici de la raison que suit un homme passionné. Lorsqu'un homme préfére la vie de son cheval à celle des son cocher, il a ses raisons, mais ce

a sept cent ans (…) » Tocqueville décrit alors une évolution de l’égalisation et de l’uniformisation de la société : ▪ Le pouvoir politique du clergé apparaît et s’étend. Ces idéaux d’égalité imprègnent le gouvernement, ses rangs sont ouverts à tous : P14. « l’égalité commence à pénétrer par l’Eglise au sein du gouvernement » ▪ L’uniformation territoriale du droit : P14. « La société devenant avec le temps plus civilisée et plus stable, les différents rapports entre les hommes deviennent plus

est possible parce que nous sommes tous différents. D'ailleurs s'il y avait une règle, on la connaîtrait et nous nous empresserions de l'appliquer. Mais paradoxalement, si elle existait et si tout le monde l'appliquait, nous serions tous les mêmes et sans différences nous perdrions non pas le sens de nos vie puisque nous l'aurions tous atteint. Mais bien plus NOTRE vie. Nous serions les mêmes et sans différences nous aurions aucune individualité. Alors puisque tous les chemins peuvent être les bons

s’il la connaissait, il n’aurait pas établi cette maxime, la plus générale de toutes celles qui sont parmi les hommes : que chacun suive les mœurs de son pays. L’éclat de la véritable équité aurait assujetti tous les peuples (…).On la verrait plantée par tous les Etats du monde et dans tous les temps, au lieu qu’on ne voit rien de juste ou d’injuste qui ne change de qualité en changeant de climat. Trois degrés d’élévation du pôle [latitude] renversent toute la jurisprudence. Un méridien décide de