Tourbillon

qui éclate sous ses yeux elle a compris la trahison la blesse une larme coule elle a vu l’étranger de demain Sybille Rembard, 2011 Poème classé dans Sybille Rembard, Trahison, Tristesse. Laisser un commentaire Inégalité du superflu Tourbillons de désirs paramétrant notre bonheur décadent Humanité arythmique Possessions Éblouis par la lumière les ectoplasmes en transhumance se laissent guillotiner par l’orgasme matérialiste Troupeau malade de richesse Petit Chaperon Rouge éphémère

Coriolis agit seulement sur de grands objets comme des masses d'air se déplaçant sur des distances considérables. Nous pouvons voir chaque jour, une manifestation de la force de Coriolis quand nous vidons notre bain , l’eau s’évacue en formant un tourbillon qui tourne dans le sens horaire dans l’hémisphère nord. À une échelle plus grande, les avions ont tendance à dévier de leur trajectoire vers la droite et doivent corriger leur direction constamment. Les trains en direction nord-sud ont une légère

de l’exposition universelle. Le tableau est une peinture en noir blanc et gris, des couleurs d’un faire-part de deuil selon Michel Leiris. La composition évoque un triptyque, deux parties latérales verticales et une partie centrale comme un tourbillon. Le taureau impassible encadre le groupe de la mère et de son enfant mort dans les bras comme une pietà. C’et un survivant et il représente le triomphateur de ce tableau mais c’est aussi une victime. Cette dualité est suggérée par l’opposition noir/blanc

sonorité dans son « gueuloir ». Flaubert, de la recherche documentaire jusqu’à l’écriture, a toujours le souci de l’exactitude et de la perfection.« Le 15 septembre 1840, vers six heures du matin, la Ville-de-Montereau , près de partir, fumait à gros tourbillons devant le quai Saint-Bernard. Des gens arrivaient hors d’haleine ; des barriques, des câbles, des corbeilles de linge gênaient la circulation ; les matelots ne répondaient à personne ; on se heurtait ; les colis montaient entre les deux tambours

pustules ou de blessures purulentes, comme les membres du Christ dans le retable d’Isenheim. L’espace est saturé de corps, de débris, de formes déchirées. Il est traversé par des verticales hérissées. Jusqu’aux cieux qui inquiètent : des nuées, des tourbillons rougeâtres y circulent, souvenirs de la Bataille d’Alexandre d’Altdorfer et signes de la catastrophe qui étend son empire à la nature entière.

les couleurs orchestrales apparaissent plus souvent. Sculpture. Les ensembles de figures prirent une importance nouvelle, il y eut un mouvement dynamique et une énergie portée par les formes humaines – elles s’enroulent en volutes autour d’un tourbillon central, ou atteignent vers l’extérieur les espaces alentour: sculpture. Chapelle Cornaro par Le Bernin. Architecture. L’accent est mis à la fois sur l’aspect massif et chargé, colonnades, dômes, clair-obscur, effets colorés de peinture,

l’Univers en expansion est empli d’un gaz dense, chaud et homogène. En se refroidissant, certaines régions deviennent plus denses, et, par effet de gravitation, aspirent le gaz aux alentours. Au fil du temps, le mouvement s’accélère, le coeur du tourbillon augmente peu à peu sa masse et donc son pouvoir d’attraction. Sous la pression de la gravitation devenue gigantesque, le gaz aspiré se comprime dans le coeur du maelström. Il finit par former un trou noir dont la masse ne cesse de s’accroître

une femme vampire avec des ailes munies de puissantes serres de rapace. Elle veut que les villageois suppriment Dracula pour prendre sa place. Le combat final entre les deux vampires se termine par leur chute dans le lac qui les engloutit dans un tourbillon d'écume et de sang.

de 1915-1916. Elle n’a pas de géométrie, elle ressemble plus à une photographie. Le mouvement artistique de l’œuvre est le réalisme et le vorticisme (mouvement artistique britannique où la source d’inspiration se trouve dans le « vortex » ou tourbillon des émotions) Le titre de l’œuvre « Paths of Glory » qui signifie les sentiers de la gloire est en contradiction avec le tableau. Cette œuvre a inspiré le cinéaste Stanley Kubrick avec son film au titre « Paths of Glory » des années plus

», « mon repasse-limace », « atomixeur ». Plus on progresse dans le texte et plus les objets imaginés désignent des fonctions inutiles, absurdes et destructrices : « canon à patates », « éventre-tomate », « écorche-poulet ». La gradation dans ce tourbillon de mots suggère la folie grandissante du consommateur qui ne maîtrise plus ses pulsions consommatrices et se laisse tenter par tout et n’importe quoi sans réfléchir à l’utilité de son achat. Le dernière couplet atteint le plus haut degrès de