Totalitarisme Limite

remplacé les valeurs morales véhiculées par la religion, cette nouvelle religiosité n'est-elle pas dangereuse ? (voir Legendre) C. Concevoir une société sans religion ne relève t-il pas d'une foi en l'homme ? Pour éviter ces dérives (sectes, totalitarisme dogmatique, immoralité) en prenant en compte ce besoin de religiosité, on peut envisager un transfert du religieux vers le politique plutôt qu'une abolition, ce qui répondrait au désir de spiritualité et donnerait à la société son fondement transcendant

par George Orwell, écrivain anglais (25 juin 1903 aux Indes – 21 janvier 1950 à Londres) dont le vrai nom est Eric Arthur Blair dont les œuvres porte la marque de ses engagements politiques (pour la justice sociale et le socialisme, contre le totalitarisme). C’est une fable animalière. Elle décrit une ferme dans laquelle les animaux se révoltent, prennent le pouvoir puis créer un nouveau régime et y chassent les homme à cause de la négligence et ceux-ci. Les hommes, içi leur maître M. Jones, étant

démocratie). Alors, si la loi ne respecte pas les libertés individuelles ou collectives, l'individu ou la collectivité devrait avoir la liberté de ne pas la respecter. Les libertés naturelles sont supérieures à la loi et certains gouvernements, comme le totalitarisme, ne les respectent pas. Ainsi, la rébellion envers un tel gouvernement, dont les lois peuvent proscrire l'expression personnelle et empêcher les soulèvements, est légitime puisqu'elle est au nom du bonheur du peuple. Pareillement, s'il arrive que

providence avec la redistribution des richesse. Il fait ainsi voté un certain nombre de lois : en 1883 l’assurance maladie, en 1884 l’assurance pour le travail, en 1889 l’assurance invalidité et retraite à partir de 70 ans, en 1890 le travail des femmes limité à 10 heures par jour et en 1891 le repos hebdomadaire obligatoire. Beveridge pour le système anglais. Bismarck décide de casser d’un côté les poussés révolutionnaire, d’améliorer les conditions de travail pour désamorcer la menace socialiste révolutionnaire

 originalité  du  totalitarisme,  ne  tient  pas  à  ce  qu’une  nouvelle  «  idée  »  soit  venue  au   monde,  elle  tient  à  des  actes  en  rupture  avec  toute  notre  tradition  qui  ont  littéralement  pulvérisé   nos  catégories  politiques  comme  nos  critères  de  jugement  moral."  Hannah  Arendt.       Le  totalitarisme  est  un  mot

Mussolini en Italie et Franco en Espagne. La souveraineté de ce « guide » ne pouvait être révoqué en doute, ceci octroyait à ce dernier des pouvoirs incommensurables : il était au-dessus des lois. Le fascisme tendait à beaucoup d’égards vers le totalitarisme : parti unique avec chef emblématique, police recourant à la terreur, direction centralisée de l’économie nationale ainsi qu’un monopole des moyens de communication t de l’armée étaient généralement présents. Les fascistes, pour atteindre une unité

socialistes ralliés ð Signature d’un traité d’alliance avec l’URSS, l’alliance étant scellée au profit du plus fort ð Interdiction de l’opposition qui est pourchassée, ses chefs étant en fuite, en prison ou exécutés avec instauration du totalitarisme importé d’URSS : parti unique, police politique, milice, et règne de la terreur et de la peur 3°) La multiplication des « démocraties populaires » en Europe de l'Est a) Moscou impose le système soviétique là où l’armée rouge est présente =

totalitaire. Pourtant, il n’est pas rare qu’un peuple s’en accommode. La masse se soumet à l’idéologie dominante par ignorance, par peur ou opportunisme, par désir de tranquillité ou de sécurité. Ainsi, il arrive que tout un peuple supporte le totalitarisme par paresse ou lâcheté, surtout si le système politique réussit à imposer l’illusion de sa légitimité. D’autre part, il faut toujours se garder de juger un régime à l’une de nos valeurs et de notre histoire. A Cuba, par exemple, la pauvreté, le

Edmund Burke, rappelé par l’auteur dans son essai, appréciait: « Quel instrument efficace du despotisme se trouvera dans ce dépôt immense d’armes offensives, les droits de l’Homme » (p.48). A ceci, Volkoff ajoute le fait que la démocratie n’a pas de limite; par conséquent, elle peut être plus despotique que tout autre régime et elle peut surtout exercer l’oppression sur les minorités. Si les monarchies étaient tyranniques par les faits, la démocratie est absolue par définition. L’écrivain continue

distinction entre les hommes, mettant ainsi en avant le principe de l’égalité. Le pouvoir s’exerce en revanche par l’intermédiaire de représentants élus au suffrage universel direct ou indirect. On oppose généralement la démocratie à la dictature ou au totalitarisme, qui est un régime politique dans lequel un parti unique détient tous les pouvoirs, et où toute forme d’opposition est réprimée. La démocratie est très diffusée dans le monde entier, et en Occident surtout. La puissance Asiatique et l’Afrique