Totalitarisme Et Privations Des Libertes

pouvoir, il est vrai qu'on associe également l'idée de liberté à certains Etats et l'idée d'oppression à d'autres. Que veut-on dire par là? Et d'abord de quelle liberté parle-t-on? De la liberté des individus : les Etats réputés libres sont ceux qui accordent aux individus des libertés, des droits pour être précis, que n'ont pas les individus qui vivent dans des Etats réputés dictatoriaux, oppresseurs ( liberté ou droit de circulation, liberté d'opinion, de confession, d'expression publique de ses

donner un sens à sa propre vie et devenir dans sa vie un être raisonnable; l'homme n'est que ce qu'il fait de lui-même. En d'autres termes: être, c'est se choisir par un libre engagement. Au surplus, il ne saurait être question de refuser cette liberté. L'homme est condamné à être libre..." Mais la société mesure souvent un homme selon sa naissance, son nom, sa famille, son héritage, sa nationalité, sa race. Mais selon les existentialistes, seuls les actes nous définissent. Nous sommes ce que

I Libertés fondamentales Rémy Cabriac et autres, Libertés et droits fondamentaux, Dalloz Frédéric Sudre, Droit européen et international des droits de l’homme, PUF Jean Morange, Manuel des droits de l’homme et des libertés fondamentales Introduction §1 : La définition Droit des libertés fondamentales : Faire du droit Libertés : facultés autonomes d’agir On s’intéresse aux libertés autonomes d’agir les plus importantes. ⋄Il y a des manuels de libertés publiques et droit de l’homme

leur zone d’occupation, les Soviétiques mènent avec vigueur la dénazification décidée à la conférence de Potsdam. Plus de 120 000 personnes sont internées dans des « camps spéciaux » qui existeront jusqu’en 1950. 42 000 détenus y seraient morts de privations et de sévices[7]. Cette politique d’épuration va de pair avec la nomination de cadres communistes aux postes-clés de l’administration, de la police et de la justice, et plusieurs milliers d’agents ayant travaillé sous le IIIe Reich sont « recyclés

des colons hispaniques (Brésil, Argentine, Caraïbes) ou anglais (Etats-Unis). La décolonisation puise sa source dans le système colonial, dont les bases posaient une contradiction insoluble : d’un côté le désir de civiliser, de l’autre la privation des droits liés à cette civilité. L’affaiblissement des métropoles après la guerre, l’émergence de puissances hostiles à la colonisation, la création de l’ONU sont autant d’éléments favorables à l’expression des revendications d’émancipation. D’une

fois, la question des frontières n’est pas pour autant définitivement résolue. Aujourd’hui encore, certains Afrikaners réclament, comme au XIXe siècle, le droit de disposer de leur propre Etat. Cette idée est notamment défendue par le Front de la liberté qui demande la fondation d’une province spécifique pour la minorité blanche. B. La création d’une Nation : une mosaïque démographique et géographique Depuis le XVIIe siècle, l'espace sud-africain a davantage abrité une juxtaposition

Constitution matérielle 16 L’ensemble des règles fondant l’autorité des gouvernants 16 Le pouvoir dans l’Etat 16 Les pouvoirs de l’Etat 17 B) L’ensemble des règles garantissant les droits et libertés des gouvernés 17 Les sources d’inspiration des droits et libertés garanties 17 Les différentes générations de droits et libertés garantis 18La Constitution formelle 18 Des règles de valeur suprême formalisées ou non dans un document 19 Constitution écrite et constitution coutumière 19 Constitution rigide et constitution

Cette distinction est particulièrement théorisée par HEGEL dans la première moitié du XIXème siècle. Aujourd’hui encore, certains outils forgés par la philosophie politique sont réutilisés par la science politique. Par exemple : le concept de totalitarisme a été forgé dans les années 1940 par les philosophes politiques et a été importé par le politistes dans leur discipline. B. Le prima institutionnel du droit public Il y a un héritage historique de proximité entre la science politique et le

politiques. Le droit limite sa liberté d’action mais donne aussi les moyens d’agir. Le 1er ministre est limité il ne peut pas tout faire. C’est le droit Consti qui définit ses pouvoirs. Droit = contraintes+pouvoirs Examiner la façon dont se combine la souveraineté du peuple et l’état de droit. La souveraineté du peuple : implique que toute volonté populaire exprimée de manière valide doit être respectée mais le principe de l’état de droit va limiter la liberté d’action des dirigeants car l’état

n’est soumis à aucun autre ; ce qu’on pourrait appeler la face obscure. Mais il y a aussi une face claire ; cette face claire est la liberté que procure cette puissance. On peut aussi considérer la souveraineté vis à vis de l’intérieur et vis à vis de l’extérieur. Cette puissance suprême qui s’applique sur l’état et ses collectivités mais sur l’extérieur c’est cette liberté qui fait qu’on est libre. Elle est liée au concept qu’est l’État, réalité sociologique. Elle s’exprime à l’intérieur de la hiérarchie