Torchis

également l’apparition de la première céramique. Désormais, l’homme produit sa propre nourriture et se donne les moyens de la cuisiner et de la stocker. Il veille aussi à la construction d’une habitation plus solide : fondations en pierre et murs en torchis. En somme, l’époque néolithique en Méditerranée Occidentale est le résultat d'un processus de diffusion et non d’une évolution locale. La manière dont cette colonisation fut accomplie est encore un sujet de discussion. Une pénétration a pu se faire

gagnant (pas forcément dans l’ordre) des agromatériaux en Champagne-Ardenne. Une liste à laquelle on peut ajouter la betterave et... le miscanthus. La Région rêve de bâtir ses maisons avec la végétation locale, comme elle le faisait autrefois avec le torchis. Passéisme ? Ce projet se veut au contraire très moderne, épousant les tendances du développement durable. La production ne demande qu’à sortir du stade artisanal et expérimental pour se transformer en atout économique. CHAMP’ECO Biogaz : un nouveau

: Françoise Miller | | Hôtel de la monnaie à Figeac, Lot, fin du XIIIe siècle. © Photo : Françoise Miller | | Au XIIIème siècle, quatre-vingt-dix pour cent de la population est constituée de paysans. Leur maison est construite de bois et torchis, couverte de chaume. Elle comprend une seule pièce avec cheminée, les fenêtres sont rares, petites, closes la nuit ou, par temps froid, au moyen de volets en bois. | XIVème et XVème siècles, le gothique flamboyant Entre le milieu du XIVème siècle

tête d'une foule ivre de foi dans les temples où les dieux adverses étalent leurs gros ventres, s'en aller crever des idoles d'autant plus creuses et fragiles qu'elles ne sont point ici de marbre comme dans les temps premiers du Seigneur, mais de torchis et de carton-paille... Ils réserveraient les coups plus durs pour l'Église chrétienne Réformée, vide d'idoles, mais remplie de confusions d'autant plus redoutables, et qui se sert, dans la langue infidèle, de termes souvent identiques... C'est ainsi

principe d'une continuité architecturale avec le bâti proche en incluant au cahier des charges à destination des concepteurs l'obligation de prévoir à des endroits sensibles, tant en façade qu'à l'intérieur, des matériaux de l'architecture locale : torchis pour Molières et pierre sur Montpezat de Quercy. Un administrateur, par ailleurs membre du Conseil d'Administration du CAUE66 a proposé la formalisation définitive du programme architectural et technique à cet organisme de compétence départementale

demande triomphalement si ce sont là des actes de raison. Il nous parle d’un rouge-gorge qui, jour après jour, se battait contre son image reflétée dans une vitre ; d’oiseaux de l’Amérique du Sud, coupables de percer de part en part un mur de torchis, qu’ils prenaient pour un talus d’argile solide ; d’un castor qui coupa un arbre à quatre hauteurs différentes parce qu’il se trouvait retenu à la cime par les branches des arbres voisins ; d’une vache qui léchait la peau de son veau empaillé

cependant exporté la technique en Europe du Nord et en Angleterre. Les Chinois ont aussi développé ce procédé et l'ont utilisé pour plusieurs tronçons de la Grande Muraille. Chez nous, le pisé semble avoir disparu au Moyen-âge, période de l'apogée du torchis, avant de connaitre un renouveau aux 18ème et 19ème siècles, sous l'impulsion de François Cointeraux (1740-1830), un lyonnais, professeur d'architecture. Cette technique de construction perdurera en roannais jusqu'aux années 1930. En 1786, François

dimanches désespérants, ils traversaient la ville arabe de part en part, et, au-delà de Bab Djebli, gagnaient les interminables faubourgs de Sfax. Sur des kilomètres, c'étaient des jardins minuscules, des haies de figuiers de Barbarie, des maisons de torchis, des cabanes de tôle et de carton ; puis d'immenses lagunes désertes et putrides, et, tout au bout à l'infini, les premiers champs d'oliviers. Ils traînaient des heures entières ; ils passaient devant des casernes, traversaient des terrains vagues

Une des caractéristiques majeures du projet, qui s'appuie sur la restauration d'un ancien bâtiment pour environ 400 m², est de préserver l'essentiel d'un ancien corps de ferme remarquable par son caractère identitaire: bâtiment de pierres et terre (torchis) du 18ème siècle. La grande salle de 145 m² située dans la partie "pierre" du bâtiment mettra notamment en valeur les matériaux d'origine: pierre apparente, charpente gardée à l'identique. La partie "Terre" du bâtiment sera valorisée par des enduits

Saint-Martin-desChamps. Claude Frollo avait été destiné dès l'enfance par ses parents à l'état ecclésiastique. On lui avait appris à lire dans du latin. Il avait été élevé à baisser les yeux et à parler bas. Tout enfant, son père l'avait cloîtré au collège de Torchi en l'Université. C'est là qu'il avait grandi, sur le missel et le Lexicon. C'était d'ailleurs un enfant triste, grave, sérieux, qui étudiait ardemment et apprenait vite. Il ne jetait pas grand cri dans les récréations, se mêlait peu aux bacchanales