Torchis

forme d'un corps principal à un étage et de combles, d'une aile en rez-de-chaussée et d'un cellier à l'arrière des bâtiments. A l'intérieur se trouve un escalier rampe-sur-rampe desservant les étages dont les pièces sont séparées par des cloisons en torchis. L'ensemble est construit en moellons de schiste recouvert d'enduit, du grès bleu étant utilisés en encadrement des fenêtres44. La ferme au lieu-dit la Paqueterie date de la fin du XIXe siècle et se compose d'un logis en rez-de-chaussée et d'un

domestiqués mais jamais pour la consommation, ils servaient plutôt à la chasse. B°- LES HABITATIONS Apparition des 1ers villages : Sédentarité des hommes. Plusieurs générations se succèdent dans un même village : les constructions se solidifient en torchis sur clayonnage avec des maisons dites danubiennes ou rubanées avec des traces de piliers en bois dans le sol. Les maisons danubiennes sont rectangulaires, placées dos au vent dominant, en toit à double pente. Les hameaux comprennent 50 à 150 personnes

canalisation reliée à un aqueduc.  Pas le temps de se prélasser, les deux hommes doivent se rendre au théâtre. Ils empruntent le cardo vers le Nord de la ville, passent devant des maisons plus modestes. Elles sont couvertes en tuiles et ont des murs en torchis et bois de chêne, recouverts d'enduits et reposant sur des murets maçonnés à sec ou liés à l'argile. Ces habitations, sur un seul niveau, ont un sol en plancher ou en terre battue. Lorsqu’ils passent devant celle de la Cour en U (on la surnomme ainsi

infrastructures religieuse placé dans toute la ville, grâce à cela il y’a aussi la présence de grands espaces vert. Construction des villes : On met place une armature, des poutres en bois, on remplile le vide avec un mélange de paille et de boue appeler le torchis · Le mouvement communal : effort des bourgeois (habitants des villes marchands) pour s’affranchir de l’autorité des seigneurs. En effet, ils sont agacés des droits seigneuriaux, payer tt le temps des taxes. Ainsi, les seigneurs se dépeche

groupés des régions céréalières, villages perchés dans le Sud, villages-rue en Angleterre ou dans le Sud de la France. En Angleterre, modernisation de l’habitat rural au cours du siècle : les briques ou la pierre remplacent en bien des endroits le torchis sur colombage, les cheminées remplacent le feu au centre de la pièce principale, les fenêtres avec vitres se multiplient cf. la ferme de Newhouse dans le Yorkshire (voir dans le fascicule). Bien sûr, des variétés régionales : par exemple, du Dorset

rez-de-chaussée reste maçonné pour être plus solide et moins humide. Les maisons sont souvent à encorbellement, chaque étage avançant par rapport au précédent. Les pans de bois forment des dessins différents et sont garnis par un hourdis de briques ou de torchis (terre sèche). Les fenêtres sont à meneaux. Souvent, ces maisons présentent sur rue leur pignon, et non leur côté le plus long. Q Les maisons Editions d’Organisation - L’histoire de l’Art - 16 x 22 - 10/11/2010 - 8 : 10 - page 145 Le Moyen Âge

proportions qui fonctionnent. Aucun calcul et pas vraiment de calendrier. Méthode intuitive et expérimentale! J’ai suivi le chantier d’une toiture végétale. J’ai aussi appris à réaliser des toitures en feuilles de palmier, des constructions en adobes et en torchis. J’ai aussi pu suivre de très près le chantier de la maison Van Lengen qui est toute faite d’adobe. J’ai également travaillé sur le plan du nouvel étage destiné à l’accueil du nouvel enfant du couple. Cette mini-bd a servi à illustré un flyer présentant

et de la fantaisie dans les robes. Elles prennent le temps, l’hiver, de fabriquer pour les enfants des vêtements robustes qui les protègent contre le froid. La famille construit elle-même sa maison : on fait sécher l’argile, on mélange le torchis à des lattes de bois pour faire les murs. Le papier graisse, huile, sert de vitre. Le toit est en chaume. Dans les régions où la pierre abonde, les murs sont en pierres assemblées, mastiquées de terre séchée. Un trou en haut du toit tient souvent

d'agriculture tout en ne négligeant pas complètement la chasse, la pêche et la cueillette. Ayant à disposition des quantités de nourriture suffisantes, l'homme se sédentarise progressivement et construit des demeures plus solides, de pierre ou de torchis, groupées en hameaux et cernées d'une palissade. Cette révolution néolithique atteint nos régions, il y a 6000 ans. Une race brachycéphale, c'est-à-dire à tête arrondie et à face courte, vient se mêler au type de Cro-Magnon et s'installe, par vagues

vente des produits, la socialisation. En fait, la maison du moyen âge est également l’atelier. L’artisan ne loue pas un bâtiment pour exercer son métier il fait tout chez lui au rez-de-chaussée de la maison. La maison, donc l’atelier est construit en torchis (VOIR DEF) avec des poutres. Est accolé à la maison une petite parcelle qui ouvre sur la rue pour le commerce des produits réalisés dans l’atelier. L’atelier a plusieurs étages, les combles sont aménagés. Dans certaines régions, les maisons peuvent