Toque

de 12 et il devient de plus en plus difficile de les canaliser. Il est presque 16h et on me demande d’aller chercher Mlle C. car c’est l’heure du goûter et qu’elle n’est toujours pas descendu. Je monte alors au 1er étage où se trouve sa chambre. Je toque, pas de réponse. J’ouvre avec mon pass et appelle la patiente. Toujours pas de réponse. J’entre alors et là je la vois sortir de sa salle de bain, qui se trouve en chambre. Je la préviens que c’est l’heure du goûter mais je constate que son visage

A l’arrivé de l’avions mon impatience grandit, je revenais sans bagages mais vivante et j’avais toujours la bague de ma grand-mère. Je monte dans ma voiture qui attendait encore sur le parking de l’aéroport, et prend la route vers ma maison. Je toque à la porte. Ce fut ma mère qui ouvrit la porte, elle ne voulait pas croire que j’étais revenue, pour elle c’était impossible, cela faisait quelques mois qu’elle ne m’avait pas vu et avait appris le naufrage du bateau. Elle pensait que j’étais morte

jdoit aller voir la cpe, elle mraconte jsai ap loi et jpeu enfin aller en classe, je toc et rentre TT le monde etais déjà installer, A 1ere vu y'a bcp d'Africain le prof il me regarde Prof : Ah vous etes Sana la mvelle Moi : Oue La y'a un gars qui toque et rentre direct Prof : On perd pas les bonnes habitude Le gars : Nan msieur tjr fidèle au poste Il va s'installer et me raegarde bizarrement Le gars : Cet ki elle ? Prof : Cet votre nvelle camarade, tien aller vous installer a coté dlui, il a lair

autonomie, nous nous répartissons les résidents, nous passons dans les chambres pour administrer les traitements sous prescriptions médicales et pour certains effectuer une surveillance de la prise médicamenteuse. Après vérification des traitements, je toque à la porte de la résidente, qui était ouverte, je vois qu’elle est en train de petit déjeuner tout en regardant la télé ; mon entrée dans la chambre n’a pas suscité son attention, je lui demande alors comment va t’elle et si elle a bien dormi, elle

qui nous est décrite comme très basse. Mais qui est cet homme qui se présente ainsi à la porte du temple ? Assurément, il ne s’agit pas de n’importe qui ! Cet impétrant passait-il par hasard à proximité ? Aurait-il vu de la lumière et aurait toqué pour qu’on lui ouvre ? Non ! En effet, il a déjà été pressenti comme digne de pouvoir prétendre à recevoir la lumière ; il a déjà été proposé par son Parrain et rencontré par trois Frères de la loge qui ont rapporté le fruit de leurs enquêtes aux

raccroché, tout comme l'autre matin, quand je suis parti en retard pour le bureau ( s'arrête puis bâille ) Bah c'était peut être une erreur de numéro. Si on se couchait ? Demain la journée sera peut-être rude. 2ème scène, au bureau de Harvey. (On toque à la porte du bureau de M. Harvey) Miss Woodard : ( entre ) M.Mungo souhaiterait vous parler. Harvey : Priez-le d'attendre, j'aimerai vous voir d'abord un instant, Miss Woodard. Miss Woodard : (Elle s'assoie) Certainement, monsieur Benson. Harvey :

nous n’avions rien. - On n’a toujours rien. C’est seulement plus cher. - Laisse-moi tranquille. Notre pays, je l’ai quitté. Quand on est un émigrant, c’est pour toujours. - Au lieu de shampoing, on lui a fait un lavage de cerveau. Elle est toquée de l’Oncle Sam… - Oh non, ce n’est pas vrai. Chanson Porto Rico, pays de mes parents Peut bien sombrer dans l’océan. Toujours la tornade sévit Toujours la population grandit L’argent se raréfie Le soleil vous rôtit Le travail abrutit Par

avec lui. Au début, il refuse car George le lui avait interdit pour qu’il n’ait pas d’histoire. Il finit par accepter. Elle lui raconte qu’elle aurait pu être actrice. Lennie lui dit qu’il aime toucher les choses douces. Elle lui répond qu’il est toqué, puis lui demande de toucher ses cheveux. Mais Lennie les lui touche trop fortement. Elle se met à crier et Lennie tente de la faire taire en la secouant, ce qui brise la nuque de la femme de Curley. Lennie s’enfuie et se cache dans des fourrés, là

rame le long des berges fleuries de la Seine, ivre d'air pur, en direction de Chatou, de Bougival, de l'île du Pecq aux guinguettes tressautantes sous le cancan, entre les barques effilées des "camarades", Léon Fontaine et Robert Pinchon, alias La Tôque et Petit Bleu, les comparses attendris de "Mouche" (1890). A l'approche de la belle saison, les heures de détente empiètent largement sur le travail, et Flaubert ne manque pas de rappeler à ses devoirs le "Gars de Bezons" qui se dissipe par trop

deux bedeaux : Employés laïques d’église, ils s'assurent du bon déroulement des cérémonies religieuses. Celui de gauche (11) est un vigneron aisé tandis que celui de droite (12) est un cordonnier modeste. La couleur rouge de leur costume et de leur toque les fait sortir tout droit d'une toile italienne du bas Moyen-Âge, cependant on a retrouvé dans la sacristie de l'église d'Ornans une de ces toques. ■ Le groupe des hommes : au premier plan les bourgeois et notables, un juge de paix (14), le maire