Tontine Au Maroc

paiement de prime Articles 21, 22 et 23 * L’assuré à 10 jours à compter de l’échéance de la prime pour régler. * S’il ne le fait pas, le contrat est suspendu, 20 jours après la mise en demeure ou 40 jours si la MED est adressée en dehors du Maroc. * 10 jours après l’expiration du délai de 20 jours, l’assureur à le droit de résilier le contrat. * Parallèlement, l’assureur est en droit de poursuivre l’exécution du contrat en justice. * En cas de non paiement de l’une des fractions

mutualistes (2003, correction 2005) loi Règlement --Groupe 2 --Groupe 4 -- - Madagascar Mauritanie RDC Loi (1996) Loi (1998) Loi (2002) -- -- -- - CEMAC Cameroun : -- 7 Guinée Conakry Bolivie Ouganda Comores Cambodge Djibouti Maroc Tunisie France sur les coopecs CEMAC (2002) (1992) - -Règlement BCRG - - (2003), projet de loi - ---Loi bancaire (1993), FFP (1995) - ---MDI Act (2002) - -Décret (2004) --- -Prakas sur les IMF - - (2000) - ---Réglementation des CEC (2003-2004) -

programmes d'ajustement stucturels (PAS). Les pays doivent libéraliser leur économie, la déréglementer et la privatiser. Ces pays vont être mis sous tutelle voire curatelle. - le secteur informel : activités non déclarées. Ex du Maroc : réduction des coûts fixes. Tontines : mettre en place un fonds commun. Les secteurs informel et formel ne se juxtaposent pas. Le formel se nourrit de l'informel. Pour qu'il y ait sécurité, il faut subvenir aux besoins de la population, le secteur informel joue donc

représente 31% de l’emploi, à quoi il fait ajouter 10% d’activités informelles dans l’emploi formel. En Afrique subsaharienne, en moyenne, le secteur informel représente entre 60 et 70% de l’emploi et participe à hauteur de 50 à 60% au PIB. Au Maroc, le secteur informel emploie 39% des emplois urbains et représente 17% du PIB. Toutefois, l’on considère habituellement que 90% de l’emploi dans le secteur agricole et rural est informel, ce qui amène à valoriser bien davantage le secteur informel

années 1980, avec la création de la Grameen Bank de Muhamed Yunus au Bangladesh, de la Fondation pour la promotion et le développement des micro-entreprises (Prodem) en Bolivie et des institutions de micro-finance en Afrique (IMF) inspirées des tontines, la croissance du microcrédit ne s’est pas ralentie. En effet, en 1997 il y’avait déjà 7,5 millions de personnes concernées et il existait 1000 IMF. Aujourd’hui 10000 institutions touchent plus de 100 millions de micro-entrepreneurs. Le chiffre

la formule des crédits unions ou coopératives d’épargne et de crédit qui a surtout été développée. Toutefois, on y relève des pratiques ancestrales dans certains groupes ethniques comme chez les susus au Ghana, des merry-go-rounds au Kenya, des tontines dans les pays d'Afrique de l'Ouest. Dans d’autres parties du monde, on signale le microcrédit comme une pratique ancestrale chez des chit funds en Inde, des tandas au Mexique, des cheetu au Sri Lanka, des pasanaku en Bolivie ou encore des arisan

territoires choisis en raison de leurs liens traditionnels avec l’Isère, de leurs relais locaux et d’une volonté commune d’échanger : l’Algérie avec l’Assemblée populaire de la Wilaya de Constantine ; l’Arménie avec la Préfecture du Guégharkunik ; le Maroc avec les Conseils régionaux de Tadla-Azilal et de Souss-Massa-Drâa ; le Sénégal avec les Conseils régionaux de Tambacounda et de Kédougou et les territoires Palestiniens avec le Gouvernorat de Bethléem. Ces partenariats, par la mobilisation des acteurs

Lutte contre l'exclusion sociale au maroc "INDH" par Amine Dafir  Université mohamed 5 souissi - Licence Traductions: Original: fr Source:  | La lutte contre l'exclusion sociale en milieu urbainRemerciementsJe tiens à exprimer mes vifs remerciements à monsieur Mounir Zouiten enseignant à l'université Mohammed 5-Souissi Faculté des sciences juridiques Economiques et Sociales qui à Bien voulu accepter d'assurer l'encadrement de ce mémoire et m'as apporté des conseils précieux durant toutes

N° 06 Juillet2011 SérieAnalysesd’impact exPost ExPost Analyse des déterminants de la demande de services financiers dans le Maroc rural Isabelle Guérin, IRD, UMR 201, Paris Solène Morvant-Roux, IRD, UMR 201, Paris Marc Roesch, CIRAD, Paris Jean-Yves Moisseron, IRD, UMR 201, Paris Pépita Ould-Ahmed, IRD, UMR 201, Paris Contact : Jocelyne Delarue, division Evaluation et capitalisation, AFD Département de la Recherche Division Evaluation et Capitalisation Agence Française

part, une économie informelle fortement implantée dans tous les secteurs qui n'a pas accès à ce mode de financement et qui est contraint de recourir à d'autres sources. Au nombre de ces sources, nous pouvons citer la microfinance, les systèmes de tontine et tous les autres systèmes de solidarité existants. Cette situation, qui prévaut dans l'Union depuis des décennies pose un véritable problème pour la définition d'une stratégie de développement économique, notamment au niveau de la maîtrise du coût