Tonneau Des Danaides

.............................................................. 102 LXXI. – Une gravure fantastique............................................ 103 LXXII. – Le mort joyeux ......................................................... 104 LXXIII. – Le tonneau de la haine ........................................... 105 LXXIV. – La cloche fêlée ......................................................... 106 LXXV. – Spleen ....................................................................... 107 LXXVI. –

...............................................59 LXXI. – Une gravure fantastique ......................................................59 LXXII. – Le mort joyeux................................................................... 60 LXXIII. – Le tonneau de la haine ..................................................... 60 LXXIV. – La cloche fêlée ................................................................... 61 LXXV. – Spleen...................................................................

.............................................................. 102 LXXI. – Une gravure fantastique............................................ 103 LXXII. – Le mort joyeux ......................................................... 104 LXXIII. – Le tonneau de la haine ........................................... 105 LXXIV. – La cloche fêlée ......................................................... 106 LXXV. – Spleen ....................................................................... 107 LXXVI. –

nos papilles gustatives : au-delà de la survie, jouissance à satisfaire nos besoins. Hypertrophie : raffinement des savoirs faire créés de façon artificielle qui fait plus que satisfaire les besoins : on veut sans cesse des objets nouveaux « tonneau des Danaïdes » engendrant l’égalité et l’inégalité car nos désirs visent TOUS les objets susceptibles de nous satisfaire (cf collectionneur : jms fini), or l’AUTRE=ennemi qui risque de me priver de cette satisfaction : travail induit amour de l’inégalité 

nos fées marraines Mais en vérité je l'attends Avec mon coeur avec mon âme Et sur le pont des Reviens-t'en Si jamais reviens cette femme Je lui dirai Je suis content Mon coeur et ma tête se vident Tout le ciel s'écoule par eux O mes tonneaux des Danaïdes Comment faire pour être heureux Comme un petit enfant candide Je ne veux jamais l'oublier Ma colombe ma blanche rade O marguerite exfoliée Mon île au loin ma Désirade Ma rose mon giroflier Les satyres et les pyraustes Les égypans les feux follets

noirs, et, sur ses épaules descend en tresses ondoyantes sa longue chevelure blonde aux reflets d'or. Il est le plus souvent imberbe, sa jeunesse étant éternelle comme celle d'Apollon. Il est vêtu d'un manteau de pourpre. Il est tantôt assis sur un tonneau, tantôt monté sur un char traîné par des tigres ou des panthères, quelquefois par des centaures dont les uns jouent de la lyre, les autres de la double flûte. Sur les monuments les plus anciens, il est représenté avec une tête de taureau ; sur quelques

pleurer nos fées marraines Mais en vérité je l'attends Avec mon cœur avec mon âme Et sur le pont des Reviens-t'en Si jamais reviens cette femme Je lui dirai Je suis content Mon cœur et ma tête se vident Tout le ciel s'écoule par eux Ô mes tonneaux des Danaïdes Comment faire pour être heureux Comme un petit enfant candide Je ne veux jamais l'oublier Ma colombe ma blanche rade Ô marguerite exfoliée Mon île au loin ma Désirade Ma rose mon giroflier Les satyres et les pyraustes Les égypans les feux follets

et, sur ses épaules descend en tresses ondoyantes sa longue chevelure blonde aux reflets d'or. Il est le plus souvent imberbe, sa jeunesse étant éternelle comme celle d'Apollon. Il est vêtu d'un manteau de pourpre. Il est tantôt assis sur un tonneau, tantôt monté sur un char traîné par des tigres ou des panthères, quelquefois par des centaures dont les uns jouent de la lyre, les autres de la double flûte. Sur les monuments les plus anciens, il est représenté avec une tête de taureau ; sur quelques

n’existe plus. Deuxièmement, le plaisir étant passager, la quête du plaisir est inlassable et la souffrance qui naît de l’absence du plaisir est constante. La soif du plaisir est ainsi une source perpétuelle de frustration (Platon, Gorgias : le tonneau des Danaïdes). Troisièmement, le plaisir dépendant souvent de causes distinctes de celui qui le recherche, le désir du plaisir pousse les hommes à devenir les esclaves des pourvoyeurs en plaisirs. Quatrièmement, certains plaisirs sont intrinsèquement

% environ. De plus, dans trop de PVD et l’Algérie en fait partie, l’État dépense trop d’énergie à faire ce qu’il ne devrait pas faire (en particulier « gérer » des entreprises ou des commerces, fournir des logements aux citoyens (véritable tonneau des danaïdes des finances publiques), ce qui le détourne de ses missions essentielles. Il ne se concentre pas suffisamment sur la mise en oeuvre des services publics essentiels, et des infrastructures économiques fortement capitalistiques qui ne peuvent