Tombeau Alexandre Vii Bernin

été commandée par le Pape Alexandre VII. Elle a été imaginée comme un espace composé de deux bras qui accueille la foule des pèlerins. Vu du ciel la place est ronde, en son centre il y a un soleil dessiner au sol en son centre il ya obélisque provenant de l’ancien cirque de Caligula. L’obélisque serait à la place des cendres de Jules César. La place fait 193 mètres de large sur 120 mètres de long. Sur la place en elle même seul e2 grandes fontaines, de Maderno et du Bernin, encadrent l’obélisque

des trônes monumentaux. Dans les pendentifs des quatre angles nous trouvons les Secours miraculeux de Israël tandis que les voûtains et les lunettes (parois nord - sud - entrée) accueillent les Ancêtres du Christ. Vers la fin de l'année 1533 Clément VII de Médicis (pape de 1523 à 1534) demanda à Michel-Ange de modifier ultérieurement la décoration de la Chapelle Sixtine en peignant le Jugement Dernier sur le mur du fond de l'autel. Ceci entraîna la perte des fresques du XVe siècle, c'est-à-dire du

cirque que Néron se permît de modifier par la suite. Saint-Pierre . Fin 1950 , après 10 ans de fouille secrète le pape Pie XII fait une annonce par l’intermédiaire de radio vatican : "Il a été trouvé le tombeau du Prince des Apôtres" .Il parle du Saint Pierre . Pierre est l’un des apôtre du christ mais également l’un des martyrs exécuté en 64 pendant la grande persécution des Chrétiens ordonnée par Néron dans le cirque de Caligula. Ne se sentant pas digne

della Pace, Santa Maria del Popolo et Sant'Agostino. 3. Le pape Alexandre VI (1492-1503), de la famille Borgia, fut un mécène généreux ; il protégea les artistes, Pinturicchio, notamment, à qui il commande le célèbre décor des appartements Borgia, au Vatican. Il a aussi décoré le plafond de S. Maria Maggiore avec le premier or venu du Pérou ; ses armes y figurent.  Au début du XVIème siècle, les papes Jules II puis Clément VII demandent à l’artiste Michel-Ange de peindre la voûte de la chapelle

DEMOLIN Flavie HISTOIRE CULTURELLE ET INTELLECTUELLEL2 HISTOIRE G1HISTOIRE MEDIEVALEDISSERTATION SUR LE SUJET  : La mort baroque. La mort de la Vierge est un tableau qui fut réalisé par le peintre baroque El Caraveggio en 1606 à la demande de l’ordre des Carmes déchaux ; celui-ci représentant la Vierge Marie comme un simple cadavre dont les chairs sont gonflées et les cheveux emmêlés

Allemagne catholique et dans l’Europe danubienne. Elle prend nouveau souffle dans la péninsule ibérique avec les Churriguera (José Benito 1665-1773 ; Joaquin 1674-1724 ; Alberto 1676-1740). Résistance à ce modèle baroque en France : cf. échec du Bernin pour façade est du Louvre. Espace esthétique européen apparaît à la fin du XVII° comme un espace fractionné en dépit de la grande victoire du baroque. Esthétique du XVIII° largement solidaire de celle de la Renaissance et du baroque du XVII° s.

humanistes : Sur les tombeaux en Italie se développent de nombreux programmes iconographique. Dans le milieu florentin il y a un style gothique avec Donnatelo et son Tombeau du cardinal Coscia. Sa sépulture évoque la vie et la mort avec la présence d'un gisant et d'une vierge à l'enfant. La nouveauté est l'emploi de Pilastre. Le Tombeau de Léonardo Bruni est lui inspiré d'un arc de Triomphe. Il y a un cercle de diffusion des prototypes grâce à l'extrême mobilité des florentins. Chaque région italienne

Apoxyoméne (330 320 ACN) ▪ Scopas ❖ Sculpteur de la passion➟expressions tragiques (lèvres charnues, bouches entrouvertes, cheveux ébouriffées, ..) ❖ Mouvements & gestes rendent visibles les sentiments ▪ ➟Bas relief du tombeau du roi Mausole ▪ 2 autres statues d’auteurs inconnus représentent l’athéniens (en bronze) : ▪ La statue de l’Ephèbe d’Antichrèse  ▪ l’enfant de Marathon

confier  la  réalisation  d’une  copie  d’un  original  antique  comme  on  l’exigeait  des  étudiants.  C’est  toutefois  la  Rome  moderne,  la  Rome  baroque  qui  allait  l‘inspirer.  Orlandi  dans  son  Abecedario  la  qualifie  de  Scolaro  de  Bernin,  même  si  ce  dernier  était  déjà  mort.  Rentré  en  France  en  1687,  Nicolas  Coustou  présente  son  morceau  de  réception  à  l’Académie  ,  un  bas‐relief,  puis  s’élèvera  dans  la  hiérarchie  académique  pour  atteindre  au  sommet

chargée de transmettre le poème, l’apothéose d’une âme noble » ( Carnets de Weimar, 1829) alors qu’il modèle sa figure emblématique d’un Goethe au large front, cristallisation de son génie universel. François Rude quant à lui, renouvelle le genre du tombeau funéraire en s’inspirant des modèles étrusques et renaissants dans sa commande à Noisot où il fixe le portrait de son héros. « Napoléon s’éveillant à l’immortarlité » de 1846. Alors que l’aigle a expiré, l’empereur couronné de lauriers sort de son