Tombe des Inconnus

Résumé de « Cher Inconnu » de Berlie DOHERTY Chris est un futur étudiant, qui s’apprête à s’installer à l’Université. Un peu en doute sur son avenir, il raconte ce qui lui est arrivé un an plus tôt. Chris à l’époque aimait Helen, âgée de 16 ans. Un soir, un peu par hasard, alors que leurs parents sont absents, ils font l’amour. 
Helen tombe enceinte. Elle ne le dit à personne sauf à Chris, et commence à rédiger des lettres à son futur bébé, ce « cher inconnu » qu’elle voudrait voir disparaître

loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, extrait du recueil «Les Contemplations» V 20ème siècle : poèmes

magnétiques Le sommeil et le don des rêves extatiques, Et qui refait le lit des gens pauvres et nus ; C'est la gloire des Dieux, c'est le grenier mystique, C'est la bourse du pauvre et sa patrie antique, C'est le portique ouvert sur les Cieux inconnus ! Charles BAUDELAIRE (1821-1867) Charles BAUDELAIRE La mort des pauvres de Charles BAUDELAIRE est un poème surréaliste sur le thème de la mort. Ce poème est un sonnet, nous pouvons le remarquer

du poème, on retrouve cela dans les conquérants de Hérédia. Nous retrouvons l'élan héroique des (conquistadores). la poésie provoque aussi l'évasion, le rêve. Les poèmes des parnassiens lorsqu'ils évoquent des civilisations disparues, des mondes inconnue, créént cette sorte d'évasion hors du réel. 1)La voix La neige au loin couvre la terre nue ; Les bois déserts étendent vers la nue Leurs grands rameaux qui, noirs et séparés, D'aucune feuille encor ne sont parés ; La sève dort et le

de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. le 3 septembre 1847, Livre IV, Pièce XIV 2 Les Contemplations (1856) 3 4

de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Le papillon, Lamartine Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je

de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Commentaire : Cet alexandrin est composé de trois strophes qui sont des quatrains

Louvre Voir l’article annexe : Arbre généalogique de la XVIIIe dynastie égyptienne. | Thoutmôsis IV | Naissance | Date inconnue | Décès | Date inconnue | Père | Amenhotep II | Grands-parents paternels | | | | Thoutmôsis III | | Mérytrê-Hatchepsout | Mère | Tiâa | Grands-parents maternels | | | | Grand-père maternel inconnu | | Grand-mère maternelle inconnue | Fratrie | Iaret | 1re épouse | Néfertari | Enfant(s) | pas d'enfant connu | 2e épouse | Iaret | Enfant(s) | Saatoum

au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houe vert et de bruyère en fleur. Texte 2 : « Mon rêve familier», Poèmes Saturniens, Verlaine Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est

tes ondes Sur ses pieds adorés. Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos ; Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : " Ô temps ! Suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides