Tod Browning

physiques qui faisaient d’eux des bêtes de foire, et représentaient aux yeux des spectateurs des monstres, mais qui n’inspiraient pas de la peur, mais de l’intrigue et de l’amusement aux spectateurs. Ce numéro de cirque à également inspiré à Tod Browning son film, Freaks en 1932. Le 7ème art à pratiquement depuis ces début inspirée de nombreux réalisateurs. La monstruosité ce définit sous la forme de monstres, comme la naissance du mythe du vampire. Avec Dracula, le premier dans la

à leurs œuvres expressionnistes qui sont toujours bien populaires auprès des cinéphiles les plus aguerris. Les plus connus sont Nosferatu de F-W. Murneau, Métropolis de Fritz lang, Le cabinet du docteur Caligari de Robert Wiene, Frankenstein de Tod Browning et bien d'autres. Plusieurs réalisateurs à travers le monde, dont certains américains, se sont inspiré des méthodes de ce courant pour leurs propres films, cependant on ne peut affirmer qu'ils font de l'expressionnisme, car c'est un courant propre

a dead body with emaciated hands and a straight look. He generated fear and repulsion. Ugly and fearful, he is the one who correponds the most to Stoker’s Dracula’s physical characteristics. Only nine years passed between Murnau’s Nosferatu and Tod Browning’s Dracula, however, Bela Lugosi gave Dracula an erotic dimension, losing Max Schreck’s power of terror. The face of the vampire changed and as he used to be represented as ugly and repulsive, he became a good-looking man, nice to look at and

hypocrite et routinière de la banlieue, Burton se réfugie dans le monde du cinéma et de la télévision dans lequel il s’attache aux films d’horreur et de science fiction. Deux de ses films préférés sont Frankenstein de James Whales et Dracula de Tod Browning, deux films américains clairement influencés par l’expressionnisme Allemand. Il est aussi bien évidemment fan de grands classiques du Fantastique comme King Kong de Cooper, Godzilla d'Inoshiro Honda, les films de Vincent Price (spécialisé dans

| | |L’arrivée du son va marquer l’âge d’or du cinéma hollywoodien | | |(1930-1945) : Fritz Lang, Tod Browning, Howard Hawkes, lesMarx | | |Brothers, Walt Disney… | | |Déclin

lui faire découvrir le cinéma muet ? Michel Hazanavicius cite pêle-mêle L' Aurore (1927) et City Girl, Our Daily Bread (1929) de Friedrich-Wilhelm Murnau, Les Quatre fils (1928) de John Ford, La Foule (1928) de King Vidor, L' Inconnu (1927) de Tod Browning ou encore les films de Fritz Lang. C'est par ces longs-métrages qu'il a introduit Jean Dujardin au muet, un univers que l'acteur reconnaissait ne pas connaître. Quelle est l'incontournable référence de laquelle il s'est méfié ? Pourquoi ? Le cinéaste

sont loin de la débauche de moyen des péplums américains. Mais les effets spéciaux sont magnifiquement réalisés. Ce savoir faire allemand va migrer dans les années 30 et sera la cause du renouveau fantastique au Etats-Unis. Le film « Dracula ( Tod browning) marque le début de cette vague fantastique tout comme “Frankenstein” de James whale. Pour ce rôle l’acteur devait subir plus de 6 heures de maquillage par jour. Pendant de nombreuse année toutes les créatures fantastiques vont être projetées au

célèbre auteur Irlandais Bram Stoker de nombreux films a été  réalisée dont « Nosferatu le vampire » qui est le premier à intégrer des vampires dans un film (film datant de 1922). Les six films les mieux notés par les internautes sont Dracula de Tod Browning(1931), Dracula de Francis Ford Coppola (1992), le bal des vampires de Roman Polanski (1967), Entretien avec un vampire de Neil Jordan (1994), Morse de Thomas Alfredson (4 février 2009) et Vampire vous avez dit vampire ? De Tom Holland (1985).

de son mari. Cependant le visage devait s’inspirer des masques en papier mâché de Wladyslaw Theodor Benda 26(Annexe 4). C’est aussi Joan Crawford 27(Annexe 5), ses yeux et ses lèvres notamment qui ont inspiré Walt Disney pour la reine28. Un film de Tod Browning29 s’intitulant Freak, la monstrueuse parade, sortit en 1931, pourrait avoir aussi inspiré Disney. Même si dans ce film, le thème principal, sont les monstres de foire, d’autres éléments font penser à Blanche Neige et les Sept Nains comme le

genres comme le film historique sont donc mis de côté. Autres genres boudés : le western et la comédie musicale, le public étant certainement '"saturé". A cette époque, c'est le genre "fantastique" qui a le vent en poupe. Le cinéma d’horreur Tod Browning présente avec son Freaks l'un des summums de l'horreur. De multiples coupures ont été exigé de ce film qui nous montre, au coeur d'un cirque, une véritable enquête documentaire sur des être disgracieux tels une femme à barbe, un homme tronc, des