Tique

l’apparition de termes en e e a 1/r dans l’expression des champs. Quelle que soit la r´gion envisag´e, ` condition de se trouver en dehors e e a des sources (r > d), les champs EM se d´terminent uniquement ` partir e a du potentiel vecteur : le champ magn´tique par l’´quation e e B = rotA (16) ≈ r − n · r′ r r En reportant dans l’expression du potentiel vecteur n= Aray (r, t) = o` u J(k) = Ω ei(ωt−kr) µ0 × × J(k) 4π r ′ (18) ω n. c 0 (r ′ )eik·r dτ ′ et k = kn = (19) et le champ

directement dépendant de notre organisation perceptivo-motrice.L’exemple bien connu est celui de la tique dont l’umwelt est structuré autour de l’acide butyrique que la tique recherche activement. Perchée sur son buisson, elle se laisse tomber dès que cette odeur est détectée, avec pour objectif d’en augmenter l’intensité, c’est-à-dire, d’atterrir sur l’animal dont les glandes sébacées produisent cette odeur.La tique ne conçoit pas le buisson, l’animal etc. Elle est juste à l’intersection de quelques gradients

qu'a voulu faire passer au début du siècle Marcel Ducharmp en exposant un urinoir : tout le monde n'est-il pas capable de desceller et d'exposer un bidet ? C'est aussi l'intention profonde de son tableau Joconde avec moustache. En peignant à l'iden-tique La Joconde et en la dotant de moustaches, il ne cherche pas à se moquer de cette œuvre, mais il veut nous avertir qu'il s'agit de désacraliser l'art et les artistes, car tout le monde peut être artiste. L'artiste n'est pas un dieu, il n'est pas fait

l’ˆge est une variable quantitative continue). a Finalement, les variables binaires peuvent ˆtre de deux types. Soit c’est une variable qualitae tive qui ne prend que deux modalit´s (exemples : le sexe M/F, le statut de fumeur O/N, l’anomalie e g´n´tique : O/N). Soit c’est une variable quantitative discr`te ne prenant que deux valeurs. On e e e peut toujours alors la ramener ` 0 ou 1 (N = 2; x = 0/1). a 2 La statistique descriptive L’objectif de la statistique descriptive est de r´sumer un

récepteur de signal et le signal, ce sont des éléments hétérogènes dune même partition musicale. Exemple : Uexküll passe par l’animal qui est la tique, dans le monde gigantesque qui l’entoure 3 stimulants brillent comme des signaux lumineux dans les ténèbres, au reste la tic est incapable de s’intéresser. Ces 3 signaux constituent le milieu de la tique. La tique n’a pas d’yeux, elle a seulement une peau sensible à la lumière. Le monde de la tic qui est très limité renvoie aux trois affectes de la tic :

autonomes, aussi indépen­ dantes entre elles et indépendantes des États qu'il serait possible, mais de villes-refuges néanmoins alliées entre elles selon des formes de solidarité à inventer. Cette invention est notre tâche; la réflexion théorique ou cri­ tique y est indissociable des initiatives « », « 13 pratiques que nous commençons et réussissons déjà à mettre en œuvre dans l' urgence . Qu' il s ' agisse de l'étranger en général, de l'immigré, de l'exilé, du réfugié, du déporté, de l'apatride, de

´ Cours de Mathematiques ´ Groupes, anneaux, corps, arithmetique Sommaire Groupes, anneaux, corps, arithm´tique e Sommaire I Lois de composition . . . . . . . . . . . . . . . . . . I.1 G´n´ralit´s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e e I.2 Partie stable pour une loi . . . . . . . . . . . . . . I.3 Homomorphismes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I.4 Commutativit´ et associativit´ . . . . . . . . . . . e e I.5 Distributivit´ . . . . . . . . . . . . . . .

en tant que responsable de la chaîne d’approvisionnement dépend de l’élaboration d’une stratégie à long terme qui prend en compte la complexité, les risques et les coûts liés à la logistique mondiale. Vous devez mettre en place une chaîne logis- tique efficace et performante, offrant une meilleure expérience client sans délaisser les notions de rentabilité, flexibilité, évolutivité et durabilité. Les entreprises internationales ayant connu une évolution dans le temps et dans différents pays sont

a 7.4. La thermodynamique . . . . . . . . . . 1. Sadi Carnot . . . . . . . . . . . . ´ 2. Energie et entropie . . . . . . . . . 3. L’interpr´tation statistique et la th´orie e e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . cin´tique e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

du d�tective, accoucheur de la v�rit�, porte parole du destin qu'il met en lumi�re -commente les paroles et les actions des personnages -c'est lui qui raconte le meurtre d'Agammemnon, d'Egiste et de Clytemnestre. -parole de fa�on famili�re et po�tique en m�me temps. -ambiguit�, on se perd dans ses longues tirades bourr�es d'images. C) Les repr�sentant du peuple: Le Pr�sident: -Oppos� aux id�es d'Egyste -son bonheur �goiste passe avant tout le reste -pour lui, tout vaut mieux que de trouver