Tique

la formule suivante : e Mo = bi−1 + hi+1 ai hi+1 + hi−1 Pour l’exemple pr´c´dent, on trouve e e Mo = b2 + h4 2.8 a3 = 40 + ×5 h4 + h2 3.75 + 2.8 42.14 Le salaire le plus fr´quent est Mo = 42140DH e Indicateurs statistiques Moyenne arithm´tique e Mode Moyennes M´diane et quantiles e Pour d´terminer une valeur centrale, on utilise la moyenne. Cette e msure est d´finie uniquement sur une variable quantitative. e Moyenne Moyenne (not´e x ) = Somme de toutes les valeurs d’observations

cellulaires par jour dans le corps humain cellule cancé reuse : se reproduit de maniè re anarchique et a donc besoin de beaucoup de produits pour se reproduire de cette maniè re - division cellulaire né cessite la distribution d’un maté riel gé né tique identique aux deux cellules filles 2. Reproduction bacté rienne Bacté ries : procaryotes (pas de noyau) Sché ma d’une bacté rie : Cette repré sentation est fausse, mais pourquoi ? Parce que E. Coli : son chromosome est 400 fois plus long qu’elle

tension de e e e e f.e.m. E, d’une r´ sistance R et d’une inductance L : e R → chute de tension ohmique L → chute de tension induite par les variations du flux du champ magn´ tique e cr´ e par le courant is e´ E → fem moyenne induite par les variations du flux du champ magn´ tique e cr´ e par les autres sources de champ magn´ tique e´ e ie is H D iD 1 L + U0 R vs E D’o` la seconde gˆ chette sur le symbole de H pour le distinguer du symbole du thyristor u a qui n’est command´ qu’` la

composante du champ magn´tique terrestre mesur´e en e e e e un nombre fini de localisations g´ographiques r ` la surface de la Terre pendant un temps t. e a 2.1.1 La d´composition en modes propres e Consid´rant le champ magn´tique B(r,t), nous savons que chaque composante est le e e ´ r´sultat d’une superposition lin´aire de termes diff´rents (cf. Equation 1.1) : B(r,t) = e e e e e e k Bk (r,t), chaque contribution Bk est engendr´e par une source du champ g´omagn´tique total (cf. Chapitres 1 et

1) + 2 n+3 Exercice 2 ( 4 points ) On consid`re la suite arithm´tique (un ) d´finie pour tout entier naturel n de raison r et premier terme u0 telle e e e que u3 = 5 et u8 = −5. 1. Calculer r puis u0  Solution: u8 = u3 + (8 − 3)r ⇐⇒ −5 = 5 + 5r ⇐⇒ −10 = 5r ⇐⇒ r = −2 et u3 = u0 + 3r ⇐⇒ 5 = u0 + 3 × (−2) ⇐⇒ 5 = u0 − 6 ⇐⇒ u0 = 11 2. Exprimer ensuite un en fonction de n  Solution: (un ) est donc une suite arithm´tique de raison r = −2 et premier terme u0 = 11 e donc un = 11 − 2n 3. Cette suite

des nombres en machine e ——————————————————————————– Introduction I) Arithm´tique et sources d’erreurs e 1)Evaluation de l’erreur La repr´sentation des nombres dans un calculateur e 2)La m´moire de l’ordinateur: le stockage des nombres e Les nombres entiers Les nombres r´els e Troncature d’un nombre Arrondissement d’un nombre II)Les r`gles de base de l’arithm´tique flottante e e III)Propagation des erreurs en arithm´tique flottante e L’erreur absolue sur une somme L’erreur absolue dans la multiplication

Partie I M¶canique analytique e 15 Introduction La m¶canique analytique n'apporte rien de conceptuellement nouveau par rapport aux formulations e standard de la dynamique newtonienne (principe fondamental, th¶orµme de l'¶nergie cin¶tique et autres e e e e points marquants de l'enseignement ¶l¶mentaire de la m¶canique), mais en constitue une formulation ee e trµs ¶l¶gante. Parfaitement adapt¶e a la description de systµmes oµ les mouvements sont sujets µ e ee e µ e u a des contraintes (un

ak−1 , ak , ak+1 , · · · , an D´finition 3. On appelle progression arithm´tique une suite de nombres telle e e que chacun s’obtient en ajoutant au pr´c´dent une quantit´ constante r. Le e e e nombre r est appel´ la raison, a1 est le premier terme et an est le terme e g´n´ral. e e La suite 5, 13, 21, 29, 37, 45, 53 est une progression arithm´tique de premier e terme 5 et de raison 8. G´n´ralement, pour une suite arithm´tique (an ) de e e e raison r , on a a1 = a, a2 = a + r, a3 = a2 + r = a + 2r, ·

. . . . . . . . . e 5.1.4 Champ ´lectrique cr´e par une charge ponctuelle . . . . . e e 5.1.5 Champ ´lectrique cr´e par un fil charg´ de longueur infinie e e e 5.1.6 Champ ´lectrique cr´e par un plan charg´ de surface infinie e e e 5.1.7 Champ magn´tique cr´e par un courant . . . . . . . . . . e e 5.1.8 Force de Lorentz . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2 Transformation de ρ et de j . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.1 D´veloppement quantitatif . . . . . . . . . . . . . .

machine, e e e e e e nous pr´sentons les diff´rentes approches possibles pour la mod´lisation des convertisseurs ´lectromagn´tiques, et notamment l’approche de type circuit. Cette approche, coupl´e ` e e e a l’hypoth`se de lin´arit´ du circuit magn´tique, est particuli`rement bien adapt´e ` l’´criture e e e e e e a e matricielle des ´quations de la machine, et donc a sa simulation. Mais c’est plutˆt par e ` o l’interm´diaire des champs tournants que nous introduisons la machine diphas´e ´quivalente