Tibère II Constantin

PARTIE 2 Naissance et diffusion du christianisme MANUEL, PAGES 34-69 RAPPEL DU PROGRAMME II. Naissance et diffusion du christianisme – Le contexte religieux et historique de la naissance du christianisme, – La diffusion du christianisme jusqu’à la fin du IVe siècle. Le programme invite à une présentation du cadre géographique et du contexte historique et culturel (l’Empire romain, la situation de la Palestine dans l’Empire, le monothéisme juif), pour mettre en évidence filiations et

partout dans l’Empire, en Égypte et au Moyen-Orient en particulier où on se contente des courses de chars, le sport roi de l'Antiquité.-73, Guerre servile des gladiateurs (Spartacus)27. Catastrophe de Fidènes. Profitant de la politique d’austérité de Tibère, certains opportunistes mettent sur pied des épreuves qui ne bénéficient pas toujours des meilleures conditions de sécurité. La catastrophe de Fidènes marque profondément les Romains suite à l’effondrement d’un amphithéâtre édifié à la hâte à quelques

de Rome est étendue jusqu’à l’Océan et le Rhin. - Auguste est le fils adoptif et héritier de César. Il réussit une monarchie à Rome. Il conquière les régions danubiennes : la Rhétie et la Norique, ensuite la Pannonie et la Mésie sont conquises par Tibère. Auguste voulait étendre jusqu’à l’Elbe mais échec en 9 avec le « désastre de Varus ». En 14, le gros des conquêtes est réalisé et les successeurs d’Auguste fructifient l’héritage. Les Romains prennent le contrôle de la GB actuelle au 1er siècle

DÉPARTEMENT DE CONSTANTINE 10« VOLUME DE LA DEUXIEME SERIE VINGTIEME VOLUME DE LA COLLECTION 1879-1880 CONSTANTINE Imprimerie L. ARNOLET, BRAHAM, Suce. PARI« AJLGKWi JOURDAN, Ad. CHALLAMEL, LlBRAIRE-ÉoiTBUR Place du Gouvernement 5, Éditiur AïKi, rue Jacob 1881 -- i^JLD UNIVERSITY OF FLORIDA LIBRARIES RECUEIL DES NOTICES ET MÉMOIRES DE LA r r SOCIETE -ARCHEOLOGIQUE DU DÉPARTEMENT DE CONSTANTINE CONSTANTINE. —

Gaulois ne lui ôta rien de ses forces : l’armée, plus dissipée que vaincue, se retira presque entière à Veïes ; le peuple se sauva dans les villes voisines ; et l’incendie de la Ville ne fut que l’incendie de quelques cabanes de pasteurs. Chapitre II : De l’art de la guerre chez les Romains Les Romains se destinant à la guerre et la regardant comme le seul art, ils mirent tout leur esprit et toutes leurs pensées à le perfectionner. C’est sans doute un Dieu, dit Végèce [17], qui leur inspira

le pouvoir à son gendre qui est Tibère en 94 apr. JC. B. Les cinq générations d’Empereur du Haut-Empire Les Césars apparentés par le sang ou par l’alliance de 14 à 68 apr. JC : Tibère maintient les mesures d’Auguste mais s’expatrie à Capri d’où il gouverne et laisse dirigé l’Etat par un préfet du prétoire. Il le fait assassiner et instaure un pouvoir autoritaire. Tibère meurt en 37 et lui succède Caligula de 37 à 41 apr. JC, c’est le petit neveu de Tibère mais se révèle cruel, humilie le

avant J.-C., donc ce n’est pas lui qui finira la conquête de la Gaule, ce sont ses successeur qui vont s’en chargé : Auguste et Tibère. La région autour du Rhin, même après la conquête, reste peu sur et ces derniers décident de sécuriser les frontières nord de la Gaule. Cette offensive est lancé en 12 avant J.-C., elle va être longue et dure et durera 30ans. C’est Tibère qui achève cette conquête. Puis Rome étant sa domination jusqu’à l’Elbe (fleuve qui s’écoule en Allemagne). Les places fortes

plus tard l'arc de Titus. La pompe triomphale fit halte devant le temple de Jupiter Capitolin. Un usage antique voulait qu'on y attendît jusqu'à ce qu'un héraut vînt annoncer la mort du chef des ennemis. Paul Emile avait épargné Persée ; Pompée et Tibère, vainqueurs, avaient laissé la vie à leurs captifs ; mais Jules César ne pardonna pas à Vercingétorix, et Yespasien ne se montra pas plus généreux que César. Nous ignorons ce que devint Jean de Gischala, mais Simon, fils de Gioras, qui avait figuré

occident, un précurseur de Strauss veut que ses conquêtes ne soient qu’une allégorie de la course du soleil ; mais Hérodote a vu l’AsieMineure couverte des monuments de ses victoires, il y a lu ses inscriptions : Sésostris, roi des rois ; et sous Tibère, il existait encore I. LA GUERRE DEPUIS LE COMMENCEMENT DU MONDE 5 en Égypte des colonnes sur lesquelles on voyait l’étendue de sa domination et la quantité des tributs qui lui étaient payés. Antérieurement, l’établissement d’Inachus à

L’Égypte des Ptolémée était affaiblie et les Romains s’y ménageaient des alliés. Ainsi, { son tour, la Méditerranée orientale devenait peu à peu romaine, faisant déjà de la Méditerranée un « lac italien ». La fin de la republique: A la fin du II sc av.J.-C. Deux groupes s’affrontent pour le pouvoir : la riche noblesse foncière et la nouvelle classe des « chevaliers », { l’origine membres de la cavalerie, enrichis par le commerce et le trafic monétaire. Face à eux, une plèbe misérable s’épuise