Thérèse Raquin Chapitre 16

"La société française au XXème siècle, Ralph Schor" --> FICHE DE LECTURE. Partie 2 (suite) Chapitre 10 : L’entrée des ouvriers dans le monde moderne : 1919-1939 Dans l’entre-deux-guerres, des transformations décisives de la grande industrie, bouleversèrent et déshumanisèrent les méthodes de travail traditionnelles. Le mécontentement qui s’en suivit, contribua à l’explosion sociale de 1936 et aux grandes espérances nées à l’époque de Front Populaire. I/ Le choc de la modernité 1) La recherche

On peut observer le champs lexical de l'horreur ( ex: "exterminer" l.4 , "attaquer" l.6 , "horrible massacre" l.7 , "massacrer" l.13 ) . L'auteur va donner de l'ampleur à l'événement , les formules sont souvent hyperboliques ( "pitoyable spectacle" l.16 ) , il y a une forme d'intensité dramatique qui est créer avec une temporalité qui est resserrée , ce qui donne l'impression que tout s'enchaine avec énormément de rapidité ( " si tôt arrivé" l.6 , "deux jours après" l.6 , "le matin" l.14 ) Le but

construction: pour mettre un point d'honneur sur l'égalité homme-femme et les parties sont marqués par la conjonction de coordination "et" - "Le sexe supérieur en beauté": périphrase: inverse les clichés pour la valorisation de la femme Mouvement 2: l.16-fin - "Femme nait et demeure" : verbes utilisés dans cette phrase servent à montrer que naturellement et jusqu'à la fin les femmes sont égales aux hommes - "La tyrannie perpétuelle": exagération hyperbolique: utilisé afin de montrer que la femme est

11 15 16 21 ■ Chronologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 Tristan et Iseut 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. Les enfances de Tristan Le Morholt d’Irlande La quête de la belle aux cheveux d’or Le philtre Brangien livrée aux serfs Le grand pin Le nain Frocin Le saut de la chapelle La forêt du Morois L’ermite Ogrin Le Gué Aventureux Le jugement par le fer rouge La voix du rossignol Le grelot merveilleux 35 43 49 58 63 64 70 74 83 88 88 94 101 106 15. 16. 17. 18

chaque fois que je fais le mal, je le paie en subissant une peine, qu’elle soit physique (un excès supposé de supposée débauche puni par des douleurs dorsales ou des maux de tête), ou morale (le remords qui accable le criminel, de Lady Macbeth à Thérèse Raquin et Raskolnikov). → La justice réelle tend quant à elle à établir, nous l’avons vu, un système d’équivalence entre le mal commis et la punition infligée (ce que le titre du roman de Dostoïevski, Crime et Châtiment repris pour une exposition au

présenter des femmes dont l’existence, même quand il s’agit d’un lointain passé, ne fait aucun doute. © Eyrolles Pratique Ces femmes qui appartiennent à l’Histoire et aujourd’hui disparues, sont regroupées selon un ordre chronologique, à travers six chapitres : Femmes de lettres, Femmes de pouvoir, Femmes d’action, Femmes de foi, Femmes de savoir, Femmes de création présentées dans une courte biographie qui illustre leur singularité. Nous avons cependant fait exception pour deux grandes figures qui ont

mythologiques pour présenter des femmes dont l’existence, même quand il s’agit d’un lointain passé, ne fait aucun doute. Ces femmes qui appartiennent à l’Histoire et aujourd’hui disparues, sont regroupées selon un ordre chronologique, à travers six chapitres : Femmes de lettres, Femmes de pouvoir, Femmes d’action, Femmes de foi, Femmes de savoir, Femmes de création présentées dans une courte biographie qui illustre leur singularité. Nous avons cependant fait exception pour deux grandes figures qui ont

bilan, que l'on devra considérer comme une introduction à des recherches plus approfondies. Le premier chapitre explore les principales problématiques développées par la critique contemporaine – qu'il s'agisse d'approches historiques, conçues d'un point de vue extérieur à l'oeuvre, ou d'approches thématiques et narratologiques, réalisées à partir d'une analyse interne de l'oeuvre. Le deuxième chapitre remonte dans le temps et aborde les premières réceptions de l'oeuvre, celles qui ont surgi au XIXe

française de Rome. Italie et Méditerranée, tome 121, n°2. 2009. Littérature et censure au XIXe siècle. Sources. pp. 427-462; doi : https://doi.org/10.3406/mefr.2009.10866 https://www.persee.fr/doc/mefr_1123-9891_2009_num_121_2_10866 Fichier pdf généré le 16/09/2019https://www.persee.frhttps://www.persee.fr/collection/mefrhttps://www.persee.fr/collection/mefrhttps://www.persee.fr/doc/mefr_1123-9891_2009_num_121_2_10866https://www.persee.fr/authority/52367https://doi.org/10.3406/mefr.2009.10866https://www

besoin de vengeance, la vengeance peut conduire l’individu à faire n’importe quoi. On peut ressentir le besoin de justice. Réaction de compassion. Réaction de protection. Il nous faut un bon juge, il ne doit pas être complaisant, intelligent. Chapitre 1 : La peur inspirée par l’infraction trouble à l’ordre public Pourquoi punir, comment punir et qui va punir ? Les réponses forment la politique criminelle, l’histoire est là pour nous montrer que la politique pénale a été guidé par un sentiment