Théatre Caricature

CARICATURE Une caricature est un genre littéraire de dessin humoristique qui charge certains traits de caractère souvent drôles, ridicules ou déplaisants dans la représentation d’un sujet. Autrefois, à l’époque de Léonardo Da Vinci, on appelait les caricatures "grotesques." Les caricatures, notamment dans la presse écrite sont à visée sociale, politique, toujours critique. Dans le cas d'un « portrait-charge », le caricaturiste rendra plus importants certains traits du visage selon ce qu'il cherche

Une affiche d'emprunt d'État d'Abel Faivre, 1915 L'œuvre que je vais vous présenter est une affiche française d'emprunt d'État qui a été réalisée pendant la première guerre mondiale en 1915 par Abel Faivre. Jules-Abel Faivre est un peintre illustrateur et caricaturiste français (1853-1945). Il est devenu célèbre par ses affiches pour soutenir l'effort de la France dans la grand guerre de 1914-1918. Il a également travaillé pour le journal humoristique Le Rire et pour Le Figaro. En 1914

principes, la liberté d’expression est sans cesse menacée par ceux qui ne veulent pas exposer leur propre enfer intérieur » martèle Philippe Val directeur de la publication du journal satirique français Charlie-Hebdo lorsqu’eclate le scandale des caricatures de Mahomet. Droit fondamental dans notre société la liberté d’expression, fait l objet de nombreuses polémiques avec la multiplication des moyens de communication.Ainsi lorsque L’émission des guignols de l’info met en scène une marionnette à l’image

METHODE : COMMENTER UNE AFFICHE DE PROPAGANDE OU UNE CARICATURE Une affiche de propagande et une caricature sont forcément irréelles et exagérées. Elles traduisent l’opinion et l’objectif (la plupart du temps politique) de l’auteur, c’est-à-dire du dessinateur mais aussi de l’organisme responsable de sa diffusion : un état, un parti, un syndicat, un journal, une association… Pour bien l’analyser, il faut décoder les éléments du dessin dont chacun apporte un élément sur les opinions, les objectifs

Dandin : « Si vous n’aviez point babillé, je vous aurais conté ce qui se passe à cette heure ; mais pour votre punition vous ne saurez rien du tout. ». 3° La Farce est un sous-genre de la comédie. C’est une petite pièce bouffonne qui ridiculise et caricature les mœurs de son époque. Dans la scène 8 de l’acte II, Angélique porte des coups de bâtons à Clitandre, puis Clitandre pousse Dandin à sa place et Angélique fait semblant de ne pas s’en apercevoir. Si elle fait cela, c’est parce que elle entend

pseudonyme. Honoré de Balzac En 1826, Balzac se fit également éditeur puis imprimeur et contracta un grand nombre de dettes (environ 100 000 francs). C'est pour pouvoir rembourser toutes ses dettes qu'il devint journaliste dans La Silhouette, La Caricature mais aussi La Chronique de Paris en 1836. A partir de cette date, la plupart des romans de Balzac furent d'abord publiés en feuilleton avant d'être édités en volume. Dès lors, il ne vécut que pour la littérature et à un rythme de forcené.

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de l'homme. Il lui sert, selon le poète, à manifester sa supériorité, sa différence au regard des autres espèces vivantes, car il serait le seul à rire. Le poète ajoute que c'est pour cela que les « nations primitives [...] ne conçoivent pas la caricature et n'ont pas de comédies» (l. 15). Le rire, de ce fait, est aussi l'expression de la civilisation, l'instrument de mesure de l'intelligence et de la supériorité des nations. Plus une nation est civilisée, intelligente, plus la place du rire y est

décrypte la logique, la substantifique moelle est absente, et la réflexion est très limitée. Il tend de cette façon des pièges à son lecteur pour lui prouver qu’il reste, malgré cette leçon, aveuglé par les beaux mots. (ref : III.A) II. La caricature d’un langage A. Les Sorbonnards Le caricatural des Sorbonnards est ici clairement mis en valeur. Rabelais use d’hyperboles, d’absurdités et de sophismes de façon excessive pour se moquer de ces beaux-parleurs que sont les ecclésiastiques. Il

plus, les raisons économiques poussent les femmes à s’habiller en homme à cause de la différence des salaires entre un homme et une femme. La fin du XIX° siècle annonce la montée en puissance du féminisme mais aussi de l’antiféminisme avec la caricature par les antiféministes d’une féministe armée: on est en présence d’une efficacité d’une violence symbolique. C’est Georges Sand qui s’explique sur le port du pantalon et qui revendique le droit féministe affirmant que : « je prétends posséder aujourd’hui