Thomas Sargent

de même la nature de la guerre ne consiste pas seulement dans le fait actuel de se battre, mais dans une disposition reconnue à se battre pendant tout le temps qu’il n’y a pas assurance du contraire. Tout autre temps que la guerre est la PAIX. " (Thomas Hobbes, Le Léviathan, I, XIII) • L’état de société selon Hobbes L’état de société est rendu nécessaire par l’insécurité de l’état de nature. Le contrat social qui fonde l’état de société est un contrat de soumission. Hobbes refuse de distinguer

Indispensables à notre existence, nos sens sont nos organes de perception. Ils nous permettent de gouter, de voir, de sentir, de toucher, d'entendre, d'écouter et de comprendre. Liée à ce système de récepteur, notre perception et notre compréhension de ce monde en dépendent totalement. Bien que chaque humain est différent, nous partageons la même réalité et vivons tous sur la planète Terre qui est la troisième de notre système solaire. Quotidiennement, nous interagissons avec nos semblables et partageons

« Etant donné qu'il n'existe pas au monde de république où l'on ait établi suffisamment de règles pour présider à toutes les actions et paroles des hommes (car cela serait impossible), il s'ensuit nécessairement que, dans tous les domaines d'activité que les lois ont passés sous silence, les gens ont la liberté de faire ce que leur propre raison leur indique comme leur étant le plus profitable. Car si nous prenons le mot de liberté en son sens propre de liberté corporelle, c'est-à-dire de n'être

La notion d’état de nature chez Aristote, Hobbes et Rousseau Introduction Bien que la formule d’état de nature soit inventée par Hobbes, la notion d’un état naturelle des hommes existait auparavant. On peut faire plusieurs distinctions concernant des types de ces théories sur cette notion de philosophie politique. Cependant, un type de ces théories importantes est celui avant les philosophes contractualistes (théorie d’Aristote), l’autre est celle des théoriciens du contrat (Hobbes, Locke, Rousseau)

 On peut considérer que le langage est un don qui permet de représenter le réel. Mais le langage permet de donner un sens à toute chose? Le langage nous permet -il de rester dans le réel? existe -t-il des choses que l'on ne peux exprimer, comme une gene qu'une personne nous donne des avis d'elle. "Y a-t-il des choses hors des mots et que les mots ne pourraient rejoindre, une sorte d’au-delà du discours, ou bien pouvons nous tout signifier et tout dire?" .Le sujet doit conduire

Représentée pour la première fois le mardi 26 décembre 1662 au théâtre du Palais-Royal, la pièce fut immédiatement un succès, la recette de la première s'élevant à 1518 livres, ce qui était inédit jusqu'alors dans ce théâtre (à titre de comparaison, une famille aux revenus modeste vivait avec 25 livres par mois.) Les représentations suivantes confirmèrent ce succès, même après que la nouvelle tragédie de Corneille, Sophonisbe, eût été lancée à l'Hôtel de Bourgogne le 12 janvier 1663. Rapidement

L’unanimité est-elle un critère de vérité ? - Le fait que tout le monde soit d’accord garantit-il la vérité d’une proposition ? Et, à l’inverse, si un seul individu pense quelque chose (exemple de Galilée), cela signifie-t-il nécessairement qu’il a tort ? Doit-on admettre le relativisme de la vérité : "à chacun sa vérité" ? Le sujet ne dit pas : l’unanimité est-elle le critère de vérité ? mais un "critère" de vérité. Cette nuance est importante : ceci signifie qu’elle peut constituer une garantie

L’Etat Cette notion recoupe les rubriques du programme regroupées sous le titre : « La politique ». Prenez garde toutefois de ne pas confondre la société (groupe organisé de personnes humaines) et l’Etat, même si dans le monde moderne les deux sont liés. Le droit est également intimement lié à l’Etat, même si aujourd’hui il existe un« droit international » qui est relativement indépendant les Etats. Les mots « état » et« Etat » viennent l’un et l’autre du latin « stare », se tenir, et de«

donc nécessairement son essence spirituelle. Cela ne voudrait pas dire que ces deux entités agissent au même degré en l’homme. Le corps est souvent considéré comme le lieu où résident toutes les pulsions sensibles de l’homme. Comme le dirait Saint Thomas d’Aquin, le lieu des concupiscences. Ainsi pour une réalisation complète de l’Homme, il faudrait que le spirituel en l’homme guide le physique afin de le contrôler et de donner ainsi équilibre à l’être. Cela ne voudrait aucunement signifier que le

sacrements, on distingue les sacrements des sacramentaux: seuls les sacrements ont été institués par le Christ et "promulgués" par les Apôtres; seuls ils procurent infailliblement la grâce qu'ils signifient. Les rôles de Pierre Lombard, puis de St Thomas d'Aquin sont essentiels dans ce processus. Le deuxième concile de Lyon (1274) fixe définitivement le nombre des sacrements à sept. Le sacrement du baptême « au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit » est mutuellement reconnu comme valide par