Thomas Narcejac

Exposé individuel n° 7 : Commentaire de Jean Bodin, Les Six livres de la République, Paris, Livre de poche, 1993, Livre I Ch. I, p. 57 et Ch. VIII, p. 111-112 (document n° 2, dossier n° 2) Exposé individuel n° 8: Commentaire de Thomas Hobbes, De Cive, Paris, Garnier Flammarion, Ch. VI § VI-XII, p. 151-155 et § XVIII-XIX, p. 163-164 (document n° 3, dossier n° 2) ; et Le Léviathan, Paris, Dalloz, Ch. XVII, p. 173-178, Ch. XVIII, p. 179-191 (document n° 4, dossier n° 2) Séance n° 5 : Doctrines de

garder sa condition en l’état. Cette logique vaut aussi pour les peuples. Ex. Rome, en tant que République, ne veut pas la guerre de conquête mais sera impérialiste. La nécessité dirige souvent vers un but où la raison était loin de conduire. 2. Thomas Hobbes (1588-1679) Machiavel scrutait le seul Prince, Hobbes se penche sur l’homme en général. On commence à découvrir qu’il y a des gens qui comptent au-delà du cercle restreint du pouvoir. Le peuple n’est plus perçu comme dépendant automatiquement

John Locke (1632-1704) Médecin et philosophe anglais, il est l’auteur d’une œuvre tardive (écrite à plus de 55ans) : le Traité du gouvernement civil (1689). Les deux livres du Traité renferment les idées du libéralisme politique. Ecrits probablement avant la révolution de 1688-1689, ils constituent une réplique cinglante aux thèses absolutistes qui ont dominé l’Angleterre de Jacques II. Locke y développe un système philosophique affirmant la nécessité d’une limitation stricte du pouvoir d’Etat.

Comino Julie 1S3 pour le 16/09/2011 Question transversale Un extrait de l’œuvre de Thomas More “L'Utopie”, “Lettre à Louis XIV” rédigée par Fénelon ainsi qu'un extrait de l’œuvre de Rabelais “Gargantua” sont en effet trois textes dont les auteurs critiquent les politiques expansionnistes des souverains. Ils ont été écrits entre le XVIe et le XVIIe siècle, en Angleterre pour Thomas More puis en France pour Rabelais et Fénelon. Il est intéressant de se demander comment chacun de ces auteurs

l'éducation. La philosophie politique de Rousseau se situe dans la perspective dite contractualiste des philosophes britanniques des XVIIe et XVIIIe siècles, et son fameux Discours sur l'inégalité se conçoit aisément comme un dialogue avec l'œuvre de Thomas Hobbes.

Introduction: Thomas More (1478-1535), was recognized throughout early sixteenth-century Europe as one of the great lawyers, Christian humanists, and classical scholars of his day. Biography of Thomas More . Thomas More was born in London in 1478. He was educated at St Anthony's School in London, then he studied at Oxford University. Around 1494, Thomas More studied law at New Inn. His first meeting with Erasmus spent in 1499 and it's at this moment that Erasmus took place for all his life

cosmopolite est impossible. Toutefois les réalistes ne proposent rien, il suffit juste d’étudier les relations internationales avec objectivité. Les réalistes ont une vision pessimiste de l’humanité.             Ils prennent comme postulat l’idée de Thomas Hobbes selon laquelle "’homme est un loup pour l’homme" (Léviathan 1651). Pour les réalistes le monde est un champ de forces dans lequel les États n’agissent que pour protéger leurs intérêts vitaux. Les réalistes reconnaissant qu’il existe un droit

la littérature. Le 31 août 1828 paraît à Dijon, dans Le Provincial, le journal d'Aloysius Bertrand, Un rêve, ballade signée « ADM ». La même année, il publie L'Anglais mangeur d'opium, version française de Confessions of an English Opium Eater, de Thomas de Quincey (traduction peu fidèle cependant). ------------------------------------------------- Jeunesse du poète[modifier] Médaillon du cabinet des médailles (1831) Grâce à Paul Foucher, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de

La vérité est-elle soumise au temps ? En quoi la vérité est-elle soumise ? D’entré de jeu, on remarque une question d’un air provocateur. En effet, la vérité dépend elle ou plus précisément obéit-elle à quelque-chose, ici le temps ? Par définition, la vérité est l’adéquation parfaite entre la réalité (qui est indépendante de l’homme) et la représentation qu’en fait l’homme. A ce titre il y a plusieurs forme de vérité : les vérités mathématiques, les vérités logiques, les vérités du sens

l’homme, nous le disons de Dieu, nous le disons des anges ». Dire que Dieu et les anges sont des personnes au même titre que les hommes, c’est dire que le concept de personne garderait tout son sens même si l’homme n’existait pas. Saint Thomas d’Aquin ajoute au concept de personne l’idée de liberté. La personne désigne l’individualité d’un être libre de choisir, en tant qu’il est capable de raisonnement et de délibération. Locke enrichit la notion de personne en lui adjoignant la notion