Therese Culpabilite

"Thérèse Raquin" est le troisième roman d'Emile Zola. Dans ce roman, l'auteur a voulu montrer comment ses personnages sont dominés par leurs émotions et leurs sentiments. C'est ce qui va les pousser à commettre certains actes, comme le meurtre de Camille. L'auteur a également voulu retranscrire comment ses personnages sombrent peu à peu dans la folie pour finir finalement par se suicider. Ce livre marque également le début du naturalisme chez Zola, style qu'on retrouvera plus tard dans son oeuvre

rentre à l’Académie française en 1933 et est récompensé du prix Nobel de littérature en 1952. Il est auteur du roman Thérèse Desqueyroux dont cette dernière est le personnage principal. Cette œuvre est un mélange de roman d’analyse, de réalisme et même d’autobiographie due à un fort encrage géographique et historique. Nous nous intéresseront à l’incipit, dans lequel nous découvrons Thérèse sortant du palais de justice avec son père et son avocat [Lecture]. Nous tenterons d’apporter des éléments de réponses

à perpétrer le mal tout autour de lui durant toute la pièce. D’autre part, le roman Les Âmes fortes révèle aussi la prééminence de certains personnages à l’encontre d’autres ; les personnages de Firmin et Mme Numance en effet se font posséder par Thérèse, et deviennent ainsi objets du mal. Ces éléments mettent finalement en évidence la thèse de Platon sur la non-responsabilité de l’Homme. Néanmoins, d’autres éléments révèlent que la responsabilité de l’Homme est aussi mise en jeu dans le mal qu’il

pour le journalisme, et sa fascination pour les criminels et les affaires de poisons, lui font découvrir dans les années 20 le fait divers de Blanche Canaby (empoisonneuse de son mari, acquittée par le tribunal). De ce procès naîtra le personnage de Thérèse Desqueyroux. Observateur perspicace des milieux et des mœurs de provinces, Mauriac l'est aussi du comportement humain. Aussi, ce roman se caractérise surtout par l'étude de son héroïne, comme le titre de l'oeuvre l'indique... Le renversement de l'action

déformation morale. Thérèse apprend ainsi « à faire exactement le contraire de ce que mon coeur me commandait de faire » (302). De même Lady Macbeth s’interdit toute pitié : « A la pitié interdisez accès et passage afin que nul mouvement de la nature n’ébranle mon dessein sinistre. » (I,5 54). La cruauté constitue la seconde caractéristique de la méchanceté. C’est elle qui mesure l’écart qui existe entre le méchant sans envergure, tel Firmin, du méchant accompli, telle Thérèse. Firmin ne vise que

péché originel. Mais le mal ne s’explique pas, on ne sait pas d’où il vient. Macbeth montre bien ce désordre dans le mal, le mal provient-il des sorcières ou de Mac Beth ? Dans Giono, le désordre provient de la question suivante : où est la vérité ? Thérèse a-t-elle aimé Mme Numance ? Présence de l’amour dans la générosité de Mme Numance ? Rousseau donne une solution au désordre créé par le mal : suivre la lumière intérieure, la voix de la conscience. La beauté est la fin du désordre. On le voit dans

COMMENTAIRE DE TEXTE : Thérèse Raquin, Emile Zola Le roman Thérèse Raquin écrit par Emile Zola en 1867 appartient au mouvement naturaliste, crée par Zola lui-même. C’est l’histoire d’une jeune femme, Thérèse, qui rencontre un ami d’enfance de son mari. L’ami de Camille, Laurent et Thérèse vont entretenir une relation charnelle parfaite. Les deux amants vont donc décider de tuer le mari qui fait obstacle à leur amour, suite à cet homicide les deux se rendent compte que la vie n‘est plus possible

l’autre. Cette idée les prenant au même moment, ils se surprennent dans leur nouvelle tentative d’assassinat. Le passage montre Thérèse et Laurent encore caractérisés par leur côté bestial, mais connaissant la naissance d’une humanité par la conscience, et la chute — le suicide — qui leur apporte un soulagement neutralise les symboles du roman réunis au dénouement. Thérèse et Laurent conservent leurs caractéristiques de " brutes humaines " et sont comparés dans ce passage, à des animaux traqués. Ce

problématique En 1867 E.Zola publie Thérèse Raquin, C’est un roman qui s’inscrit dans le mouvement littéraire du Naturalisme et par conséquent basé sur la science tel que le suggérait son auteur. Ce roman relate l’histoire amoureuse de Thérèse et Laurent qui, poussés par leur tempérament et leur adultère, deviennent les criminels. Cet extrait se situe après le meurtre. Thérèse et Laurent ont bien fini par se marier mais leur passion est condamnée par la culpabilité qu’ils ressentent et qui surgit par

dans l’ordre de sa vie, jusqu’à que son secret soit découvert par une autre femme, qui la poursuit et la soumets au chantage. Entre l’angoisse de tout perdre et l’impossibilité de tout dire, Irène vit dans la culpabilité, le remords et la peur, qui la rongent jusqu’aux os. ➢ Thérèse, Thérèse Raquin, Zola: une jeune fille qui doit épouser son cousin, Camille. En s’installant à Paris, elle est séduite par Laurent, ami de Camille. Ils deviennent alors amants, aspirant à s’aimer sans entrave, ces derniers