Théorie du complot juif

bombes nucléaires lancées par les Américains sur Hiroshima (6 août 1945) et Nagasaki (9 août) en sont le symbole. Le génocide des Juifs et des tziganes, le symbole d'une guerre marquée par une idéologie raciste • En 1944, Raphaël Lemkin, un juriste juif polonais, réfugié aux États-Unis, invente le terme de « génocide ». Il est défini dans la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, adoptée par l'Assemblée Générale des Nations-Unies, le 9 décembre 1948: « Dans la présente

jusqu'à la fin du 20ème siècle. A la fin de celui-ci 300.000 souffrent encore des séquelles de ces deux explosions. Dans le même temps, les russes envahissent la Manchourie. Le 19 août la Japon capitule sans conditions. 9) Les grandes étapes du Génocide juif. Les pays qui ont refusé de collaborer à la solution finale et les conséquences. 1935 : Protection du sang allemand, interdiction de mariage et de relations sexuelles entre juifs et ariens. 30 oct 1939 : Ordonnance de Himmler sur le transfert dans

dans une logique de destruction de l'adversaire ou d'une partie de la population. a) Cette logique est « congénitale » dans le cas du nazisme …. Le nazisme est un fascisme viscéralement raciste. Dans Mein Kampf (1925-1926), Hitler développe une théorie basée sur la croyance en l’inégalité des races, et en la nécessité de libérer pour la race aryenne un espace vital (lebensraum). Pourtant en janvier 1933, Hitler devient démocratiquement chancelier. En septembre 35, sont adoptées les lois antisémites

c'est le traître parfait : il est capable de donner les informations mais c'est surtout sa personne qui peut en faire un coupable idéal : il est Alsacien d'origine et se rend régulièrement en Alsace (donc chez l'ennemi) et il est juif (et pour certain le juif est un traître de naissance). Pendant le procès (on ne le saura qu'après) les règles du droit ont été violées : il y a eu une erreur judiciaire : innocent ; et un déni de justice : Un débat contradictoire, toute pièce doit être porté

Ces connaissances sont acquises à partir de méthodes. Ces méthodes orientent la démarche du savant. Les scientifiques utilisent aussi des techniques : instrument qui sert à étudier quelque chose. Ces sciences vont permettre d’élaborer des théories et des lois, qui vont expliquer des phénomènes scientifiques et pour certains les prévoir. Les sciences sociales seraient plutôt des sciences molles. SCIENCES SOCIALES : l’histoire, la géographie, la démographie, l’ethnologie, l’anthropologie

Vitrine française de l’antisémitisme, le journal de Drumont met immédiatement l’accent sur l’origine juive d’Alfred Dreyfus et en fait un argument a priori de sa culpabilité. Mieux, misant sur une théorie du complot, "La Libre Parole" affirme que l’Etat souhaite étouffer l’affaire parce que Dreyfus est juif. L’emballement de la presse, et notamment chez les nationalistes, monarchistes et catholiques ne tardera pas. Le capitaine français Alfred Dreyfus est condamné au bagne à perpétuité pour espionnage

apparaissent au premier plan et sont les seuls membres de l’escadron des basterds retenus car ils en sont les plus importants : Aldo l’Apache est le chef de la troupe, qui porte la marque d’un échec de pendaison autour du cou ; Donny, également appelé l’Ours Juif, qui fracasse l’ennemi à l’aide de sa batte de base-ball et qui est présent lors de la scène finale ; et Hugo, allemand qui vient pour laver l’affront fait à son pays, et fatal à tout ennemi face à lui, en un contre un. En second plan, le colonel SS

Staline a eu un modèle : Lénine. Ils étaient tous les deux membres des partis communistes. A la mort de Lénine, quand Staline prit le pouvoir, il avait sensiblement les mêmes idées bien qu’il apporta deux ou trois touches personnelles comme la théorie du socialisme dans un seul pays alors que Lénine voulait une révolution permanente jusqu'à la victoire. Il implante la doctrine du stakhanovisme (dévouement du salarié et volonté de travail permanente). Il supprime l’internationalisme (qui est une

période est souvent décrite comme le siècle des philosophes (Voltaire), des dirigeants éclairés (Maurice de Saxe, Frédéric II), de la colonisation glorieuse et de la démocratisation des peuples. Mais en réalité c'est une longue période de conflits, de complots, et de trahisons en tout genre. La guerre est considérée comme un art régit par les critères culturels de l'époque. Elle apparaît même un élément curatif aux pires maux du pays pour Frédéric II. Candide prend sa source dans l'actualité des conflits

parallèle entre les éléments de sa propre vie et ceux de Hans, le personnage principal. Et si on creuse un peu plus profondément, on s'aperçoit qu'il parle comme s'il raconte son histoire. Le livre raconte l'amitié entre Hans Schwarz, fils d'un médecin juif, et Conrad von Hohenfels, jeune aristocrate, pendant la montée en puissance du régime nazi (en 1932) à Stuttgart ; en effet, la mère de Conrad déteste les juifs, et son père n'y fait guère attention. Les parents de Hans, qui soupçonnent les vexations