Théorie des modèles

diminution du chômage. La courbe de Phillips joue un rôle fondamental dans le développement de la précédente (Anticipations « naïves », ou « myopes ») macroéconomie keynésienne elle a permis d’ajouter une équation de détermination des prix au modèle IS-LM. La courbe de Phillips a dynamisé c) Anticipations rationnelles : Les anticipations extrapolatives et adaptatives reposent sur un l’analyse keynésienne. La courbe de Phillips peut, dans une logique keynésienne, être utilisée pour comportement

Cosmologie – Histoire des Sciences Le Big Bang Le Big Bang est actuellement la théorie ayant le plus d’adhésion de la part des scientifiques afin d’expliquer les faits observées aujourd’hui, et induit une origine de notre univers. Une des conséquences de cette théorie est que l’Univers aurait son origine dans un événement singulier il y a 13,6 milliards d’années, que les scientifiques ont nommés Big Bang. Cette théorie prévoit qu’au tout début de son existence, l’univers aurait été extrêmement

Chapitre 2 : La Théorie Keynésienne Introduction Avec la théorie keynésienne comme pour la théorie classique et néoclassique on est dans le cadre d’une économie de cours terme en économie fermée. La première grande rupture de la théorie keynésienne par rapport à la théorie classique et néoclassique est au niveau méthodologique. Keynes rompt avec l’analyse classique et néoclassique au sens où il abandonne l’approche microéconomique pour analyser les phénomènes macroéconomiques et adopte une approche

Document 2 : rareté et allocation des ressources. A. Hypothèse, lois et modèle en économie Une loi c'est un raisonnement théorique, destiné à donné une représentation des liens entre les variables économique. La loi Engel (XVIIIe s) qui a montré une relation entre le revenu et la consommation, la loi de Keynes. Une hypothèse est une simplification de la réalité qui rend possible la formulation de théorie compréhensible et utilisable. Exemple : au néoclassique la rationalité des individus

opportunité. Il existe plusieurs théories sur la décision : - Théorie du décideur rationnel (libéralisme) : Cette théorie prouve que le décideur est défini selon le modèle de l’homoéconomie - Théorie du décideur à rationalité limitée : Cette théorie montre que le décideur, compte tenu de ses limites physiques et intellectuelles, ne peut pas envisager toutes les solutions. Donc, sa rationalité est limitée - Théorie contemporaine de Cyert & March : Cette théorie prouve que la rationalité des

Théorie des organisations | | | 2011 2011 Table des matières Introduction 3 Chapitre 1 : Les théories traditionnelles 6 I) Taylor et l’Organisation Scientifique du Travail 6 II) L’étude de la bureaucratie 8 III) Fayol et le travail du manager 12 Conclusion 13 Chapitre 2 : Les théories des relations humaines 15 I) Les origines de la théorie des relations humaines 15 II) Les prolongements de la théorie des relations humaines 17 Conclusion 23 Chapitre 3 : Les théories

premier problème : que produire et en quelle quantité ? Le deuxième problème : comment produire ? Le troisième problème : pour qui produire ? Nous avons vu que l'analyse économique avait cherché à sa manière à répondre à ces trois questions (plusieurs théories) et que les outils méthodologiques permettent de répondre à ces questions. Pour répondre à ces questions, la science économique va utiliser une démarche scientifique qui cherche à mettre dans un premier temps en valeur des données objectives, càd

PIB 3 Un phénomène historiquement récent 4 Les déterminants de la croissance 5 Théories de la croissance 5.1 L'école classique 5.2 Schumpeter : l'innovation à l'origine de la croissance et de ses cycles 5.3 La croissance « sur le fil du rasoir » : Harrod et Domar 5.4 Le modèle de Solow 5.5 Endogénéiser le progrès technique : les nouvelles théories de la croissance 6 La croissance en question 6.1 La croissance peut-elle être infinie

sont les deux mots-clés définissant les théories de la prise de décision basées sur la rationalisation, c’est-à-dire les théories définissant les normes logiques et rationnelles que tous les preneurs de décisions sont censés suivre pour que le choix soit celui qui "rapporte" le plus. La théorie de l'utilité espérée est l'approche la plus communément retenue par la théorie de la décision pour décrire les choix risqués . Être rationnel, selon la théorie économique standard, c’est être capable

1,0283 puisque 1,0283 x 106 = 109). Le taux de change PPA (ou théorique) est celui qui ne donne aux différents pays aucun avantage d'origine monétaire en ce sens que chaque monnaie est censée fournir le même pouvoir d'achat dans tous les pays (la théorie de la PPA repose sur la loi du prix unique selon laquelle des biens identiques sont censés se vendre au seul et même prix partout). Ce taux de change PPA (1,0283) est différent du taux de change nominal qui est le taux de change courant (1,05), donc