Théorie de la paix démocratique

sans territoire, mais il y a des territoires sans Etats comme par exemple l’Antarctique, qui est divisé suivant un traité de 1959. Le territoire de l’Etat est créé suivant de plusieurs territoires : Le territoire terrestre, où a souvent prévalu la théorie des frontières naturelles. Le territoire territoriale, s’étendant jusqu’à 12 000 nautiques du rivage, ou l’Etat peut interdire le passage de navire. La zone économique, s’étendant jusqu’à 200 000 nautiques du rivage, ou l’Etat dispose priorité pour

sein des citées du fait des conflits entre intérêts urbains et ruraux. En 683 av JC la monarchie est remplacée par un régime aristocratique. En 694 av JC le gouvernement mixte est mise en place par Solon. En 507 av JC instauration du régime démocratique. B_ La formation des idées 1 .Les formes de la politique La pensé Athénienne à très tôt opéré une distinction entre trois formes de gouvernements et ceux-ci en fonction du nombre de gouvernants : La monarchie (gouvernement d’un), l’oligarchie

sens matériel. Un Etat qui a une C° au sens formel, n’est pas pour autant démocratique. Document 6 : Hans KELSEN, La Théorie pure du droit, trad. de la 2e éd. par C. Eisenmann, Dalloz, 1962, extraits. La Théorie pure du droit est le livre le plus important des juristes de ce siècle. Hans Kelsen y fait l'exposé des thèses d'un mouvement, à côté du réalisme, le mouvement « normativisme ». Il désigne lui-même comme « Théorie pure du droit ». D’abord, il y la notion de la science du droit, contrairement

outils et comprendre des problématiques et de les utiliser intelligemment. Utiliser ce qu'on a lu, c'est le plus important. 1 Relations Internationales – P. Droz-Vincent – 2A/S4 Thème 1 : La puissance, usage et limites • Bibliographie → Paix et guerre entre les nations, Raymond Aron, lire les chapitres III et IV de la première partie → L'impuissance de la puissance de Bertrand Badie (chapitre I, II, III de la première partie). I. La notion de puissance Pourquoi la puissance est au coeur

existence de lois permettant d'expliquer l'évolution des sociétés ) Pour les évolutionnistes il existe un chemin tracé pour toutes les sociétés : théorie critiquée en sciences sociales et sciences politiques, c'est un courant anthropologique ensuite critiqué par les anthropologues. Théorie plus souvent utilisée dans un cadre journalistique. Théorie contraire:L'état n'est pas la finalité de toute société. Les sociétés sans état ne sont pas arriérés, elle ont simplement un fonctionnement différent

également été porteur du déplacement du centre géopolitique : centre de l’Europe, puis déplacement vers les Etats-Unis et émergences de nouvelles puissances régionales. Sur le plan politique, le XXème siècle est marqué par la progression des idées démocratiques issues de la philosophie des lumières, imposée aux pays colonisés, étendu aux pays du bloc soviétique et à l’Allemagne. Elle reste cependant relative, demeure un combat de préservation perpétuel et ce, même les pays dans lesquels elle semble établie

TITRE 2: LES PRINCIPES D ' ORGANISATION DU REGIME DEMOCRATIQUE -La séparation des pouvoirs La séparation des pouvoirs en son principe, est relativement simple. Les 3grandes fonctions politiques de l' État : Faire les lois exécuter les lois la réglementation des litiges issus de l'application des lois Elles doivent être mises en œuvre par différentes autorités constitutionnelles. Ce principe de la distinction des fonctions de l' État et des distributions, a été redécouvert, modernisé

constitutionnalisme dépasse un peu la constitution. En principe, une constitution se doit de recevoir les éléments fondamentaux du constitutionnalisme. -Respects des droits fondamentaux, -Organisation du pouvoir et sa limitation, -Légitimité démocratique, -Soumission des pouvoirs publics au droit. Certaines constitutions reprennent les principes généraux du constitutionnalisme, tandis que d’autres s’en écartent voire prennent des libertés avec le constitutionnalisme. La constitution est un système

Les églises comme dernier refuge face à la loi : les dilemmes de la désobéissance civile au sein des sociétés démocratiques Caroline Patsias Professeure adjointe de science politique Département d'histoire et de sciences politiques Faculté des lettres et sciences humaines Université de Sherbrooke, Sherbrooke Qc J1K 2R1 Téléphone : 819-821-8000 poste 65096 Télécopieur : 819-821-7909 Courriel : Caroline.Patsias@usherbrooke.ca Louis Vaillancourt Étudiant au 1er cycle- Études politiques appliquées Université

sociétés de façon juste et efficace, si bien que les hommes n'iront point chercher d'autres recours. Ainsi schématisée, la théorie apparaîtra comme systématique. C'est la loi du genre : on aurait tort d'en faire grief à Fukuyama. Lorsqu'il signale des cas aberrants, il prend soin de les taxer d'archaïques et de non significatifs. Outre ce reproche, applicable à tout auteur de théorie, on doit relever un manque de cohérence des références philosophiques et, plus grave, une chute de régime dans les dernières