Théodose l'Ancien

Candide, dans le fond de son cœur, n’avait aucune envie d’épouser Cunégonde ; mais l’impertinence extrême du baron le déterminait à conclure le mariage, et Cunégonde le pressait si vivement qu’il ne pouvait s’en dédire. Il consulta Pangloss, Martin, et le fidèle Cacambo. Pangloss fit un beau mémoire par lequel il prouvait que le baron n’avait nul droit sur sa sœur, et qu’elle pouvait, selon toutes les lois de l’empire, épouser Candide de la main gauche. Martin conclut à jeter le baron dans la mer

Macédoine6. Et le naturaliste grec, Théophraste, décrit une rose à nombreux pétales, une forme de Rosa canina, cultivée dans les jardins. Il décrit des roses rouges, roses et blanches, et note l’intensité du parfum de la rose de Cyrène. Pline l'Ancien dans son Histoire naturelle décrit vingt sortes de rosiers nommées par le nom de leur lieu de provenance. Leurs descriptions permettent des suggestions d’identification7 : la rose de Præneste semble être Rosa gallica versicolor ; la rose

ORIGINE ET DEFINITION DU MOT PORTRAIT Résumés de cinq textes et synthèse Résumé texte n°1, « L’origine du portrait », Pline L'ancien Ce texte est écrit par Pline l’Ancien et extrait du livre « Histoire naturelle » publié au 1er siècle après Jésus-Christ. Dans le premier paragraphe l’auteur se consacre essentiellement aux origines de la peinture. Selon lui ces dernières sont floues, elles prendraient racines soit en Egypte, soit en Grèce. Mais peu importe l’origine exacte de cet art, la chose

l'essentiel du savoir de son époque sur la vinification. Cet ouvrage, rédigé, semble-t-il, avec l'aide de Denys d'Utique, fut suivi d'un abrégé en six volumes dû à Diophane de Bithynie. Caton l'Ancien à Rome (234–149), puis Varron (116–27) font état de ce travail considérable qui inspira aussi Pline l'Ancien et Columelle. C'est dire à la fois l'importance et l'antériorité du vignoble carthaginois. Toutefois, ce n'est que lors de l'établissement du protectorat français, à la fin du XIXe siècle

constatons que les activités athlétique ne sont pas rejetées par les Romain, à condition qu'il s'agisse d'un jeu, d'un divertissement et non pas d'un spectacle officiel, d'une compétition b) L'influence des Etrusques Le roi étrusque Tarquin l'Ancien organisé au début du VII siècle avant J-C de grand jeux dans la Vallée Murcia ou s'élève le Grand Cirque Il fait des pugilistes et des chevaux de Toscane. En témoigne leur art funéraire, telles les tombes des Olympiades, découvertes récemment à

à Athènes et son rappel en Sicile. On ne rencontre même dans ses œuvres aucune allusion aux événements contempo- rains, à la reconstitution de l’empire maritime d’Athènes, aux succès de Thèbes avec Épaminondas, à la décadence de Sparte. Denys l’Ancien étant mort en 368, Dion, qui comptait gouverner l’esprit de son successeur, Denys le Jeune, appela Platon à son aide. Il rêvait de transformer la tyrannie en royauté constitutionnelle, où la loi et la liberté régneraient ensemble. Son appel surprit

verbe entrer. 8 – Monsieur : Monseigneur ( titre donné à un prince ). 9 – prouesses : allusion aux romans de chevalerie, encore très lus au XVI ème siècle. 10 – Pline […] Elien : tous ces auteurs ont parlés des animaux et des plantes. Pline l’Ancien ( Ier s. ap. J.-C.), auteur d’une Histoire naturelle, est le seul latin de cette énumération. Les autres sont grecs. Athénée (III ème s. ap. J.-C.) a écrit une encyclopédie sur la civilisation antique, le Banquet des sophistes ; Dioscoride(s) (Ier

villes de Pompéi, Herculanum et Naples subissent quelques dégâts. L'éruption commença le 24 août ou le 24 octobre de l'an 79 après J.-C. Pline le Jeune dans ses lettres à Tacite a très bien décrit l'éruption; en voici des extraits : "Mon oncle (Pline l'Ancien) était à Misène où il commandait la flotte. Le 24 octobre vers midi, ma mère l'avertit qu'il paraissait un nuage d'une grandeur et d'une figure extraordinaire ; il était difficile de discerner de quelle montagne ce nuage sortait. L'événement a découvert

géométrique, puisqu’il a trois planètes en dessous et 3 au-dessus le plaçant ainsi au centre, et ontologique, car il est la lumière indispensable de l’univers. Le soleil en somme, « c’est elle l’âme ou plus exactement l’esprit du monde entier »(Pline l’Ancien, Histoire naturelle : Livre II// Trad . J.Beaulieu, pp. 11-12, livre II, IV, 12-13).

 Voltaire CANDIDE 1 Ayant dit ces mots, il fit entrer les étrangers dans sa maison : ses deux filles et ses deux fils leur présentèrent plusieurs sortes de sorbets qu'ils faisaient eux-mêmes, du kaïmac piqué d'écorces de cédrat confit, des oranges, des citrons, des limons, des ananas, des pistaches, du café de Moka qui n'était point mêlé avec le mauvais café de 5 Batavia et des 5 îles. Après quoi les deux filles de ce bon musulman