Théodore Rousseau

le fait entrer dans le célèbre atelier de Pierre-Narcisse-Guérin où il a pour condisciples Paul Huet , Léon Cogniet , et Henry Scheffer, et Charles-Henri de Callande de Champmartin. C'est également dans son atelier qu'il fait la connaissance de Théodore Géricault , de sept ans son aîné, qui eut une influence capitale sur son art. Guérin leur enseigne les principes de la représentation néo-classique de l'ancienne école : primauté du dessin sur la couleur, retour à l'Antiquite beauté des statues

qui était en gros celle de Victor Hugo pour aboutir vers 1874 à des vers qu'on a plus tard considérés comme des vers libres. Et au fil de ces cinq ans, il est passé par toutes sortes de stades intermédiaires, parodiant et dépassant la pratique de Théodore de Banville, puis rivalisant avec les inventions de Verlaine, avant d'élaborer sa propre poétique. Les libertés de Rimbaud seront alors de ne suivre les règles de la poésie, le lexique étant choisi pour choquer, ce recueil sera alors pour Rimbaud

bourgeois ainsi que le matérialisme de la société, prônant la force du sentiment. Repères : • Révolution française • Révolution industrielle • Ouverture du musée central des arts (1793) • Le spleen de BaudelaireArtistes :Francisco de Goya, Théodore Géricault, Jean Auguste Dominique Ingres, Eugène Delacroix, Victor Hugo, Joseph Mallord William Turner. | Focus : En France, les deux artistes principaux, Delacroix et Géricault, prennent le parti des opprimés, parlant de scènes de massacre, de naufragés

3 « Ma Bohème » Pour l’entretien : Synthèse : le Cahier de Douai peut-il être considéré comme un recueil ? Histoire des arts : • comparaison du poème « Ophélie » avec un tableau, « Ophélie, John Everett Millais, 1852, et un poème de Théodore de Banville, • La couleur dans le Cahier de Douai. (pas sûr) Lecture cursive : correspondance de Rimbaud, lettres adressées à (pas sûr) Recherche personnelle : biographie de Rimbaud. Synthèse : les fonctions de la poésie, le rôle et

capharnaüm, une prodigieuse comédie satanique, tantôt bouffonne, tantôt sanglante, où défilent, affublées de costumes variés et grotesques, toutes les honorabilités politiques. En 1861, dans sa présentation des poètes français, Baudelaire écrit: Théodore de Banville fut célèbre tout jeune. Les Cariatides datent de 1841. Je me souviens qu’on feuilletait avec étonnement ce volume où tant de richesses, un peu confuses, un peu mêlées, se trouvent amoncelées. On se répétait l’âge de l’auteur, et peu de

voisines, influencées ou à l’origine de | |L’œuvre d’Eugène Delacroix a inspiré l’œuvre de Victor Hugo. (Ex : Gavroche et Javert) |celle-ci ?) (3.3) : Delacroix s’est inspiré du tableau de Théodore Géricault «Le Radeau de la | | |Méduse» 1819.

Presentation de l'oeuvre : "Le Radeau de la méduse" est un tableau de Théodore Géricault réaliser entre 1818 et 1819. Ce tableau est une huile sur toile qui mesure 491cm sur 716cm. C'est une peinture D'histoire sur un évènement contemporain, conservée au musée du Louvre. Théodore Géricault, né le 26 septembre 1791 à Rouen, est un peintre et sculpteur francais. A 25 ans, il part un an en Italie et les peintres de la Renaissance. Il est alors particulièrement impressionné par les œuvres de Michel-Ange

que la poésie, le théâtre, la musique, la peinture. Nous pouvons citer Victor Hugo, Vigny, Alfred de Musset, Baudelaire, Chateaubriand comme poètes romantiques. Les peintres romantiques les plus connus sont Eugène Delacroix, Caspar David Friedrich, Théodore Géricault, Francisco Goya et Joseph Mallord William Turner... Dans le cadre du romantisme, j'ai choisis de vous présenter un tableau de William Turner et de Victor Hugo, car les points communs sont évidents entre ces deux immenses artistes et

dans sa tête : ce sera le génie du bien ou du mal". Dates | Vie de Rimbaud | Contexte historique | Octobre  1869 | Entré en classe de rhétorique (il a juste 15ans), Rimbaud rencontre Georges Izambard. Cet enseignant lui fait lire Victor Hugo, Théodore de Banville, Rabelais et lui ouvre sa bibliothèque. Izambard jouera un rôle important pour Rimbaud ; il conserve notamment ses premiers textes. |   | Janvier  1870 | La Revue pour tous publie "Les étrennes des orphelins"Arthur a un nouveau professeur

se lie d’amitié avec son professeur Georges Izambard, plus âgé que lui de six ans. De cette époque subsistent les premiers vers : Les Etrennes de orphelins, parus dans la revue pour tous en 1870. Le 24 mai 1870, alors âgé de 15 ans Arthur écrit à Théodore de Banville, chef de file de la revue le Parnasse contemporain, pour se faire publier il joignit à sa lettre trois de ses poèmes : Ophélie, Sensations, Credo in unam. Malheureusement Banville ne publiera pas les poèmes en question. Premières fugues