Théodore Agrippa d'Aubigné

1592 au cours d'une messe, dans la ville de Bordeaux en Gironde, est un philosophe sceptique, moraliste et homme politique français de la Renaissance connu pour ses Essais, tout premier ouvrage de ce genre de l'époque moderne. -A. d'Aubigne: Théodore Agrippa d’Aubigné, né le 8 février 1552 au château de Saint-Maury près de Pons, en Saintonge, et mort le 9 mai 1630 à Genève, est un écrivain et poète baroque français protestant. Il fut aussi l’un des favoris d’Henri IV, du moins jusqu’à la conversion

lyrisme amoureux étaient Scalion de Virbluneaue (Les loyales et pudiques d’amour), sieur d’Otaye et Louvencourt Le chef de file du burlesque est Paul Scarron (Virgile Travesti, parodie de l’Enéide). Les autres poètes du baroque connus sont Théodore Agrippa d’Aubigné, Luis de Gongora et Jean de Sponde. Ce doux hiver qui égale ses jours Ce doux hiver qui égale ses jours A un printemps, tant il est aimable, Bien qu'il soit beau, ne m'est pas agréable, J'en

peut faire croire en toi la cruauté  Que je sens au frapper de ta force ennemie : Quand je te crie merci, je me mets à raison,  Tu ne veux me tuer, ni m'ôter de prison Ni prendre ma rançon, ni me donner la vie. L'Hécatombe à Diane de Théodore Agrippa d' Aubigné L'Oiseau blessé d'une flèche Mortellement atteint d'une flèche empennée, Un Oiseau déplorait sa triste destinée, Et disait, en souffrant un surcroît de douleur : "Faut-il contribuer à son

accents graves, à la fois tragiques et épiques comme dans les Hymnes (1555-1556), Discours sur les misères de ce temps (1562), ou La Franciade inachevé (1572), œuvres de Ronsard le partisan catholique ou Les Tragiques du poète protestant Théodore Agrippa d'Aubigné (1552-1630). Autres personnalités [modifier] Des poètes de moindre importance ont également participé à ce renouveau de l’expression poétique au XVIe siècle, à commencer par Clément Marot (1496-1544) qui s’inspire de la tradition du

politique, ni dé la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l’Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l’inspection de deux ou trois censeurs. Théodore AGRIPPA D'AUBIGNE, Les Tragiques (1616) Je veux peindre la France une mère affligée, Qui est, entre ses bras, de deux enfants chargée. Le plus fort, orgueilleux, empoigne les deux bouts Des tétins nourriciers ; puis, à force de coups D'ongles, de poings

Dans ce texte, Prévert compare toute la beauté des création humaine et du monde à l'horreur de la guerre et la méchanceté des hommes. Pour conclure, ce poème m'as supris moi qui pensais que Prévert ne faisais que des poésie enfantine. Théodore Agrippa d'Aubigné: « Tu vois, juste vengeur, les fléaux de ton Eglise » " Tu vois, juste vengeur, les fleaux de ton Eglise, Qui, par eux mise en cendre et en masure mise, A, contre tout espoir, son espérance en toy, Pour son retranchement, le rempart de

1963) La Naissance des Mondes Rig Véda, X, 190 Hésiode : Théogonie (extrait, Les Belles Lettres) Ovide : Métamorphoses (extrait, Les Belles Lettres) Guillaume Salluste Du Bartas : (extrait, La Sepmaine, Premier Jour, 1581) Théodore Agrippa d'Aubigné : La Création (extrait du chant 3, dans Oeuvres Complètes, 1874) John Milton : Le Paradis Perdu (Extraits du Chant VII, 1667; Belin 1990 pour la traduction française) Lebrun : La Nature (extrait du Chant I : La Sagesse) Pierre Daru

Sommaire 1-Présentation…………………………………….….2 2- La ballade des pendus- F.Villon……………….…3 3- Fatras-G.Flamant………………………………....5 4- Je n’ai plus que les os…-P.Ronsard……………...6 5- J’ouvre mon estomac, une tombe sanglante- T.A d’Aubigné………………………………..…...7 6- Sur la mort d’une dame-G de Scudéry…..............9 7- La mort et le malheureux-J de La Fontaine…......10 8- La fontaine du cimetière- T.Gauthier………...…11 9-Les morts du 4 décembre-V.Hugo…………….......13 10-Une charogne-C.Baudelaire…………………

de l'albâtre. À ce charmant tableau, je me disais, rêveur, Jaloux du reflet rose et du reflet bleuâtre : " Ô trop heureux reflets, s'ils savaient leur bonheur ! Au tribunal d’amour, après mon dernier jour est un sonnet écrit par Théodore Agrippa d’Aubigné (1552-1630) fait partit des cents sonnets du recueil l’hécatombe a Diane. C’est un sonnet sombre et macabre sur la douleur des sentiments amoureux. Au tribunal d'amour, après mon dernier jour Au tribunal d'amour, après mon dernier

sur tout les points noires de la société et sur les vices de l'homme. Tous ces poètes se revendiquent comme différents par rapport aux autres du fait de leurs sentiments contradictoire par rapport à la société. Les poètes baroques tel que Théodore Agrippa d'Aubigné ou encore Pierre Corneille revendiquaient leurs différences par rapport aux religions tel que la protestantisme et le catholicisme. Ainsi, le plus souvent possible, chaque poète revendiquent leurs sentiments contradictoire grâce à l'utilisation