Thénardier

disait sans cesse : Quand me payeras-tu Coquine? » ; « Le Thénardier lui écrit que décidément il avait attendu avec beaucoup trop de bonté , et qu'il lui fallait cent francs, tout de suite : sinon qu'il mettrait à la porte la petit Cosette, toute convalescente de sa grande maladie, par le froid, par les chemins, et qu'elle deviendrait ce qu'elle pourrait, et qu'elle crèverait, si elle voulait ». Ici, on peut observer l'abus des Thénardier qui utilisent le chantage pour arriver à leur fin en la menaçant

evertue On s'y destitueOn s'y Prostitue On s'y tue On s'y habitue »IV , 12, 2 En éveillant sympathie et Antipathie -Noms des personnages : Cosette ( Le nom de cette enfant renvoie à une petite chose , donc inoffensive )/ Thénardiers ( le nom Thénardiers ressemble à bombardier, quelque chose de dur , d'horrible , le son est désagréable à entendre ) ; M.Madeleine ( Madeleine , comme son nom l'indique , agréable , bon ); M.Bienvenu ( Ce nom nous fait penser à un personnage chaleureux et

moral. Premièrement nous verrons comment Fantine est pousser à la prostitution. Nous pouvons nous rendre compte que la société dans laquelle vie Fantine est cruelle. Comme le montre l'hyperbole « ne lui laissaient aucun repos »(l.34-35) les Thénardier n'arrêtent pas de lui demander de l'argent qu'elle même n'as pas . Ils l'as poursuivent tout le temps, comme nous le voyons au parallélisme « Elle les trouvait dans la rue, elle les retrouvés dans son escalier.» (l.34). Elle se sent harcelé ce qui

Fantine, la mère de la petite Cosette, a été renvoyée de la fabrique de M. Madeleine le jour où, à la suite d'une dénonciation, on a découvert qu'elle avait un enfant sans être mariée. Or elle doit subvenir aux frais de pension de sa fille, que les Thénardier augmentent sans cesse pour des raisons mensongères. Fantine a ainsi été réduite à vendre ses cheveux, puis ses dents.] Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule du second pour une mansarde fermée d'un

privilégie l’une au détriment de l’autre (Jean Valjean et Javert ou Jean Valjean et les Thénardier dans les Misérables de Hugo). Dans ce cas de figure, le personnage de victime est éclairant : en mettant en valeur la puissance, l’ascendant néfaste ou la cruauté de son « ennemi », il indique clairement laquelle, entre deux conceptions du monde, a la faveur du narrateur et, au-delà, de l’auteur (Cosette, victime des Thénardier dans Les Misérables de Hugoo (2. L’individu contre un groupe ou contre la société)

premier chapitre de Poil de Carotte de Jules Renard (intitulé « Les Poules »). Faites une comparaison de ces deux textes avec celui de Victor Hugo : qu’est-ce qui les rapproche ? Qu’est-ce qui les distingue ? 2) La situation de Cosette chez les Thénardier peut rappeler un schéma que l’on retrouve fréquemment dans les contes populaires, notamment ceux de Perrault ou de Grimm. Choisissez quelques exemples de personnages de contes, afin de montrer les rapprochements que l’on peut établir avec celui

réaliste Lorsque l'auteur crée un personnage => le lecteur peut s'y attacher : touché par ses misères. Cf. la pauvre Fantine qui est réduite à se faire couper les cheveux, puis arracher les dents et enfin se prostituer pour aider sa petite Cosette (les Thénardier sont des escrocs en plus => encore plus pathétique). => Au XIXe siècle, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. Hugo dénonce la misère dans Les Misérables, à travers plusieurs personnages touchants et

entre lui même et sa conscience, il réussit donc à nous faire parvenir une image d'un des projets de Victor Hugo, lequel est l'opposition incessante du bien et du mal par rapport à l'homme, soit la réversibilité. En outre, Mme FAUROT incarnant Mme Thénardier, s'implique pertinamment dans son personnage en mettant du ton avec une voix portante, soutenant donc la captivité de l'auditoire. Cependant nous n'avons pas été subjugués par les performances théâtrales de la comédienne interprétant Eponine (Manon

lesquelles elle travaille en une journée. Celui-ci est clairement énorme : elle passe plus de la moitié de sa journée à coudre. De plus, elle est sous payée. Elle a un grand besoin d’argent pour rembourser ses dettes et envoyer de l’argent aux Thénardier pour sa fille, c’est pourquoi elle travaille le maximum qu’elle puisse mais son salaire diminue « mais un entrepreneur du travail […] fit tout à coup baisser […] la journée des ouvrières libres à neuf sous » (lignes 33 – 34 - 35). On peut aussi

bonté lui vaudra finalement d’être nommé maire le l’agglomération sous le pseudonyme de Monsieur Madeleine. Durant ces années passées à Montreuil, Jean Valjean fait la rencontre de Fantine, une fille publique qui se prostitue pour pouvoir payer Thénardier, un aubergiste a qui elle a confié sa fille, Cosette, quelques années auparavant en échange d’une rente mensuelle exorbitante. M. Madeleine se prends d’affection pour la jeune femme. Un jour que celle-ci est mourante, atteinte d’une maladie grave