Théâtre national de Chaillot

Varoclier et Kevin Lelannier Production Espace des Arts, Scène nationale de Chalon-sur-Saône • Création à l’Espace des Arts, Scène nationale de Chalon-sur-Saône du 26 au 30 janvier 2010 • Scène nationale de Mâcon le 4 février 2010 • Théâtre de l’Ouest Parisien, Boulogne-Billancourt du 9 au 21 février 2010 • Scène nationale de Sénart du 9 au 12 mars 2010 •Espace Malraux, Scène nationale de Chambéry du 4 au 6 mai 2010 • L’Agora, Scène nationale d’Evry et de l’Essonne les 11 et 12 mai 2010 Tournée saison

: « Le père et la mère doivent tout à l’enfant, l’enfant ne leur doit rien », Jules Renard décrit une famille rongée par le silence et le refoulement qui, en dépit de cette noirceur, est animée d’une grandeur d’âme et empreint d’humanité. « Le théâtre n’est pas, comme on l’a dit, un art inférieur. C’est un art particulier et limité. C’est l’art des minutes intenses, des secousses rapides, l’art des crises, crises de larmes ou crises de rires. C’est pourquoi il vit presque exclusivement d’amour

transformer la société. Le dualisme entre le primaire et le secondaire est pointé du doigt, en 1926 le gouvernement de l’Union nationale atténue la distinction entre le primaire et le secondaire en multipliant les bourses et en instaurant la gratuité des premières années du secondaire, en 1936 le ministère de l’Instruction est renommé ministère de l’éducation nationale. C’est aussi cette année que le ministre du front populaire Jean Zay porte l’obligation scolaire de 13 à 14 ans mais se heurte à

lumières sur la ville 34. S'être donné rendez-vous au moins une fois sur le parvis de Notre-Dame, à la fontaine Saint-Michel ou sur les marches de l'Opéra Garnier 35. Avoir pris un verre face au soleil couchant au Bourbon, derrière l'Assemblée nationale Quand on n'a pas encore fait le tour 36. S'être promené au Père Lachaise en passant devant les tombes de Jim Morrison et d'Oscar Wilde 37. Avoir fait une descente dans les égouts et respiré l'odeur 38. Avoir fait son jogging dans les Tuileries

effectue de véritables recherches d'archive. Rétrospective 1946-1977 au Museum of Art, Carnegie Institute, Pittsburgh. 1978 Exposition personnelle à l'Art Gallery of Ontario, Canada et au Dordrechts Museum, Hollande. Dessins d'Aléchinsky, Musée national d'Art moderne, Centre Georges Pompidou, Paris, France. Entre à la Galerie Maeght, Paris. 1979 Expose avec Appel au Musée d'Ixelles, Belgique et, avec Reinhoud, à la Chapelle de la Charité, Arles, France. 1980 Pierre Alechinsky: Dibujos, tintas

Paris et les Arts contemporains en particulier. Chacun, libéré des contraintes du temps éveillé, s’offre la nuit pour rechercher magie, mystère et insouciance. Tant de lieux s’ouvrent à nous pendant cette nuit de découvertes : musées, bibliothèques, théâtres, galeries, églises, librairies, temples, piscines… Nuit Blanche est l’occasion formidable de magnifier la création tant plastique que musicale. C'est aussi un sérieux stimulant pour la vie touristique et économique de Paris. Chacun, selon son énergie

racistes sur un an et demi. Une édition revue et corrigée sera publiée en 1997. 1984 : " la fiancée de l'eau " suivi de " entretiens avec M. Saïd Hammadi, ouvirer algérien " ; théâtre ; Actes Sud. Antoine Vitez met en scène au théâtre Chaillot " entretiens.. ; " " Le fiancée de l'eau " sera créé par G. Tordjman au théâtre de l'Est à Metz. 1985 : " l'enfant de sable " ; roman ; Seuil. 1987 : " La nuit sacrée " ; roman, suite de " l'enfant de sable " ; Seuil ; Prix Goncourt. Durant l'année de tournée

l’Académie de Théâtre de Bucarest. Les premières années, il travaille avec le jeune Théâtre de Piatra Neamţ, (Roméo et Juliette de Shakespeare, Il Campiello de Goldoni) et le Théâtre de Constanta (Hécube d’Euripide, Miles Gloriosus de Plaute). À partir de 1978, il travaille avec le Teatrul Mic de Bucarest (La Folle de Chaillot de Giraudoux, Le Diable et le Bon Dieu de Sartre, Richard III de Shakespeare) et enseigne à l’académie de Théâtre de Bucarest. Son engagement au Théâtre National de Craiova,

Article « Les "lunettes québécoises"  : éléments de réflexion sur la mise en scène » Louise Vigeant Jeu : revue de théâtre, n° 80, 1996, p. 14-19. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : http://id.erudit.org/iderudit/26847ac Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie

Fin de partie Samuel Beckett, Bernard Levy Avec Gilles Arbona, Marie-Françoise Audollent, Thierry Bosc, Georges Ser Création du 28 septembre au 28 octobre 2006 à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet Production déléguée : Scène nationale de Sénart Coproduction : Compagnie Lire aux éclats Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet Avec le festival Paris Beckett 2006-2007 La Compagnie Lire aux éclats est subventionnée par la DRAC Île de France Photos Giulio Lichtner Fin de partie Samuel Beckett