Théâtre du Vieux-Colombier

comédien fait passer ainsi d’une relation duelle de cofabrication du personnage à une relation « triangulaire », qui selon Robert Abirached constituerait le propre du théâtre : « Le théâtre se définit par la relation triangulaire qu’il met en œuvre entre le personnage, l’acteur et le spectateur » (La crise du personnage dans le théâtre moderne, 1994). Les comédiens apportent la part manquante du personnage, tout en faisant varier sa figure : « Tartuffe n’est ni grand, ni petit, ni beau, ni laid […] :

Festi’pitchou, aura lieu de 14h à 18h30 au Domaine et Théâtre de Fontblanche. Au programme : spectacles, ateliers, jeux et concert de clôture. Entrée libre. ➔ Renseignements ¬ 04 42 02 46 50 ou sur : pac@ville-vitrolles13.fr DIMANCHE Fête de la musique. La fête de la musique se déroulera en plusieurs endroits de la ville. À 18h, scène ouverte en centre-ville avec l’orchestre des Mélomanes à 21h30. À 19h30, jazz avec les élèves de Charlie Free. À 20h30 au Théâtre de Verdure, concert avec "Kloug", Rock, groupe

de l'Amazonie inspire. 1.Récits d'aventure -le Superbe Orénoque, la Jaganda, Jules Verne. -En radeau sur l'Orénoque,Jules Crévaux. -Le mendiant d'Eldorado,Jules Crévaux. -L'empereur d'Amazonie, Marcio Souza. /!\ COUVERTURE MANQUANTE -Le vieux qui lisait des romans d'amour, Louis Sepulveda 2.Récits de voyage. -Levi Strauss,Triste tropique -André Cognat, J'ai choisi d'être indien.(explorateur). -Betty Mindlin, Carnets sauvages. /!\ A FAIRE. -Henri Coudreaux, Chez nos indiens.(explorateur)

Emmanuelli d-Alain Juppé Q7-Quel est le pays le plus peuplée d'Afrique ? a- Afrique du sud b- l'Egypte c- le Nigéria d- I' Ethiopie Q8- parmi ces pays d' Amérique central et du sud, quel est plus peuplée ? a-le perou b-1' Agentine c-l'Uruguay d-la Colombie Q9-En 2007, en Belgique, qui a chanté « la Marseillaise » au lieu de « la Brabonconne » ? a-Yves Laterme b-le prince Philipe c-Guy Verhofstadt d-'Albert IIde Belgique 39 ENA - CUL TURE GENERALE Q10-Acombien s'élèvent les réserves de pétroles

comme des ardoises, afin sans doute de ne pas charger cette frêle maison. Par une matinée pluvieuse, au mois de mars, un jeune homme, soigneusement enveloppé dans son manteau, se tenait sous l’auvent de la boutique qui se trouvait en face de ce vieux logis, et paraissait l’examiner avec un enthousiasme d’archéologue. À la vérité, ce débris de la bourgeoisie du sei- zième siècle pouvait offrir à l’observateur plus d’un problème à résoudre. Chaque étage avait sa singularité. Au premier, quatre

l’autre comme des ardoises, afin sans doute de ne pas charger cette frêle maison. Par une matinée pluvieuse, au mois de mars, un jeune homme, soigneusement enveloppé dans son manteau, se tenait sous l’auvent de la boutique qui se trouvait en face de ce vieux logis, et paraissait l’examiner avec un enthousiasme d’archéologue. À la vérité, [ 34 ]ce débris de la bourgeoisie du seizième siècle pouvait offrir à l’observateur plus d’un problème à résoudre. Chaque étage avait sa singularité. Au premier, quatre

l’autre comme des ardoises, afin sans doute de ne pas charger cette frêle maison. Par une matinée pluvieuse, au mois de mars, un jeune homme, soigneusement enveloppé dans son manteau, se tenait sous l’auvent de la boutique qui se trouvait en face de ce vieux logis, et paraissait l’examiner avec un enthousiasme d’archéologue. À la vérité, ce débris de la bourgeoisie du seizième siècle pouvait offrir à l’observateur plus d’un problème à résoudre. Chaque étage avait sa singularité. Au premier, quatre 3

sur l’autre comme des ardoises, afin sans doute de ne pas charger cette frêle maison. Par une matinée pluvieuse, au mois de mars, un jeune homme, soigneusement enveloppé dans son manteau, se tenait sous l’auvent d’une boutique en face de ce vieux logis, qu’il examinait avec un enthousiasme d’archéologue. À la vérité, ce débris de la bourgeoisie du seizième siècle offrait à l’observateur plus d’un problème à résoudre. À chaque étage, une singularité : au premier, quatre fenêtres longues

en sécurité et à avoir confiance en eux, et leur donner les capacités d’adaptation qui les aideront à venir à bout de leurs problèmes. Par exemple, il ressort d’une étude effectuée auprès d’adolescents de 14 ans d’Afrique du Sud, d’Australie, de Colombie, d’Inde, de Palestine et des Etats-Unis que, quelle que soit leur culture d’origine, les adolescents qui ont de bonnes relations avec leurs parents (c’est-à-dire qu’ils se sentent compris, que leurs besoins sont pris en compte et qu’ils s’entendent

l'une sur l'autre comme des ardoises, afin sans doute de ne pas charger cette frêle maison. Par une matinée pluvieuse, au mois de mars, un jeune homme, soigneusement enveloppé dans son manteau, se tenait sous l'auvent d'une boutique en face de ce vieux logis, qu'il examinait avec un enthousiasme d'archéologue. À la vérité, ce débris de la bourgeoisie du seizième siècle offrait à l'observateur plus d'un problème à résoudre. À chaque étage, une singularité : au premier, quatre fenêtres longues