Théâtre d'art de Moscou

doc 1 et doc 2 page 84-85 de Marx à Schröder ) Il faut donc traiter le cas allemand dans une perspective européenne sans négliger la spécificité du cas allemand… [Le recours à l’histoire de l’art est presque un parcours obligé tant les œuvres d’art retracent cette histoire commune et singulière. ( cf annexe fin du cours ) ;il pourrait être prétexte à des études critiques de documents …et favorise les exposés d’élèves !] Des contextes et notions à saisir :

résurgence des avant-gardes, deux phénomènes littéraires qui appartiennent à deux genres différents: le Nouveau roman, qui contient certaines similitudes avec les avant-gardes des années 20-30, et du côté du drame, on peut signaler le théâtre de la dérision ou le théâtre de l'absurde. Les avant-gardes sont des expérimentations dans le domaine de l'écriture, qui parcourent en quelque sorte tout le XXe s. De nos jours, le postmodernisme: retour vers des structures plus traditionnelles, mais qui a aussi

................................................................................................17 Chapitre I. Méthodologie et contexte................................................................................19 Walter Benjamin et « L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique ».........19 L’aura, ses fondements, sa reproductibilité et ce qu’elle reproduit.............................21 L’Œuvre auratique et Dada..................................................................

profondes des nouvelles formes d’aliénation engendrées par le capitalisme à son stade monopoliste. la méthode à laquelle le philosophe hongrois recourt dans La Signification présente est en fait plus proche de celle de lucien goldmann (pour qui l’œuvre d’art est l’expression directe d’une « vision du monde »34) que de celle que lukács a lui-même théorisée et appliquée d’innombrables fois, à savoir celle qui conçoit l’art comme la représentation mimétique et évocatrice de la réalité. l’adoption de cette

inexistante sous les rois de France, hormis peut-être Louis XVI qui a été le seul roi à s'y être un peu intéressé, a abouti à deux lois. Une loi de 1791 et une loi de 1793 qui déclareront protégées comme une propriété les œuvres, tels la musique, le théâtre, la littérature, la peinture, la sculpture, etc. Ces lois n'ont pas été intégrées dans le Code civil. Immédiatement, ce droit nouveau est mis à part. Aujourd'hui en 2010, les auteurs et les artistes paient d'avoir créé un droit spécial et de ne pas

dévoile la théorie générale de la relativité, Husserl le concept de phénoménologie(...). Proust publie Du côté de chez Swann, alors que Kafka donne Le Procès, Gide Les caves du Vatican (...) » (p.25). Outre-atlantique, à l’Exposition internationale d’art moderne sont exposés Matisse, Derain, Vlaminck, Dufy, Picasso, Braque, Léger et Delaunay ; y participent également Francis Picabia et Marcel Duchamp. Dès 1912, Breton commence à s’intéresser aux arts primitifs ; il se procure avec l’argent d’un prix

fiscalité 7.2 Entreprises et commerces 7.3 Quartiers d'affaires 7.4 Tourisme 8 Culture locale et patrimoine 8.1 Monuments et lieux touristiques 8.1.1 Parcs et jardins 8.1.2 Cimetières 8.2 Patrimoine culturel 8.2.1 Musées 8.2.2 Bibliothèques 8.2.3 Opéras, théâtres et salles de spectacle 8.2.4 Cinéma 8.2.5 Cafés, restaurants et hôtels 8.3 Paris, centre littéraire et intellectuel 8.4 Paris dans les arts et la culture 8.4.1 Paris dans la littérature 8.4.2 Paris dans la peinture et la sculpture 8.4.3 Paris dans

cinéma de Moscou, le VGIK. Il y réalise ses premiers courts métrages en 16 mm (il n’aura les moyens de tourner en 35 mm que pour Yeelen) : L’Homme et ses idoles (la relation entre un féticheur et un malade, en 1965), Sources d’inspiration pour un peintre (1966) et L’Aspirant (qui confronte médecines moderne et traditionnelle, réalisé en 1968). C’est aussi pour lui l’occasion de prendre ses distances avec le discours religieux dans lequel il a baigné depuis son enfance : « Avant d’aller à Moscou, j’étais

la force orageuse, la passion, la touche vraie parfois aussi bien que fine et forte ; - généralement, il leur a manqué le sens de la grande harmonie. Les romantiques avaient cru que l'art était surtout dans le laid. Ceux-ci ont cru que les effets d'art les plus infaillibles étaient dans le laid moral. L'amour errant leur a semblé plus poétique que la famille, et le vol que le travail, et le bagne que l'atelier. S'ils étaient descendus eux-mêmes, par leurs souffrances personnelles, dans les profondes

apportent aux questions que pose ce mythe. Les auditeurs des conférences devront disposer du volume Shakespeare, Roméo et Juliette, Folio classique. Monsieur Georges Zaragoza, professeur des universités, Université de Bourgogne Littérature Le « théâtre intérieur » d’Aragon (1959-1960) Ce cours de quatre séances prend logiquement la suite de celui de l'année précédente, qui était consacré au Roman inachevé (1958), mais peut, bien évidemment, être suivi même si l’on ne connaît ni Aragon ni les