Texte étudié Kant Critique De La Raison Pratique Consciences Et Responsabilité

contravention désigne les infractions et sont inhérents à la nature humaine. Il apparaît avec lui et disparaîtra avec lui. Dès l'origine la société a bien entendu chercher à lutter contre ce fléau sans jamais parvenir à le vaincre, à le résorber et une des raisons de cet échec est sans doute la quasi ignorance du phénomène criminel qui jusqu'à une époque récente n'avait pas fait l'objet d'étude scientifique. Seul l'empirisme guidait le législateur. Ce n'est donc que vers la fin du 19ème que vont apparaître

& les moyens de transport (à savoir le train). Les moyens de communication de masse mettent les individus en relation (annonces, articles pour la presse). Cela induit quelque chose de paradoxal : les individus sont interdépendants sans en avoir conscience. L’innovation est qu’il est possible d’être en relation avec des gens que l’on ne connait pas, pourtant le gens sont de plus en plus étrangers les uns aux autres que les croyances collectives sont dissoutes et rien ne viens les remplacer. La deuxième

champ d’investigation de la philosophie kantienne en l’étendant aux différents aspects de la culture. « Il s’agit de comprendre le monde, et non plus seulement de déterminer les conditions de sa connaissance. A la critique de la raison se substitue donc “une critique de la culture”. »2 4 Or l’activité de l’esprit à l’œuvre dans la culture est une activité symbolisante. « Ce en quoi le concept de fonction symbolique est néokantien et non seulement kantien, c’est bien en ce que, selon

distingue trois grands courants: - Le Libéralisme: donne son impulsion initiale à la Révolution et qui va dominer pendant toute la 1ere partie de la période Révolutionnaire - Le socialisme: prend corps au cours de la Révolution et va dominer dans la pratique à l'époque de la Montagne et au travers la Constitution de 1793. - Le conservatisme: rejet total ou partiel de la Révolution ou rejet catégorique ou relatif de l'héritage révolutionnaire. Partie I : LES LIBERALISMES Origine du mot « libéralisme »:

pour objet les principes généraux de l'incrimination et de la sanction, il convient de s'interroger sur le fondement du droit de punir avant de s'intéresser à la règle de droit pénal, à ses éléments constitutifs, ainsi qu'à la mise en œuvre de la responsabilité pénale. La définition du Droit pénal est la suivante : c'est la branche du droit qui détermine les infractions, les sanctions que la Société impose à ceux qui commettent ces infractions et les mesures de prévention ainsi que les modalités de la

Age une singulière vitalité, ce qui ne signifie pas immuabilité. Sur le plan chronologique, cette tradition déborde le Moyen Age : l’Europe continuera à la pratiquer, à l’affiner pendant la période dite « moderne », de 1500 à 1800, dans ce qu’on appelle l’Usus modernus qui est essentiellement la pratique des tribunaux. Il s’agit d’une pratique jurisprudentielle illustrée par des recueils d’arrêts qui étaient connus aux quatre points cardinaux de l’Europe. Car les universités à l’époque moderne sont

NOTES CRITIQUES Blandin Bernard. Les environnements d’apprentissage. Paris : L’Harmattan, 2007. – 260 p. Dans un contexte de rationalisation et d’industrialisation de la formation lié à des développements technologiques, à la volonté politique de développer une « société de la connaissance » et aux attentes des acteurs économiques et des institutions en termes de formation tout au long de la vie (Commission des communautés européennes, 2001), les questions relatives aux environnements d’apprentissage

inéluctable, ce qui provoque de vives critiques de la part de mouvements qui en réfutent le caractère libéral. A partir du sommet de l’O.M.C. organisé à Seattle en 1999, ces détracteurs de la mondialisation se structurent dans ce qui a été appelé le mouvement altermondialiste. Ils dénoncent la domination de l’économie : le marché, l’accroissement des inégalités, l’homogénéisation des cultures et la perte de l’identité pour certains peuples. Ils dirigent aussi leurs critiques contre les firmes transnationales

? 8 9 MODULE 2 Qu’est-ce que la bioéthique ? 15 16 MODULE 3 Dignité humaine et droits de l’homme (Article 3) 21 22 MODULE 4 Effets bénéfiques et effets nocifs (Article 4) 24 25 MODULE 5 Autonomie et responsabilité individuelle (Article 5) 28 30 MODULE 6 Consentement (Article 6) 31 33 MODULE 7 Personnes dépourvues de la capacité de donner leur consentement (Article 7) 35 MODULE 8 Respect de la vulnérabilité humaine et de l’intégrité

Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Au frontispice de cette charte, elle inscrit l’inaliénable et égale dignité de tout être humain : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »1. Elle répond ainsi aux atrocités de la seconde guerre mondiale et aux tentatives organisées de réduire l’homme à néant. La dignité devient une expression du « Plus