Testour

puis la Société tunisienne de l'industrie laitière (Stil), l'ex-fleuron du secteur public dans le secteur, Prise de contrôle de la ferme Raoudha, qui appartenait à la Banque nationale agricole (BNA), un établissement public situé dans la région de Testour. Au moins 500 ha de vignes vont être plantés (uniquement des cépages « nobles ») en vue de la production d'un vin de qualité destiné essentiellement à l'exportation. PDG de société, demeurant Avenue Habib Bourguiba n° 49 – Carthage Société public=>privatisé

peu à peu ils vinrent consensuels, c’est à dire généralement sans témoins. Ensuite, l’esprit religieux faiblissait et on a craint beaucoup plus la subordination des témoins, les pots de vins, que le parjure. Cela apparaît dans des adages. « testous ounous testous noulous ». L’évolution s’est concrétisée dans une ordonnance de 1566 qui posa la règle de la preuve écrite des actes juridiques, à savoir « l’ordonnance de Moulins » qui pose la règle de la preuve écrite des actes juridiques. Cette règle

villes anciennes et actives (Sousse, Monastir, Mehdia, Sfax) et surtout dans le Sahel (Berque J., 1961) d’une population rurale fortement regroupée dans des bourgs ouverts sur le savoir et le progrès (bourgs andalous du Nord : Qalaat el Andalous, Testour, Tébourba et grosses bourgades du Sahel : Msaken, Moknine, Ksour Essaf ). Le Maroc historique dispose lui aussi de villes grandes et puissantes dont la plupart ont été à un moment ou à un autre des capitales politiques. Mais ne pourrait-on pas dire

1906, p. 178-180, l’analyse d’un travail de Fishberg. 4. Tétouan, Tanger, Rabat, Azemmour, Fez, Conf. Doutté, Bull, d’Oran, 1910, p. 30-38. 5. Coléa, Blida, quartier des Tagarins à Alger, Dellys, etc. 6. Bizerte, Tunis, Téhourba, Soliman, Zaghouane, Testour, Nabeul. 282 LES TEMPS PRIMITIFS. ____________________ 1. Il y avait sans doute du sang berbère, mêlé à beaucoup de sang espagnol, chez les ancêtres de ces Maures. 2. Au Maroc même, l’importation des nègres est bien moindre depuis l’occupation

echioides subsp. eu-echioides Maire, sensu P.-A., Fl. Tun. 2: 692 (1981). Limonium elfahsianum Brullo & Giusso, Bocconea 19 : 143 (2006). Note: Brullo & Giusso [Bocconea 19 (2006)] signalent avoir collecté ce taxon, nouveau pour la science, à El Fahs et Testour en juillet 2001, sur des collines marneuses. Au contraire de la grande majorité des espèces du genre, il ne s’agit donc pas d’un halophyte côtier. Ajout/Endémique Tunisie Limonium formosum Bartolo, Brullo & Giusso, Bocconea 16 (2): 537 (2003). Note: