Tertiarisation Et Productivité

sous la forme de salariat, il se détache de la notion d'auto subsistance, il s'éloigne du « domestic system ». Marchandise qui s'échange sur un marché. C'est un facteur de production s'appuyant sur des aspects quantitatives, en terme de durée, de productivité par têtes ou horaire, de production. Mais aussi aspects qualitatifs : concerne les conditions de travail, avec parfois la pénibilité. Traduit aussi les rapports sociaux. On recherche aussi la sécurité du travail et dans le travail lui-même. Mutations

de productivité, des changements sociaux importants apparaissent, comme le montre l'exemple du développement des PDEM. - À long terme, les gains de productivité réduisent la pénibilité du travail et le temps de travail nécessaire pour produire. D'où une augmentation du temps libre. - L'augmentation de la productivité va permettre le déversement du secteur primaire vers le secondaire, puis du secondaire vers le tertiaire pendant les Trente Glorieuses. D'où un phénomène de tertiarisation et

détruit des emplois. L’achat de nouvelles machines plus productives réduit le nombre d’emplois nécessaire car il augmente la productivité du travail. Ainsi, pour un niveau et un temps donné de production, une augmentation de la productivité engendrée par le progrès technique, réduit l’emploi disponible. Cette conséquence disparaît si l’on profite de cet accroissement de la productivité pour réduire le temps de travail. Mais le progrès technique supprime des emplois par un autre système. Pour bénéficier

double progrès 2/ La notion de développement. A) Qu’est-ce que le développement ?  [u] Définition:[/u] le développement correspond à des transformations de structures économiques (évolution sectorielle avec l’industrialisation puis la tertiarisation..), démographiques ( hausse de l’espérance de vie, baisse de la fécondité..), sociales (progrès de l’instruction..), politiques (marche vers la démocratie, pluralisme politique, justice indépendante..) qui accompagnent et soutiennent la croissance

double progrès 2/ La notion de développement. A) Qu’est-ce que le développement ? [u] Définition:[/u] le développement correspond à des transformations de structures économiques (évolution sectorielle avec l’industrialisation puis la tertiarisation..), démographiques ( hausse de l’espérance de vie, baisse de la fécondité..), sociales (progrès de l’instruction..), politiques (marche vers la démocratie, pluralisme politique, justice indépendante..) qui accompagnent et soutiennent la croissance

baptisée les « Trente Glorieuses ». Cela se traduit par des changements socioéconomiques majeurs, l’effet « baby-boom » qui voit la natalité mondiale augmenter significativement, et surtout l’essor des nouvelles technologies au service de la productivité. Evidemment, c’est un phénomène singulier d’après-guerre qui s’est suivi d’un nouveau ralentissement jusqu’en 1998, pour repartir de manière tempérée jusqu’en 2008. D’une manière globale, au cours des deux derniers siècles la croissance mondiale

La flexibilité et les qualifications qu’elle requiert. La flexibilité fonctionnelle. La flexibilité de l’emploi impose aux salariés l’acquisition de nouvelles qualifications. Les nouvelles dynamiques de l’emploi La tertiarisation La féminisation Le chômage et les politiques de l’emploi Le chômage La politique de l’emploi De multiples aspects à définir Une approche à diverses facettes La politique de l’emploi en France

_________________5 1.1. Une tertiarisation lente si l’on juge par la croissance de la valeur ajoutée réelle ____________ 5 1.2. Néanmoins, les effectifs du tertiaire progressent rapidement ___________________________ 5 1.3. Les mutations qualitatives de l’emploi dans le tertiaire _______________________________ 8 2. Quel jugement peut-on porter sur les performances du secteur du tertiaire marocain_9 2.1. Une forte croissance de l’emploi s'accompagnant d'un recul de la productivité ____________ 9 2.2.

place les chaînes de production. Valeur ajoutée → vente produit > valeur des consommations intermédiaires. o Aspect physique Inputs → transformations → outputs Ces deux aspects sont étroitement liés. L’efficacité influe sur la productivité. Y=f(K,L) où Y=la productivité, K=capital et L=travail Il faut maximiser Y/L et Y/K. Cela se traduit par une augmentation de VA. ► La VA appartient au propriétaire de l’entreprise. Le problème est de savoir comment la répartir. VA= (production vendue, chiffre

activité élevée car les entreprises produisent et constituent des stocks. Seconde phase : Les stocks sont trop élevés donc les entreprises produisent moins et écoulent les stocks… Les cycles Kitchin sont moins marqués aujourd’hui du fait de la tertiarisation de l’économie et des méthodes de gestion qui tendent à limiter le niveau de stocks (production en flux tendus ou juste à temps) Les explications théoriques Keynes et la demande effective Cycles courts : Les entreprises