T'en vas pas

un lieu particulier, un point de passage vers un endroit précis. Choisir telle ou telle sortie est un signe, la marque d’une volonté particulière. Par exemple a un moment Créon dit : «  Antigone ! C’est par cette porte qu’on regagne ta chambre. Ou t’en vas-tu-la ? Et Antigone lui réponds : Vous le savez bien … . » Toute la pièce est concentrée sur le fait qu’Antigone veut enterrer son frère, Polynice, et ne pas laisser son corps à l’air libre. Justement a aucun moments l’on voit Antigone le faire

AiiMENT (l)[/c=6][/b] dit: Je v0ulai te demander pk0i tu me fey la gueule ? [20:04:30] (r)sushi... :d Tu te coi mieu klé otre?... mé tu fé pitié tu t'es pas vue ma povre!:p dit: me cass pas les couille ta lue la letre en cour de francé et pui tu t'en bas les couilles et c tant mieu come sa tu me fais pas chier et tous le monde et content je te cherche pa alors me cherche pas comme ça y'a pas d'istoir [20:04:59] [b][c=5].#__precy *__x33 (L* || MA NAM0ùREùZE JE T'EM || MA FiiANCEY & MA

zweirädrige (Pferde)wagen 4 ANTIGONE: Tu as bien réfléchi, tu dis? Tu penses que toute la ville hurlante33 contre toi, tu penses que la douleur et la peur de mourir c’est assez? ISMÈNE: Oui. ANTIGONE: Sers-toi de ces prétextes34. ISMÈNE: Antigone! Je t’en supplie35! Ton bonheur est là devant toi et tu n’as qu’à le prendre. Tu es jeune, tu es fiancée ... ANTIGONE: Je parlerai tout à l’heure à Hémon. Hémon sera tout à l’heure une affaire réglée. ISMÈNE: Tu es folle. Je te convaincrai36, n’est-ce pas?

Alors, tu vas vraiment faire ça ? « Évoquer tes souvenirs d'enfance »... Comme ces mots te gênent, tu ne les aimes pas. Mais reconnais que ce sont les seuls mots qui conviennent. Tu veux « évoquer tes souvenirs »... il n'y a pas à tortiller, c'est bien ça. — Oui, je n'y peux rien, ça me tente, je ne sais pas pourquoi... — C'est peut-être... est-ce que ce ne serait pas... on ne s'en rend parfois pas compte... c'est peut-être que tes forces déclinent... — Non, je ne crois pas... du moins je

ce que le temps passe) il veut s’en aller, mais ne veut pas (il ne « peut pas »). A la fin, en regardant une nouvelle fois par la fenêtre qui montre une vue sur la terre, il aperçoit un enfant et décide de s’en aller après que Hamm lui est dit « vas t’en, je n’ai plus besoin de toi ». Il fait ses bagages mais rien ne nous indique s’il est vraiment partit. -Nagg et Nell sont les parents de Hamm et vivent dans des poubelles à l’interieur de la maison de Hamm. Ils ont la peau pâle. On voit bien que

m’oublie ; En te perdant je sens que je t’aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine. Je sais respecter l’avenir. Vienne la voile qui t’emmène, En souriant je la verrai partir. Tu t’en vas pleine d’espérance, Avec orgueil tu reviendras ; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, Tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! tu vas faire un beau rêve Et t’enivrer d’un plaisir dangereux ; Sur ton chemin l’étoile qui se lève Longtemps encor éblouira tes yeux. Un jour tu sentiras peut-être Le prix d’un coeur

l'en aima davantage, s'éprit d'elle au point de vouloir l'épouser. Il lui dit ce projet qui la fit danser de joie [...]. Antoine Boitelle ajouta: «Ça se fera si les parents ne s'y opposent point. J'irai jamais contre eux, t'entends ben, jamais! Je vas leur en toucher deux mots à la première fois que je retourne au pays.» La semaine suivante en effet, ayant obtenu vingt-quatre heures de permission, il se rendit dans sa famille qui cultivait une petite ferme à Tourteville, près d'Yvetot. Il attendit

soir… » Étoile qui descends vers la verte colline, Triste larme d’argent du manteau de la Nuit, Toi que regarde au loin le pâtre qui chemine, Tandis que pas à pas son long troupeau le suit, Étoile, où t’en vas-tu, dans cette nuit immense ? Cherches-tu, sur la rive, un lit dans les roseaux ? Ou t’en vas-tu, si belle, à l’heure du silence, Tomber comme une perle au sein profond des eaux ? Ah ! si tu dois mourir, bel astre, et si ta tête Va dans la vaste mer plonger ses blonds cheveux, Avant de nous

connaisse du monde, j’ai vu que yavait un de mes potes qui passait près de chez moi, alors je descendais au sport avec lui, et il me ramenait après l’entraînement. - Ok. J’aurais une dernière petite question à te poser sur le sport. Euh, par semaine t’en fais combien de fois ? - Pour le basket ou bien le foot ? - Ben euh, les deux. - Pour le basket faut compter que j’ai deux entraînements dans la semaine le mardi soir et le jeudi soir. Après euh t’as les matchs le week-end donc voila

était d'ailleurs sa seule limite possible. Je n'ai pu avoir comme réponse en cet instant qu'un silence pesant et lourd. Il émettait trop de bruit, me transperçant presque les tympans. Vas-y, dis moi quelque chose, n'importe quoi. Enlève-moi ce couteau qui empoigne mon cœur au lieu de l'enfoncer encore plus. Je t'en prie, sauve moi de cette douleur atroce que me procure l'attente. Mais la douleur que je ressentais en ce silence n'était rien par rapport à ce qui allait suivre. Jamais dans mes