Temple de Vespasien

- Historique La construction du Colisée, alis Amphitheatrum Flavium fut initié, comme son nom l’indique sous la dynastie des Flaviens. En effet, Vespasien, premier empereur de la dynastie pose la première pierre, si on peut l’exprimer ainsi, entre 70 et 72 du plus grand ampjhithéâtre romain que l’on ai jamais connu. Cette construction était nécessaire pour plusieurs raisons, certaines politiques, dont nous allons reparler par la suite et l’autre plus pratique. En effet, l’incendie de Rome en 64

aristocratie vont proclamer la supériorité de l'art grec. Ils feront surtout cela dans le but de conserver cet art dans un Empire qui doit faire face à la classe ascendante des nouveaux riches issus de l'affranchissement menée par la dynastie de Vespasien, les Flaviens et se poursuivra sous la dynastie des Antonins. Celui-ci, d’origine bourgeoise, sera aussi considéré comme rustre d'esprit et d'apparence. Ainsi, le Sénat, qui était dans le passé réservé aux plus nobles, va se peupler d'autres représentants

mer, ses forces terrestres étant moins nombreuses. L’engagement tourna au désavantage d’Antoine, Cléopâtre s’enfuit et Antoine la suivit. La guerre était finie. La victoire d’Apollon Pr7s du lieu de la bataille, le cap d’Actium, se dressait un temple d’Apollon, donc on lui attribua la victoire. D’ailleurs il était l’objet d’une vénération tout particulière d’Octave. Une fois la victoire acquise, la reconquête de l’Orient eut lieu. Antoine tenta encore de résister, mais n’y parvint pas. Il fuit

l’art grec (mêlé d’influence étrusque), qu’ils copient et adaptent. De plus, de l’origine de Rome jusqu’à environ 200 a.v.J.C. lorsque les Romains ramenaient de leurs campagnes des statues et des œuvres dérobées dans les temples, ils les plaçaient dans leurs propres temples afin d’offrir un second lieu de cultes aux idoles étrangères. Mais lors des conquêtes de Grande Grèce et de Grèce, notamment lors de la prise de Syracuse, l’engouement pour l’esthétique des œuvres grecques et l’amour de l’art

Crassus et, en 52 av. J.-C., Bordeaux accueille le premier urbanisme romain. Le cardo et le decumanus (aujourd'hui rue Sainte-Catherine et rues Porte Dijeaux et St Remy, et cours de l'Intendance) sont tracés et l'on construisit des aqueducs, des temples, un amphithéâtre et une curie. Bordeaux est à l'époque un emporium, c'est-à-dire un comptoir de commerce, contrôlant les routes de l'étain et du plomb entre les ports gaulois de la Loire et la République romaine. Elle est érigée en civitas administrée

le Colisée, dont les ruines subsistent à Rome. L’architecture au service de tous L’architecture romaine est un personnage à deux visages : le premier, héritage de la Grèce antique, est un athlète aux proportions idéalisées, à l’image des nombreux temples, forums ou arcs de triomphe. Le deuxième, plus pragmatique, est un besogneux, un légionnaire ou un paysan, représentés à travers les aqueducs, les ponts, les routes, les thermes… Cette architecture innove et invente des techniques audacieuses qui

créé un canal maritime (Fos-sur-Mer) pour ravitaller ses troupes par la mer. Ils sont battus. Les Volques tectosages de Toulouse profitent des troubles et se soulèvent en 108 av JC. Ils sont battus par Quintus Servilius Caepio et leurs trésors et temples sont pillés au passage. Vient ensuite l'arrivée de Caius Iulius Caesar. II. CÉSAR ET LA GAULE CHEVELUE Les influences économiques de Rome sont renforcées par la création de la Gaule transalpine. Marchands et produits Italiens (céramique, vin, huile)

pendant quelque temps à Chio, et qu'il mourut assez âgé dans la petite île d'Ios. Mais s'il fut réduit à l'indigence, et obligé même quelquefois de mendier un asile pendant sa vie, les Smyrnéens, Ptolémée Philopator et d'autres lui consacrèrent des temples après sa mort, et les Argiens lui rendirent des honneurs divins. L'époque où naquit ce grand poète n'est pas moins obscure. Si l'on en croit quelques écrivains grecs, il fut contemporain du siège de Troie, et avait vu par conséquent ce qu'il a chanté

de Marcellus remplaça probablement un théâtre d’époque républicaine. La surface couverte tripla, de sorte que presque tous les édifices environnants furent démolis pour être reconstruits à proximité. L'emplacement fut choisi à cause du voisinage du temple d'Apollon Guérisseur. Cet important lieu de spectacles, avec sa façade semi-circulaire, fut le plus grand théâtre de Rome après celui de Pompée : il pouvait accueillir 15 000 spectateurs, 20 000 les jours de grande affluence. Commencé vers 30-20

systèmes hydrauliques efficaces et inventèrent la roue à eau pour actionner les moulins à farine. Beaucoup d'empereurs entreprirent des programmes de construction. Auguste se vanta d'avoir trouvé la ville de Rome en briques et de la laisser en marbre. Vespasien ordonna la construction du plus grand amphithéâtre de Rome, le Colisée. Trajan fit ériger une imposante colonne trophée, mesurant 40,50m. Les plus célèbres constructions de l'empereur Hadrien firent sa villa de Tivoli et un mur-frontière dans le